Environ 70% de la surface de la terre est couverte d'eau. Mais l'eau existe également dans l'air sous forme de vapeur et dans les couches aquifères du sol, en tant qu'eaux souterraines. La réserve totale en eau de la planète est de 1.400.000.000 km3 (1 m3 d'eau représente 1.000 litres).
L'eau sur la planète Terre
L'eau recouvre 72 % des 509 millions de km2 de la surface du globe. C'est ainsi qu'on surnomme la Terre la planète bleue. On estime son volume à environ 1400 millions de km3. Ce qui représente un cube de plus de 1000 km de côté.
La masse d'eau totale de l'hydrosphère n'évolue pas au cours des siècles et reste infiniment constante. L'eau s'évapore, forme la vapeur d'eau qui, en se transformant en pluie, va alimenter les mers, les cours d'eau et les nappes souterraines.
L'eau présente sur Terre est répartie dans différents « réservoirs ». La surface de la Terre est occupée à 71 % par des océans. 97 % de l'eau présente sur Terre se trouve dans les océans (eau liquide salée).
Le Brésil. Ce pays possède le plus grand volume de ressources renouvelables en eau douce, totalisant environ 8 647 Km3 par an. L'eau douce du Brésil représente environ 12 % des ressources mondiales en eau douce. La région amazonienne du Brésil contient plus de 70% de l'eau douce totale de ce grand pays.
Ainsi, il faut éviter de consommer l'eau du robinet de la Lituanie, des Îles Féroé, de la Turquie, de l'Albanie, de Chypre, du Monténégro, de la Bulgarie, de la Géorgie, de la Serbie, de la Roumanie, de la Bosnie-Herzégovine, de la Macédoine du Nord, de la Moldavie et du Kosovo.
C'est déjà le cas de 17 pays dans le monde dont L'Inde, la Lybie, le Qatar, le Botswana, les Emirats Arabes Unis, le Maroc, la Jordanie, le Pakistan ou encore le Liban selon le rapport 2019 de l'Institut des ressources mondiales.
Tout le monde connaît le surnom donné à la Terre, celui de « Planète bleue ». La Terre est bleue…
Pourquoi ? Parce que la Terre est une planète qui fonctionne en circuit fermé. Lorsqu'un litre d'eau arrive à la mer, un litre d'eau s'évapore. C'est ce que l'on appelle le cycle de l'eau.
L'eau des ruisseaux, rivières, fleuves rejoint les mers et océans, c'est le ruissellement. L'eau des nappes souterraines s'infiltre également jusqu'à rejoindre mers et océans. Le cycle peut alors recommencer.
Ce chiffre devrait atteindre 50-65 % en 2025. D'ici à 2050, près de la moitié de la population mondiale vivra dans des zones où l'eau sera une denrée rare ; 90 % de la croissance démographique aura lieu dans ces zones.
Les grands déserts des côtes orientales des continents, jouxtant les eaux froides et poissonneuses des océans tropicaux (Atacama au Chili et sa prolongation au Pérou ; Sahara mauritanien ; Namibie…), sont des régions du monde où il ne pleut quasiment jamais.
Sur Terre, les conditions de température et de pression ont fait passer l'eau sous forme liquide, et ainsi les océans ont-ils apparu. Protégée des radiations par l'atmosphère, l'eau a pu se maintenir jusqu'à aujourd'hui.
L'eau pourrait provenir des comètes, qui, après la période d'accrétion, se sont écrasées sur Terre. En effet, les comètes sont des corps célestes issus de la ceinture d'Edgeworth-Kuiper ou du nuage d'Oort ; elles ont un diamètre en général inférieur à 20 kilomètres, et sont composées à ~80 % de glace.
Dans le 1er numéro de Curionautes, tu as croisé le nom d'Ératosthène, un savant grec qui a démontré que la Terre était une sphère il y a plus de 2 000 ans !
La salle de bains est la pièce qui consomme le plus d'eau dans la maison. Un bain consomme 150 litres en moyenne contre 60 pour une douche, il est donc important de privilégier cette dernière.
N°1 ex-aeqo mais pas pour tout le monde : le chauffe-eau et les radiateurs. Chacun consomme en moyenne plus de 1.000 kWh par an, mais de nombreux ménages ne sont pas concernés : environ 40% des ménages se chauffent au gaz et près de 10% utilisent du fioul.
Dans ce cas de figure, c'est l'agriculture qui arrive en tête des consommateurs : les agriculteurs puisent de l'eau qu'ils utilisent principalement pour l'irrigation, les plantes la consomment et l'évacuent en transpirant dans l'atmosphère et pas dans les rivières.
Ces réservoirs sont alimentés par la pluie, et sont vidés par l'évaporation ou par la consommation humaine. Si les humains consomment trop d'eau, ces réservoirs peuvent se tarir, donc l'eau peut y disparaître. Avec le changement climatique, les pluies risquent d'augmenter ou de diminuer selon les régions.
En 2050, 5,7 milliards d'êtres humains pourraient vivre dans des régions où l'eau manque au moins un mois par an. Ce sera presque six humains sur dix. Voilà le constat alarmant qu'a fait l'ONU lors du 8ème forum international de l'eau qui s'est terminé vendredi à Brasilia, au Brésil.
L'augmentation des besoins en eau douce, la croissance des populations, les sécheresses périodiques et la variabilité toujours plus grande des précipitations suite au changement climatique sont autant de facteurs qui créent des conditions de stress et de manque d'eau dans de nombreuses régions africaines.