En n'écrivant qu'un seul s, on obtiendrait le son [z]. Si la lettre s est en début de mot ou entre deux consonnes ou entre une voyelle et une consonne, on entend le son [s]. Pour obtenir le son [s] entre deux voyelles, il faut doubler le s. Quand la lettre s est entre deux voyelles, on entend le son [z].
- sont provient du verbe être conjugué au présent de l'indicatif : ils sont. - son est un adjectif possessif tout comme mon, ma, ton, ta, sa etc. La façon la plus simple pour les distinguer est de mettre la phrase dans un autre temps comme l'imparfait. À l'imparfait, sont devient étaient tandis que son ne change pas.
On récapitule ! « Sont » écrit avec un « t » est une forme du verbe « être ». On peut le remplacer par étaient. « Son » écrit sans « t » est un déterminant possessif.
On peut écrire « sont » avec un « t » lorsqu'il s'agit du verbe « être » conjugué à la troisième personne du pluriel du présent de l'indicatif. Si on peut remplacer « sont » par l'imparfait à la troisième personne pluriel « étaient », alors on peut écrire « sont » avec un « t » à la fin.
a) On écrit "son" lorsqu'il s'agit d'un adjectif possessif et qu'on peut le remplacer par le pluriel "ses", comme dans la phrase 2. Exemple : -L'élève a perdu son stylo. -L'élève a perdu ses stylos.
C'est un déterminant possessif masculin singulier. C'est le verbe être conjugué à la 3e personne du pluriel au présent. Ne mange pas son yaourt. C'est un déterminant possessif masculin singulier.
En effet, ma, ta et sa sont les formes féminines du singulier correspondant aux formes masculines mon, ton et son, alors que les déterminants mes, tes et ses sont utilisés pour le pluriel aussi bien des noms féminins que des noms masculins.
Règle. La lettre c se prononce comme un s devant les voyelles e, i, y, mais comme un k devant les voyelles a, o, u. Cas dans lesquels la lettre c se prononce comme un s. Cas dans lesquels la lettre c se prononce comme un k.
La consonne t peut être prononcée [s] lorsqu'elle est suivie de la voyelle i dans les groupes tia, tie et tion. Souvent, les mots composés avec ces groupes appartiennent à une famille dans laquelle on trouve un t dans d'autres mots.
On écrit « son », et non « sont ».
Le doublement du « s » :
- À l'imparfait du subjonctif des verbes tenir, venir, on double le « s ». Ex. : que je tinsse, que je vinsse. - On double la consonne après une voyelle accentuée : émission.
En effet, nombreux sont ceux à écrire «va-t-en» comme on écrit «va-t-on». «Cette incorrection, explique l'Académie française dans sa rubrique Dire / Ne pas dire, est liée au fait que l'on confond un t euphonique, qui doit être lié aux mots l'entourant par des traits d'union, et t', forme élidée du pronom te.»
Une règle simple pour savoir si on doit mettre é ou er à la fin d'un verbe est de le remplacer par le verbe "vendre" dans la phrase. Si l'on dit "vendu", il faut mettre é, sinon il faut mettre "er". On peut aussi utiliser le verbe "prendre" pour les terminaisons au féminin mais ça marche moins bien au niveau du sens.
ON est un pronom (im)personnel qui s'utilise comme il ou nous. On peut le remplacer par il. ONT est l'auxiliaire avoir conjugué au présent, on peut le remplacer par "avaient".
Un homophone est un mot dont la prononciation est identique à celle d'un autre mot, mais dont le sens diffère. Cette identité sonore, l'homophonie – du grec homos « semblable » et phonê « son » – est une source d'erreurs à l'écrit, car les homophones s'écrivent différemment dans la plupart des cas.
« C' » et « S' » sont des homophones : ils se prononcent de la même manière, mais s'écrivent différemment. « C' » peut toujours être remplacé par « cela ». « S' » est la forme contractée de « se ». Si on transforme la phrase avec le sujet « je » ou « tu », il devient « m' » ou « t' ».
Dans la langue française, en général, il suffit d'ajouter un "-S", aux mots ou adjectifs pour former le pluriel. Mais, bien sûr, cela serait trop simple ! Alors pour corser un peu la chose il y a des exceptions. Mes livres sont excellents.
Pour obtenir le son (ce), on écrit « SS » entre deux voyelles. Mais il y a quelques exceptions qu'il vous faudra découvrir peu à peu, comme : parasol, tournesol, entresol, contresens, contresigné, vraisemblablement, ... Pour obtenir le son (ze), on écrit « S » entre deux voyelles.
La lettre c se prononce [s] devant les voyelles e, i et y. La lettre c se prononce [s] devant les voyelles a, o et u quand on lui ajoute une cédille : ç. La lettre c se prononcent [k] devant les voyelles a, o et u.
En règle générale, le son [o] s'écrit : e-a-u à la fin des mots. a-u au début ou au milieu des mots quand le son o est fermé. o au début ou au milieu des mots quand le son o est ouvert.
On écrit c'est quand le groupe peut être remplacé par cela est. Exemple : C'est de ta faute ! (→ Cela est de ta faute !) On écrit s'est quand on a affaire à un verbe pronominal conjugué à un temps composé.
L'Académie répond : Devant un nom commençant par une voyelle ou un h muet, les adjectifs possessifs ma, ta, sa deviennent mon, ton, son pour éviter l'hiatus. Mon amie et non ma amie ; Ton épée et non ta épée ; Son oreille et non sa oreille.
–> Quand il y a plusieurs choses ou plusieurs êtres pour chaque possesseur. Elles ont coupé leurs cheveux. En été, les arbres ont toujours leurs feuilles. Les éleveurs ont vendu leurs bêtes.