5, 2, 8, 9, 4, 7, ? Solution La suite serait : 6, 3, 1, 0. Les chiffres sont classés par ordre alphabétique.
0 – 2 – 5 – 7 – 8 – 9 – 11 – ? Solution La réponse est 100. Chaque chiffre/nombre de la suite est constitué de quatre lettres : “zéro”, “deux”, “cinq”, “sept”, “huit”, “neuf”, “onze”. Le prochain nombre à quatre lettre est donc 100 (cent).
La bonne réponse est 22.
Les vingt-cinq nombres premiers inférieurs à 100 sont : 2, 3, 5, 7, 11, 13, 17, 19, 23, 29, 31, 37, 41, 43, 47, 53, 59, 61, 67, 71, 73, 79, 83, 89, et 97. De telles listes de nombres premiers inférieurs à une borne donnée, ou compris entre deux bornes, peuvent être obtenues grâce à diverses méthodes de calcul.
La suite logique : 4, 6, 15, 105, ? Cette suite logique consiste à soustraire le carré du nombre par le même nombre initial, puis de diviser le résultat par deux, comme suit : (4 × 4 − 4) / 2 = 6.
Difficultés. On écrit, avec suite au singulier : un projet qui n'a pas eu de suite ; des propos sans suite. De suite = sans interruption, d'affilée. Manger douze huîtres de suite ; parler deux heures de suite ; il ne peut pas dire cinq mots de suite sans ajouter « n'est-ce pas ? ».
Quand vous parlez, vous écoutez quelqu'un ou vous lisez un livre ou le journal, vous pouvez jouer en utilisant les mots. Essayez de chercher des synonymes ou les contraires des mots. Cet exercice aide le cerveau à chercher entre ses connaissances, à chercher dans son vocabulaire et à faire des associations logiques !
En mathématiques, la suite de Fibonacci est une suite de nombres entiers dont chaque terme successif représente la somme des deux termes précédents, et qui commence par 0 puis 1. Ainsi, les dix premiers termes qui la composent sont 0, 1, 1, 2, 3, 5, 8, 13, 21 et 34.
Définition d'une suite numérique
On peut lire la définition de la manière suivante : une suite numérique u est une fonction définie sur N, à valeurs dans R, qui à tout entier naturel n associe le nombre réel « u de n », aussi noté « u indice n ».
2- Le terme général d'une suite arithmétique (Un) est donné par la formule suivante: Un = Up + (n-p)×r (où Up est le terme initial).
5, 2, 8, 9, 4, 7, ? Solution La suite serait : 6, 3, 1, 0. Les chiffres sont classés par ordre alphabétique.
Pour la logique vous pouvez vous baser sur la règle de l'action et réaction, autrement dit, la cause et la conséquence, et c'est bien à vous de définir ces conséquences selon vos perceptions.
Résoudre des problèmes de raisonnement logique. Envisagez chaque mot de la question pour y trouver des réponses cachées. Bien des problèmes de logique essayent de détourner votre attention pour vous mener sur la mauvaise voie. Ne vous fiez pas à la première chose qui vous vient en tête.
Pour le trouver, soustrayez le premier terme du deuxième. Dans notre exemple, le premier terme est 107, le suivant est 101, la raison est donc de -6 (101 - 107 = -6 X Source de recherche ).
Pour une simple et bonne raison : tous ces chiffres s'écrivent avec 4 lettres : sept, cinq, deux, zéro, neuf et huit.
Soit la suite logique suivante : 8, 10, 13, 17, 22, ... Quel sera le nombre suivant ? en effet on a : u1 = 8 ; u2 = 8 + 2 = 10 ; u3 = 10 + 3 = 13 ; u4 = 13 + 4 = 17 ; u5 = 17 + 5 = 22 ; le nombre suivant de cette suite logique est donc : 28, u6 = 22 + 6 = 28.
Définition : Une suite est une « succession » de nombres réels. Ces nombres réels sont les termes de la suite. Une suite (un) associe, à tout entier n, un nombre réel noté un et appelé le terme général de la suite. La notation un est la notation indicielle, n est appelé l'indice ou le rang.
Tu dois savoir qu'il y a 2 types de suites que l'on utilise souvent : les suites géométriques et les suites arithmétiques. Une suite arithmétique, c'est quand on fait « +r » à chaque nouveau terme, avec r qui est un réel.
1, 1, 2, 3, 5, 8, 13, 21, 34, 55, 89,… Il suffit de prendre deux nombres de départ. Les ajouter donne le troisième, puis le deuxième + le troisième donne le quatrième et ainsi de suite.
L'Équation de Navier-Stoke.
Pour autant, un mystère demeure : selon l'œuvre de Douglas Adams, le nombre 42 serait la réponse à « la grande question sur la vie, l'univers et le reste ».
Les personnes ayant du mal à assimiler les bases des mathématiques pourraient avoir un cerveau qui les empêche de manier correctement les chiffres, de la même manière que le cerveau des dyslexiques n'arrive pas à bien leur faire manier les mots.