Sur les 200 millions de tonnes de déchets plastiques qui se trouvent dans la mer, seul 0,6 %, soit 1 million de tonnes, se trouve à la surface.
Personne ne sait avec certitude quelle quantité de plastique, pratiquement indestructible, s'est accumulée dans les mers. La meilleure estimation, datant de 2015, l'évalue à 150 millions de tonnes métriques. Selon l'étude, cette valeur devrait atteindre 600 millions de tonnes métriques d'ici 2040 si rien ne change.
Avec huit millions de tonnes par an, le plastique représente 75 % de ce volume, la moitié étant constituée de sacs. Les experts estiment que dans trente ans, il y aura plus de déchets que de poissons dans l'océan.
La quantité de plastique qui s'accumule dans les océans représente 10 % de la matière plastique produite dans le monde.
Chaque minute, 17 tonnes de déchets plastiques sont déversées dans les océans. Chaque minute, 17 tonnes de déchets plastiques sont déversées dans les océans. Soit 9 à 12 millions de tonnes chaque année.
La principale source de pollution ponctuelle de l'eau provient du traitement des eaux usées et des eaux d'égout, tandis que la pollution diffuse a pour sources principales l'agriculture et les centrales à combustible fossile (via la pollution de l'air).
20% des déchets plastiques des océans sont générés par la flotte maritime. Les 80% restants proviennent d'activité terrestre. La grande majorité des déchets plastiques sont des emballages, soit 146 millions de tonnes. Les pays riches sont à l'origine de près de 40% de ces déchets.
Un tout petit déchet en soit. Mais en multipliant cette donnée par des milliards, le mégot arrive en tête du « Top 10 des déchets marins », selon l'association SurfriderFoundation Europe. Plus que les sacs plastiques ou les pailles, ce sont les mégots de cigarettes qui pollueraient le plus les océans.
Il fait 3,5 millions de km2 (soit 6 fois la France) et est composé de plastiques à 90%... On l'appelle « le 7ème continent ». Découvert en 1997 par l'océanographe américain Charles Moore, il ne constitue pas une masse solide mais une zone où la mer est saturée par les débris plastiques.
Le septième continent se situe au nord-est de l'océan Pacifique et s'est formé à partir de millions de tonnes de détritus plastiques drainés par les courants océaniques.
Bien au contraire. Selon l'ONU, en 2021, ce sont 17 tonnes de plastique qui continuent d'être déversées dans les océans chaque minute ; soit entre 9 et 12 millions de tonnes par an. Actuellement, les océans contiennent plus de 150 millions de tonnes de plastiques.
Arrêter le plastique à usage unique. Sacs plastiques, cotons tiges, pailles, bouteilles d'eau en plastique, sont ultra polluants car non biodégradables. Remplacez-les par des alternatives durables (sacs en tissus, des pailles en inox, des cotons tiges réutilisables) et dites non au tout jetable. Nettoyer les plages.
Le plastique se retrouve dans les océans de plusieurs façons : Les déchets (intentionnels ou non, le vent ou la pluie emportant les déchets dans l'océan) Décharge illégale ou élimination inadéquate des déchets. Fuites en provenance des décharges.
Chaque année 600 000 tonnes de plastique sont rejetées dans la mer Méditerranée. A la veille de la journée mondiale de l'Océan, le WWF publie un nouveau rapport qui dresse un constat alarmant sur la pollution plastique en Méditerranée et analyse la responsabilité des 22 pays méditerranéens face à ce fléau.
Une récente étude publiée dans la prestigieuse revue scientifique Nature fait état des principaux déchets plastiques retrouvés dans les océans. Les sacs à usage unique, les bouteilles, les contenants et les emballages alimentaires sont les quatre articles les plus répandus qui polluent les mers.
Actuellement, 40 % environ des produits en plastique sont jetés au bout de moins d'un mois. Le bâtiment (et les travaux publics) est le deuxième secteur où le plastique est le plus utilisé : revêtements, fenêtres, canalisations, etc. Il se retrouve aussi toujours plus dans tous les types de transports.
Mes déchets annuels tiennent dans un bocal d'1L depuis 5 ans. Alors est-il possible de vivre sans plastique ? Oui bien sûr ! Et même sans déchet, ni gâchis.
Il s'agit de Zealandia. D'une superficie d'environ 3,5 millions de kilomètres carrés, Zealandia (qui porte également le nom de Tasmantis) est d'environ de la même taille et de la même forme que le Groenland.
Né il y a 240 millions d'années, il s'appelle "Greater Adria" et a la taille du Groenland.
130 millions de tonnes de déchets plastiques en 2019
L'étude révèle ainsi que Singapour est en tête des pays qui produisent le plus de déchets plastiques à usage unique par habitant, avec 76 kilogrammes (kg) par personne en 2019.
Ainsi, en 2020, la Chine arrive en tête d'un tel classement avec des émissions de CO2 représentant 9 899 millions de tonnes, soit plus de 30 % des émissions mondiales. Les États-Unis sont à la deuxième place avec 4 457 millions de tonnes de CO2 émis (13,8 % du total mondial).
Nommée «Jenny», elle consiste, pour résumer, en deux navires traînant un grand filet à vitesse lente à la surface de l'océan, dans lequel viennent s'échouer nos indésirables poubelles, qu'il suffit ensuite de refermer et d'envoyer au recyclage.
Atouts : possède des propriétés antimicrobiennes intrinsèques, très résistant aux produits chimiques, flexible… Utilisation : il s'impose dans le bâtiment (tuyaux, canalisation, tour des fenêtres…) mais aussi dans le secteur de la santé, utilisé pour les poches de sang et les tubules, par exemple. >>
Les déchets en plastique sont tout autant problématiques sur terre qu'en haute mer : ils remplissent les décharges, encombrent les cours d'eau et génèrent de la pollution lorsqu'on les brûle à ciel ouvert ou en incinérateur.