Batteries au lithium : des scientifiques ont trouvé la clé qui les rendra beaucoup moins polluantes. Des chercheurs de l'université de Californie ont trouvé un moyen pour recycler efficacement des batteries, ce qui permet d'éviter l'utilisation massive de métaux lourds comme le cobalt et le nickel.
Notons néanmoins qu'une solution prometteuse se profile à l'horizon, celle des batteries sodium-ion. Composées d'aucun produit chimique toxique ni de métaux lourds, elles jouissent d'une durée de vie d'environ 10 ans et de la certification "Cradle to Cradle"…
Les batteries au lithium, inventées dans les années 80, sont partout. Malgré tout, leur production est très polluante, et leur recyclage, aussi compliqué.
Les piles salines, très peu coûteuses, sont de moins en moins utilisées. Alcalines, elles restent bon marché, et se prêtent à toutes les utilisations. Lithium, leur prix grimpe, mais leurs performances aussi.
L'eau active une poudre à base de magnésium qui en se consommant produit de l'énergie. Et que dire de l'Aquacell, une pile rechargeable qui s'active après un bain de cinq minutes dans l'eau.
Ces batteries industrielles spécialisées s'appuient sur le sel, surchauffé au point de liquéfaction, comme électrolyte. La densité d'énergie d'un sel fondu de batterie est assez élevée, ce qui en fait une source potentielle d'énergie pour les véhicules électriques.
Quand elles sont jetées dans la nature, les piles se dégradent sous l'effet de la corrosion. Si elles sont jetées à la poubelle, elles sont enfouies - et finissent là aussi par se dégrader - ou incinérées, et relâchent alors ces métaux qui peuvent polluer l'environnement.
Pour le premier trimestre (juillet-septembre), il a publié un bénéfice net de 1,99 milliard de dollars (1,57 milliard d'euros), soit 69 cents par action, contre 3,03 milliards (1,04 dollar par action) un an auparavant.
Les piles rechargeables connaissent des pertes d'énergie lorsqu'elles ne sont pas utilisées pendant longtemps. Ainsi elles sont peu adaptées à un usage occasionnel. Le problème majeur des piles non rechargeables est que certains de leurs composants sont des métaux lourds non biodégradables.
Ces deux types de piles sont très utiles au quotidien et fournissent la même énergie. Cependant, leurs tailles diffèrent. Les piles AAA sont plus petites que les piles AA.
La pollution des voitures électriques est inexistante : faux ! C'est un des points souvent mis en lumière par ses détracteurs. Même si à l'usage, la voiture électrique n'émet pas de CO2, la construire, c'est une autre affaire. La fabrication de leurs batteries est notamment remise en cause.
Une voiture électrique émet 25% de CO2 en moins qu'une voiture diesel si elle roule en Pologne. Elle en émet 80% de moins si elle roule en France. Enfin, lors de son utilisation, le véhicule électrique émet bien quelques particules fines, issues du freinage, mais six fois moins que les modèles essence ou diesel.
Le risque le plus redouté, le plus connu mais surtout le plus fréquent est l'emballement thermique d'une cellule, l'unité de base d'une batterie. Cet emballement peut être du à des problèmes d'assemblage, à des chocs, ou à une forte augmentation de température.
Un véhicule électrique ne pollue presque pas. En fonctionnement, celle-ci n'émet pas de gaz à effet de serre. De plus, le véhicule électrique ne produit pas de nuisances sonores comme le fait un véhicule thermique.
L'électricité, seule source d'énergie d'une voiture électrique, pollue nettement moins que l'essence et le diesel. En France, parcourir 100 kilomètres en voiture électrique rejette indirectement 0,85 kg de dioxyde de carbone (16 kWh à 74 g CO2/kWh*).
L'extraction du Lithium que l'on jugeait polluante ne compte en fait que pour 2,3% dans le bilan écologique des batteries. La production des autres matières premières telles que le Cuivre et l'Aluminium compte pour 7,5%.
Parmi les meilleures piles rechargeables testées par des organismes externes, la meilleure épreuve de test piles rechargeables 2019 a été décernée aux piles Ansmann C 4500 mAh, NiMH 1,2 V, lot de 4. Celles-ci sont réputées pour leur haute capacité ainsi que leur faible décharge à long terme.
Comment choisir ses piles rechargeables ? La première chose à faire est bien sûr de vérifier le format des piles dont vous avez besoin : piles rondes (LR6 ou AA, LR3 ou AAA, LR61 ou AAAA, LR14 ou C...) piles carrées (6LR61 ou PP3, 3LR12 ou 1203...) ou piles boutons (LR44, CR2032...).
Test des accus au voltmètre
D'abord, testons la tension de ces cellules en utilisant le multimètre. Elle est de 1,5V, 1,2V… elle descend très rapidement, ce qui signifie que cette pile est morte ou abîmée.
Les piles Duracell sont produites dans des usines aux États-Unis (Cleveland, LaGrange, Lexington et Waterbury), au Canada (Mississauga), en Belgique (Aarschot) et au Mexique (Mexico). En 2006, Duracell annonce la fermeture de l'usine de Wrexham au Royaume-Uni en 2007.
"Aucune pile ne dure aussi longtemps." En 1973, apparaît le petit lapin rose, la mascotte de Duracell. L'agence publicitaire de New York, Dancer, Fitzerald et Sample, crée la publicité télévisée mémorable "Le lapin qui joue de la batterie".
Le lapin, symbole d'abondance et de travail pour les Aztèques, était l'animal parfait pour symboliser l'énergie supérieure des piles Duracell.
Une pile est considérée morte à partir de 1V et en dessous. Entre 1 et 1,2V la pile conviendra parfaitement pour l'utilisation d'appareils basse consommation (par exemple la télécommande).
Jetées dans la nature, les piles se dégradent sous l'effet de la corrosion. Jetées à la poubelle, elles sont enfouies - et finissent là aussi par se dégrader - ou incinérées. Elles relâchent alors ces métaux qui peuvent polluer l'environnement. Ainsi le nickel peut être responsable d'un eczéma ou de sinusites.
Parce que les piles sont toxiques
Parmi eux, de nombreux métaux lourds comme le mercure, le cuivre, le plomb, le zinc, le nickel et le cadmium. Ces métaux sont de véritables fléaux pour notre environnement. Même jetés en décharge, ils s'infiltrent dans les sols et polluent notre atmosphère.