Cette fable montre que, si les grands font cause commune avec les petits, les uns et les autres assureront ainsi leur vie.
Chacun à son métier doit toujours s'attacher.
Il se faut entraider, c'est la loi de nature : L'Âne un jour pourtant s'en moqua : Et ne sais comme il y manqua ; Car il est bonne créature.
Tous gens sont ainsi faits: Notre condition jamais ne nous contente; La pire est toujours la présente.
« Il faut, autant qu'on peut obliger tout le monde. On a souvent besoin d'un plus petit que soi. » « Rien ne sert de courir, il faut partir à point. »
Dérangé par le commentaire, le jeune remonta sur l'âne et son grand-père marcha à côté de lui. Et on revint à la situation de départ. « Tu vois mon garçon, dit le vieillard, la morale de notre histoire est bien claire : celui qui cherche toujours le consentement des autres vivra par procuration.
Livre : La colombe et la fourmi
La morale de cette histoire est que chaque bonne action en amène une autre.
« D'un magistrat ignorant, c'est la robe qu'on salue ». Cela veut dire que les personnes qui se prévalent des qualités qu'elles n'ont pas sont ridicules aux yeux de tous ceux qui les connaissent.
Tout à fait prévisible, la morale de cette fable est un constat : la raison du plus fort finit toujours par l'emporter, la paix reste illusoire. Retrouve les autres artistes de La Fontaine Superstar, le dossier sur la fable et teste tes connaissances sur Jean de La Fontaine.
Dans Le Loup et l'Agneau, la morale se situe au tout début : « La raison du plus fort est toujours la meilleure ». Cela signifie que celui qui a raison est celui qui a le plus de force physique. Ici le Loup est plus fort que l'Agneau, et même si l'Agneau a raison, il se fait manger par le Loup.
Livre : Le lion et le renard
La morale de cette histoire est qu'il faut réfl échir avant d'agir plutôt que de faire comme les autres.
Morale. La fable comporte un enseignement au lecteur. Même si ici, la morale n'est pas explicite, elle peut se résumer par quelques expressions : mieux vaut être pauvre et libre que riche et esclave — mieux vaut vivre pauvre mais indépendant que dans une cage dorée.
La morale de cette fable est explicite : « Trompeurs, c'est pour vous que j'écris : Attendez-vous à la pareille ». Le renard a voulu faire une farce à la cigogne, mais elle lui a rendu « la pareille », c'est-à-dire qu'elle a utilisé la farce du renard pour s'en servir contre lui.
Loup (le) et la Cigogne (III, 9)
La morale non exprimée dans la fable, racontée avec beaucoup d'ironie, est implicite : Les méchants sont incapables de gratitude, que ceux qui les servent méditent la leçon...
27, 29 et 31 racontent la chasse à la perdrix, qui, finalement, échappe au chasseur. Le v. 32, plus court (un octosyllabe) constitue une chute amusante. La morale est implicite : si le chasseur n'avait pas désiré posséder autant, il serait resté en vie : sa convoitise a eu raison de lui.
La vérité générale dans Les deux Taureaux et une Grenoüille se voit aussi dans cette fable d'Horace : les grenouilles ne seront jamais égales aux taureaux de la même façon que le peuple ne sera jamais égal aux hommes de pouvoir.
La moralité
La morale de l'histoire est explicite. Elle est donnée à la fin de la fable : "Le trépas vient tout guérir ; / Mais ne bougeons d'où nous sommes. / Plutôt souffrir que mourir,/ C'est la devise des hommes."
L'âne y est discret, bon et serviable. Il est en quelque sorte un messager, un lien entre le paradis de Monsieur Cyprien et les gens du village. Il remplit ses missions sans se préoccuper ni des moqueries des enfants ni de la méfiance des adultes.
La morale de la fable
L'originalité du Lion et du Moucheron est de proposer deux morales : Juger à sa juste valeur son ennemi, qui parfois semble inoffensif, mais qui est souvent le plus dangereux. Vaincre certains dangers ne met pas à l'abri d'une mort ordinaire et subite.
Il conclut son conte par une morale où, bien que « tous les loups ne soient pas de la même sorte », tous sont « dangereux »27 ; tel est le fin mot de l'histoire, issue d'une Histoire qui fait remonter au Moyen-âge la peur ancestrale d'un animal réellement dangereux pour l'homme et ses troupeaux.
POUR L'AMOUR DU LION
Il faut toujours faire attention quand on est amoureux, car au final, on peut très vite se faire surprendre par des choses qui peuvent blesser. Comme un bon dicton le dit : L'amour rend aveugle. « Le Lion amoureux » est une fable très peu connue mise à part une morale très intéressante.
Cette fable vise les hommes qui, ne connaissant pas la vérité, pensent en faire accroire aux autres.
Les deux derniers vers du texte sont consacrés à la morale et délivrent donc l'enseignement à retenir : "Selon que vous serez puissant ou misérable / Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir". Ici, une critique est faute de la justice qui est arbitraire et inégale selon la puissance des prévenus.
Morale. La morale que monsieur Jean De La Fontaine voulait nous dire c'est: reste toi-même, ne te crois pas plus fort que ce que tu es. Par exemple, si tu es riche tu n'es pas le maître suprême. Mal prend aux volereaux de faire les voleurs.
Quelle est la morale du Chêne et du Roseau ? Même si le Chêne est apparemment plus résistant, son orgueil le perd. Le Roseau est plus humble, à la fois dans ses paroles et son attitude : "plier" ou "courber le dos" est souvent une image d'acceptation et de patience.