Il se faut entraider, c'est la loi de nature : L'Âne un jour pourtant s'en moqua : Et ne sais comme il y manqua ; Car il est bonne créature.
Cette fable montre que, si les grands font cause commune avec les petits, les uns et les autres assureront ainsi leur vie.
Morale. La fable comporte un enseignement au lecteur. Même si ici, la morale n'est pas explicite, elle peut se résumer par quelques expressions : mieux vaut être pauvre et libre que riche et esclave — mieux vaut vivre pauvre mais indépendant que dans une cage dorée.
« Il faut, autant qu'on peut obliger tout le monde. On a souvent besoin d'un plus petit que soi. » « Rien ne sert de courir, il faut partir à point. »
Dans Le Loup et l'Agneau, la morale se situe au tout début : « La raison du plus fort est toujours la meilleure ». Cela signifie que celui qui a raison est celui qui a le plus de force physique. Ici le Loup est plus fort que l'Agneau, et même si l'Agneau a raison, il se fait manger par le Loup.
Chacun à son métier doit toujours s'attacher.
« D'un magistrat ignorant, c'est la robe qu'on salue ». Cela veut dire que les personnes qui se prévalent des qualités qu'elles n'ont pas sont ridicules aux yeux de tous ceux qui les connaissent.
La morale de la fable Le loup et l'agneau apparaît dès le premier vers, rendant ainsi prévisible la fin de la fable. La Fontaine ne nous donne ni leçon de vie, ni conseil pratique : c'est ici un simple constat sans appel plus qu'une morale : "La raison du plus fort est toujours la meilleure".
La moralité
La morale de l'histoire est explicite. Elle est donnée à la fin de la fable : "Le trépas vient tout guérir ; / Mais ne bougeons d'où nous sommes. / Plutôt souffrir que mourir,/ C'est la devise des hommes."
Ne pas confondre vitesse et procrastination
Lorsqu'il se rend compte que la tortue va franchir la ligne d'arrivée, le lièvre se met à bondir. Mais trop tard. La tortue a remporté la victoire. Et nous connaissons tous la morale de l'histoire : rien ne sert de courir, il faut partir à point !
Résumé de l'histoire : « On a toujours besoin d'un plus petit que soi », et même le roi des animaux peut un jour être sauvé par un modeste rat ! Explication de la morale : il ne faut pas mépriser les plus petits, ou les plus faibles ; chacun a ses qualités et apporte quelque chose aux autres.
Résumé de l'histoire : Un corbeau fier et orgueilleux perché sur un arbre et un renard rusé et flatteur qui veut lui prendre son fromage… Explication de la morale : Il faut savoir garder la raison même quand quelqu'un nous flatte et nous dit ce que l'on veut entendre. La sagesse est toujours la plus forte.
La morale de cette fable est explicite : « Trompeurs, c'est pour vous que j'écris : Attendez-vous à la pareille ». Le renard a voulu faire une farce à la cigogne, mais elle lui a rendu « la pareille », c'est-à-dire qu'elle a utilisé la farce du renard pour s'en servir contre lui.
La panthère vantait à tous coups la variété de son pelage. Le renard prenant la parole dit : « Combien je suis plus beau que toi, moi qui suis varié, non de corps, mais d'esprit. » Cette fable montre que les ornements de l'esprit sont préférables à la beauté du corps.
Par cette deuxième précaution, le Chevreau sauve sa vie et parvient à déjouer le plan du Loup. La morale de la fable : « Deux sûretés valent mieux qu'une, / Et le trop en cela ne fut jamais perdu », signifie qu'il vaut mieux être trop prudent que pas assez. Notre Loup avait entendu ? ».
Loup (le) et la Cigogne (III, 9)
La morale non exprimée dans la fable, racontée avec beaucoup d'ironie, est implicite : Les méchants sont incapables de gratitude, que ceux qui les servent méditent la leçon...
Tout à fait prévisible, la morale de cette fable est un constat : la raison du plus fort finit toujours par l'emporter, la paix reste illusoire. Retrouve les autres artistes de La Fontaine Superstar, le dossier sur la fable et teste tes connaissances sur Jean de La Fontaine.
Genre : la poésie qui met en scène hommes ou animaux personnifiés, suivie d'une morale. Résumé de l'histoire : Une cigale qui vit au jour le jour demande de la nourriture à une fourmi avare ; celle-ci la lui refuse… Explication de la morale : Le travail est une valeur fondamentale et il faut savoir être prévoyant.
La morale de la fable
L'originalité du Lion et du Moucheron est de proposer deux morales : Juger à sa juste valeur son ennemi, qui parfois semble inoffensif, mais qui est souvent le plus dangereux. Vaincre certains dangers ne met pas à l'abri d'une mort ordinaire et subite.
Résumé de l'histoire : Quand le rat des villes invite le rat des champs à dîner, celui-ci découvre les avantages et inconvénients d'un « dîner en ville ». Explication de la morale : Si le monde rural semble moins raffiné que la ville, il offre à ses habitants une sécurité et une tranquillité qui n'ont pas de prix.
Dans certaines cultures autochtones d'Amérique du Nord, le corbeau est considéré comme un messager divin ou un esprit protecteur, et il est généralement associé à des présages positifs.
Quelle est la morale du Chêne et du Roseau ? Même si le Chêne est apparemment plus résistant, son orgueil le perd. Le Roseau est plus humble, à la fois dans ses paroles et son attitude : "plier" ou "courber le dos" est souvent une image d'acceptation et de patience.
Ce qu'on donne aux méchants, toujours on le regrette. Pour tirer d'eux ce qu'on leur prête, Il faut que l'on en vienne aux coups ; Il faut plaider, il faut combattre.
La morale de la fable
Mais la fable montre que les malheureux se consolent en voyant plus malheureux qu'eux. Ainsi le Lièvre se rassure en constatant qu'il est plus chanceux que les grenouilles qui ont peur de lui...
Il conclut son conte par une morale où, bien que « tous les loups ne soient pas de la même sorte », tous sont « dangereux »27 ; tel est le fin mot de l'histoire, issue d'une Histoire qui fait remonter au Moyen-âge la peur ancestrale d'un animal réellement dangereux pour l'homme et ses troupeaux.