La lumière blanche est constituée d'un ensemble de couleurs différentes qui constituent le spectre lumi- neux. Ce spectre est polychromatique et continu : il contient toutes les nuances de couleurs entre le violet et le rouge. s'est décomposée et on peut observer les couleurs de l'arc-en-ciel à la sortie du prisme.
Une lumière polychromatique est un rayonnement lumineux dont le spectre d'émission couvre, de manière continue ou non, une étendue significative du spectre lumineux. La lumière blanche est toujours une lumière polychromatique. Le mot polychromatique signifie « de plusieurs couleurs ».
Elle se déplace à la vitesse de 300000km/s. Elle est formée d'un mélange de couleurs : ce sont les couleurs de l'arc-en-ciel qui composent le "spectre" de la lumière visible. On distingue sept couleurs : le rouge, l'orange, le jaune, le vert, le bleu, l'indigo et le violet.
ROUGE + VERT = JAUNE. VERT + BLEU = CYAN. BLEU + ROUGE = MAGENTA. ROUGE + VERT + BLEU = BLANC.
La lumière blanche émise par le Soleil ou par une lampe à incandescence est polychromatique : elle contient une infinité de radiations (toutes celles dont les longueurs d'onde sont comprises entre 400 et 700 nm, c'est-à-dire toutes les couleurs de l'arc en ciel, allant du violet au rouge).
Les LED: elles durent très longtemps (jusqu'à 40 000h), et s'allument instantanément. Elles offrent le meilleur rendu lumineux pour le confort visuel: stable et homogène. Les LFC: moins chères, elles durent aussi moins longtemps (8 à 12 000h) et mettent parfois 30 secondes à atteindre l'éclairage maximal.
Tout simplement parce que le blanc est la somme de toutes les couleurs visibles. Une source de lumière (soleil, ampoule etc..) rayonne, globalement, sur un spectre très large de fréquences.
Privilégiez le soir la lumière rouge qui aide à s'endormir
La lumière rouge, à l'opposé de la lumière bleue, a une longueur d'onde propice à la sécrétion de mélatonine : idéale pour tamiser la lumière à l'aide d'un abat-jour ou d'une ampoule et aider à s'endormir.
Les couleurs qui reflètent le plus la lumière sont les couleurs claires sans en détériorer la qualité, le blanc ayant le meilleur coefficient de réflexion. Avec 0,70 et 0,80, les nuances de blancs reflètent le mieux la couleur. Les beiges et les jaunes pastel apportent une note plus conviviale à la lumière ambiante.
Le rouge, le bleu et le vert sont les trois couleurs principales et sont appelés couleurs primaires de la lumière. Le mélange de ces trois couleurs, dans des proportions différentes, permet d'obtenir toutes les couleurs du spectre (exemple : la télévision couleur).
Avec une ampoule à 4 000 K, on obtient une lumière blanche plus douce. On parle alors de blanc neutre. Au delà de 5 300 K, la lumière est dite « blanc froid ». Si l'on souhaite obtenir un rendu se rapprochant de la lumière du jour, il faut alors opter pour une température d'ampoule comprise entre 4 800 et 6 500 K.
Dans des conditions ordinaires d'éclairage, c'est à la lumière jaune-vert que l'œil est le plus sensible. Pour être perçue avec la même intensité, une source de lumière rouge orangée doit être près de 10 fois plus puissante qu'une source de lumière jaune-vert.
Quand le Soleil tape, on s'habille en général en blanc car cette couleur réfléchit mieux le rayonnement.
Cette couleur est particulièrement indiquée dans des espaces plutôt étroits ou ne bénéficiant pas beaucoup de luminosité tels que les lieux de passage (couloirs, entrées, escaliers…) mais aussi les salles de bains, ou les cuisines. Le blanc froid apporte une lueur bleutée dynamisante et énergisante.
Quelle lumière pour quel usage ? Plus naturelle, la lumière blanche rappelle la luminosité extérieure, mais peut paraître froide voire bleutée en intérieur. La lumière jaune, quant à elle, est plus indiquée pour des pièces associées à la détente (salon, chambre).
Une lumière chaude de puissance moyenne entre 25 et 40 watts environ est préférable. Une température de couleur de 3 000 kelvins est largement suffisante pour un coin lecture. Le lecteur bénéficie ainsi d'un éclairage doux et d'une ambiance propice à la détente.
Le bleu. Le bleu est la couleur sédative par excellence. Une couleur froide qui calme car elle évoque des éléments naturels agréables : le ciel et la mer. Elle diminue la pression sanguine et calme le pouls contrairement au rouge.
Les blancs chauds teintés de rouge, de jaune ou d'ocre sont idéaux pour créer une ambiance confortable et apaisante au salon ou dans la chambre à coucher, par exemple. Pour les pièces abondamment baignées de lumière, on choisira au contraire un blanc froid teinté de bleu, de gris ou de vert.
Les couleurs dites froides comme le vert d'eau, le bleu ciel et le mauve sont idéales pour illuminer une chambre. Mais si elles apportent la lumière, elles ne rendent pas la pièce plus chaleureuse, au contraire.
Quand on parle de lumière rouge, on parle de tous les tons de lumière rouge. Ces tons de l'orangé au rouge ont un effet relaxant sur notre cerveau, surtout si vous utilisez des lumières LED tamisées.
Blanc chaud pour se reposer
La grande majorité des personnes préfère la lumière blanche chaude ; elle est considérée comme la plus agréable.
La lumière verte diminue les symptômes de 20%
A haute intensité (comme dans un bureau très éclairé), les patients ont signalé une intensification de leur migraine sauf pour la lumière verte. Le Pr Burstein a même constaté que cette lumière diminuait l'intensité des symptômes d'environ 20%.
Le spectre de la lumière solaire blanche est composé, grosso modo, de six couleurs qui sont, dans l'ordre, le rouge, l'orange, le jaune, le vert, le bleu et le violet. Si Newton comprend qu'un faisceau de lumière de couleur particulière est toujours dévié de la même façon, il ignore cependant pourquoi il en est ainsi.
C'est l'atmosphère et nos yeux qui nous jouent ce tour. Les rayons traversent l'atmosphère, rendant le ciel bleu et nos yeux perçoivent moins de bleu, mais plus de vert et de rouge. Vert et rouge, ça donne du jaune! La véritable couleur du Soleil est donc le blanc!
La lumière bleue accélère le vieillissement de la rétine. Elle est un des facteurs de risque de la dégénérescence maculaire liée à l'âge, la DMLA, parmi d'autres facteurs dont le principal est l'âge, mais aussi des facteurs génétiques et environnementaux comme le tabac et l'alimentation.