Étymologie. De l'arabe ما شاء الله , mā šāʾAllāh (« Dieu l'a voulu »), composé de ما , ma (« que »), شاء , sha (« vouloir ») et الله , Allāh (« Dieu ») → voir Mashalla et Allah.
Interjection - français. (Rare) Dieu soit loué .
« Machallah » est une expression très utilisée en islam qui veut dire littéralement « ce qu'a voulu Allah ». Elle pourrait aussi se traduire en français par « selon la volonté d'Allah » ou « qu'il plaise à Allah ».
En résumé, « Inchallah » est utilisé pour parler de l'avenir et de la volonté de Dieu pour les événements futurs, tandis que « Mashallah » est utilisé pour exprimer l'admiration et la gratitude envers les choses que Dieu a déjà accordées ou créées.
(Islam) Formule employée par les musulmans comme un bénédicité ou avant d'entreprendre quelque chose.
Interjection. Formule par laquelle les musulmans expriment leur gratitude à Dieu, leur satisfaction d'un évènement ou d'une affaire qui tourne bien.
Pour les personnes âgées, si l'on possède beaucoup mais que l'on n'est pas satisfait, c'est un signe de manque de baraka ; en revanche, si on possède peu sans se plaindre et tout en étant bien, cela signifie qu'on a la baraka. La baraka la plus évoquée est celle d'Allah.
Qu'Allah te protège ainsi que tes enfants. الله يحمي لكم أولادكم . En tout cas merci pour tout et qu'Allah te protège toi et les tiens InchAllah.
Comme le mot starfoullah provient de la déformation d'un mot arabe, notée en alphabet latin, il possède plusieurs graphies différentes : starfoulah , starfallah , starfirallah , etc.
Wallah signifie ”par dieu” dans la langue arabe, il sous-entend qu'on jure en prenant Dieu à témoin. « Rien n'empêche un chrétien qui s'exprime dans une autre langue que l'arabe de dire “wallah”, poursuit Ghaleb Bencheikh. Il m'arrive de dire : ”My God”. Un anglican peut-il m'en vouloir car j'ai dit ça ?
Yalla veut dire « allons-y !, en avant ! » C'est d'abord un mot utilisé pour inciter à se dépêcher. Dans ce sens, il est proche de vite , prononcé comme interjection. Quand il est répété plusieurs fois, il exprime un plus grand empressement. Mais yalla s'utilise aussi au figuré comme signal pour passer à l'action.
Le mot wallah est couramment employé, notamment par les adolescents et les jeunes adultes (pas nécessairement musulmans), pour jurer, pour assurer que ce qu'ils disent est vrai, ou même pour renforcer leur propos, sans réelle référence à Dieu.
Miskine, miskina au féminin, est une interjection qui s'insère dans une phrase ou vient la ponctuer en bout de ligne. C'est une exclamation de pitié empreinte de compassion qui semble dire « Oh ! le pauvre ! ». Tantôt elle sera teintée d'humour, tantôt elle sera accusatrice, un peu comme on dirait « pauvre type ! ».
"Miskine" désigne en arabe "pauvre". Le terme peut se transformer en "Miskina" et est employé pour signifier que vous inspirez la pitié.
Un serment par Allah, qui se fait généralement au moyen de l'interjection arabe « wAllah » (والله dans l'alphabet arabe), signifiant littéralement « par Allah » ou par Dieu (sous-entendu « [je le jure] par Allah »), consiste pour un locuteur de confession musulmane à prendre à témoin Allah pour prétendre que ses propos ...
« Qu'Allah te bénisse, qu'il mette la bénédiction sur toi et qu'il vous rassemble tous les deux dans le bien.». En phonétique; Baraka Allahou Laka Wa Baraka 'Alayka Wa Jama'a Baynakouma Fi Kheyr!
Le musulman peut invoquer Allah afin qu'Il guide un individu mécréant. Pour cela, il se servira de la phrase arabe « Allah yahdik » ou encore « Hadahoullah ».
Un hâfiz (en arabe : حافِظ [ḥāfiẓ], gardien ; conservateur, pl. حُفاظ [ḥuffāẓ], variante Hafez, Hafiza au féminin) est une personne qui connaît le Coran par cœur et qui souvent aussi en récite au moins des parties à des occasions précises. On estime le nombre de hâfiz à 200 millions dans le monde.
Il s'agit d'une somme d'argent versée par le père du garçon à celui de la fille et qui ne peut être conservée par ce dernier. Elle doit être dépensée pour constituer le trousseau de la fiancée (robes, bijoux, meubles, ustensiles de cuisine, parfums, etc.) qu'elle apportera le jour où elle viendra rejoindre son époux.
Cette profession de foi est récitée à quatre moments de la vie d'un musulman : lors de son adoption de l'islam, lors de la prière, lors d'une expression de sa foi ou d'un appel à Dieu et enfin, lors de l'accompagnement d'un mourant dans la mort.
La chahada est constituée d'une phrase brève, Achhadou an lâ ilâha illa-llâh, wa ashadou ana muhammad rasûlu-llâh, qui se traduit par Je témoigne qu'il n'y a de Dieu que Dieu et que Mohammed est son prophète.
De l'arabe كيفك , kifak, forme contractée de كيف حالك ؟,keyfa halok ? (« comment vas-tu ? »).
Abdallah (arabe : عبد الله) (parfois orthographié Abdellah ou Abd Allah ou Abdullah), est un des prénoms arabes qui veut dire « serviteur d'Allah ». La formé abrégée Abdel est très souvent utilisée. L'équivalent de ce prénom en Afrique noire est Abdoulaye. La traduction latine est Servus Dei.
On a souvent tendance à écrire « hamdoulah », ou encore « hamdoulilah », mais la transcription écrite et plus correcte en alphabet latin est « al hamdoulilah » en arabe, qui est encore assez discutable puisque là aussi on part de la phonétique, c'est de la translittération.
Car "wesh" est en fait un adverbe interrogatif qui nous vient de l'arabe algérien. On dit ainsi "Wesh kayn ?" pour dire "Qui y a-t-il ?" et "Wesh rak" pour dire "Comment vas-tu ?".