En Martinique, la religion catholique est omniprésente avec ses deux monastères de bénédictins, ses innombrables églises paroissiales et ses 49 paroisses. Chaque dimanche, vous verrez les églises se remplir et entendrez les chants catholiques un peu partout.
La majorité de la population est catholique, religion importée par les Anglais et les Français à leur arrivée sur l'archipel. A cette époque, les colons transmirent le catholicisme aux esclaves.
La culture de la Martinique est issue du mélange des différentes cultures qui la composent : culture africaine, culture indienne, culture sud-américaine, culture syro-libanaise. Ces influences se sont combinées avec la culture européenne.
La Martinique (en créole martiniquais Matinik ou Matnik ; anciennement appelée Iouanacaera ou Jouanacaera (l'île aux iguanes) en langue caribe, ou encore Mantinino par les Autochtones, que Christophe Colomb a transcrit en île aux femmes, sans référence étymologique) est une île française située dans les Caraïbes et ...
Ils l'appelaient Matinino, nom que Colomb traduisit par isla de las mujeres , « l'île aux femmes » et non l'île aux fleurs ainsi que l'affirment l'Encyclopædia Universalis ou la Britannica. Comme Colomb avait, par décret, le monopole des découvertes des nouvelles Indes, il privilégia Matinino à Joanacaera.
Les premiers habitants de la Martinique sont les Arawaks, venus d'Amazonie. Ils s'installèrent à la Martinique, et plus précisément aux alentours de la montagne Pelée, pour pratiquer la pêche, l'agriculture, la cueillette, et fabriquer de superbes céramiques colorées.
Le créole martiniquais fait partie du continuum des « créoles antillais » (dont il est parfois considéré comme un dialecte), à l'instar des créoles guadeloupéen, saint-lucien, dominiquais, et trinidadien.
Les Arawaks, premiers habitants de l'île
S'il est difficile de dater précisément le début de la présence humaine sur l'île, l'arrivée des Arawaks en Martinique remonterait à environ un siècle avant notre ère, soit plus de 2000 ans en arrière.
Le 15 septembre 1635, Pierre Belain d'Esnambuc débarque à la Martinique. Au nom du roi Louis XIII, il prend possession de cette petite île volcanique des petites Antilles au climat tropical, jusque-là délaissée par les Européens.
Le français est la langue officielle en Martinique et il est parlé par environ 81 % de la population. Pourtant, la langue maternelle des habitants est le créole. Les deux langues sont d'ailleurs enseignées à l'école.
niveau de vie moyennement élevé, deux estiment qu'il est plutôt faible et une personne le qualifie de faible. En Martinique, 42 % des ménages estiment que leur niveau de vie s'est détérioré au cours des cinq dernières années, contre 32 % en Guadeloupe et 30 % en Guyane.
Dans les villes les plus « riches », en Martinique, que sont Case-Pilote et Schoelcher, 20 % de la population vit avec moins de 720 euros par mois…
Son PIB est de 8,882 milliards d'euros soit 23 200 d'euros courants par habitant en 2015, par rapport à 31 630 € en métropole. La Martinique reste donc une petite région mais se place au deuxième rang des régions ultramarines après Saint-Pierre-et-Miquelon et la Nouvelle-Calédonie quant au PIB par habitant.
En Guadeloupe, un millier de musulmans suit depuis plus d'une semaine le ramadan. Parmi eux, des Guadeloupéens convertis à l'Islam vivent leur foi en toute quiétude. Depuis quelques années, l'Islam se développe et compte de plus en plus de fidèles en Guadeloupe.
La religion principale de la Guadeloupe est donc la religion catholique, importée par les colons anglais et français et transmise aux esclaves de l'époque. Mais d'autres religions en Guadeloupe sont également pratiquées, avec une population importante d'hindous, de témoins de Jéhovah et de méthodistes.
Presque toutes les religions sont représentées en Guadeloupe. Vous croiserez quelques rares hindous, des musulmans, des catholiques de moins en moins nombreux. Au contraire, ces derniers laissent de plus en plus de parts aux témoins de Jéhovah, aux baptistes, aux adventistes et aux méthodistes.
Président : Serge Letchimy.
Issue d'une riche famille de colons à la tête d'une exploitation agricole, Joséphine naît Marie Josèphe Rose Tascher de La Pagerie aux Trois-Ilets en Martinique en 1763. De sa maison de naissance à la plantation familiale, on part sur les traces d'une enfant promise à un avenir historique.
sont ils considérés commes des latinos (américains).
Les Blancs créoles sont les descendants des premiers colons. Ils sont couramment appelés « Békés ». Cette appellation peut être ressentie comme péjorative [10]. Cependant, mes informateurs blancs créoles se désignent eux-mêmes comme « Békés ».
Aux Antilles françaises, un béké est un blanc créole descendant des premiers colons. Ce terme concerne principalement les descendants originaires de Martinique mais aussi ceux de Guadeloupe. En Martinique, les békés constituent un peu moins d'un pour cent de la population, soit environ 3 000 personnes.
Les Amérindiens des Antilles sont les populations qui peuplaient cette région avant 1492 (Cultures précolombiennes), ainsi que leurs descendants.
Il loge depuis à l'hôtel. Cette demeure ainsi que la propriété d'Alain Huygues-Despointes sont situées à Cap Est, près du François, dans la partie Est de la Martinique, surnommée «Békéland». C'est là que vivent la plupart des békés, qui représentent entre 1 et 2,5% de la population martiniquaise.
Ainsi, ce sont les «esclaves bossales» qui auraient créé les langues créoles, en tentant de se réapproprier les variétés linguistiques imprécises énoncées par les «esclaves créoles», beaucoup plus proches de leurs maîtres blancs.