Le plan détaillé et la structure d'un mémoire. La première partie est plutôt théorique, n'oubliez pas de préciser dans la seconde sous partie les opinions ou points de vue des auteurs. En revanche, la deuxième partie doit mettre en avant les expérimentations ou les recherches effectuées.
La première partie est théorique
→ La première sous-partie doit définir les concepts clés du sujet; → La deuxième sous-partie doit confronter les points de vue des auteurs sur la question; → La troisième sous-partie doit proposer des hypothèses de recherche, qui sont des pistes de réponses à la problématique posée.
L'introduction du mémoire est consacrée à la présentation de votre sujet de recherche : vous devez présenter le sujet de la recherche, la problématique, la méthodologie et la structure de votre travail. C'est l'occasion de susciter l'intérêt du lecteur.
FORMAT DU MEMOIRE :
Le mémoire doit être obligatoirement imprimé et relié. Le texte doit être aéré (interligne 1,5) et les paragraphes doivent être justifiés. La police des caractères sera Garamond 12 points et les marges seront de 3 points à gauche et de 2 à droite. Le mémoire aura entre 40 et 50 pages.
De manière générale, un texte comporte une introduction, un développement et une conclusion. Voici ce qui caractérise chacun : L'introduction informe le lecteur du sujet, des aspects qui en sont traités et donne un aperçu du plan que l'on va suivre dans le développement.
La mémoire a besoin d'être organisée, structurée, classée. Aussi pour retenir des informations, il est important de leur donner un ordre d'importance (à faire apparaître sur vos fiches de révision). Leur donner un ordre logique vous aidera aussi, comme lorsqu'on déroule une pelote de laine.
La numérotation commence toujours au recto (numéro impair) de la première page imprimée (page de titre) et se termine toujours à la dernière page imprimée, quel que soit le nombre de volumes. La numérotation doit être continue, annexes et illustrations comprises.
La mise en page d'un mémoire doit respecter certaines consignes pour garantir sa lisibilité et sa qualité de présentation. Tout d'abord, la police de caractères utilisée doit être claire et lisible, telle que Times New Roman ou Arial, en taille 12 ou 11. L'interligne doit être de 1,5 ou 2 pour faciliter la lecture.
Pour être efficace, une introduction se déroule en 4 étapes : l'approche, l'explication du sujet, la formulation de la problématique, et enfin l'annonce du plan. L'accroche peut se faire notamment par le biais d'une citation ou d'un fait d'actualité.
Comment rédiger une problématique
Structurer les données et éventuellement les résultats attendus. Ensuite, partir d'une idée reçue sur le thème délimiter le champ de recherche. Convertir le thème de recherche en plusieurs questions dont l'enjeu permet de mener à bien la discussion.
La mémoire de travail (à court terme) est au cœur du réseau. La mémoire sémantique et la mémoire épisodique sont deux systèmes de représentation consciente à long terme. La mémoire procédurale permet des automatismes inconscients. La mémoire perceptive est liée aux différentes modalités sensorielles.
La page de titre, la table des matières, l'introduction, un chapitre, la conclusion, une annexe, la bibliographie, etc. doivent toujours débuter sur une nouvelle page et ne doivent pas être paginés.
Traditionnellement, en France, le sommaire (principales parties du document) se place en début de document et la table des matières (ensemble des parties et sous-parties du document) à la fin.
Le nombre de pages d'un mémoire se compte hors annexes et hors pages de titre et de couverture.
Un bon sujet de mémoire donne une problématique originale, susceptible de déboucher sur de nouvelles connaissances, ciblée et vérifiable, importantes pour la recherche et pouvant être étudiées dans le cadre de votre projet de mémoire.
Oui, car lire plus vite ne signifie pas retenir moins bien. Des tests ont montré qu'un individu entraîné assimile 80% des thèmes abordés, contre 60% pour un lecteur ordinaire. L'explication est simple : la lecture rapide impose une attitude active. Il faut être concentré, ce qui, à l'arrivée, aide à mieux mémoriser.
Très résistante dans le temps, la mémoire procédurale (une mémoire implicite) est la seconde partie de la mémoire à long terme. Elle correspond à la mémoire des automatismes, des habiletés et des savoir-faire.
Il est aussi défini comme « Ensemble des conditions naturelles, sociales, culturelles dans lesquelles se situe un énoncé, un discours ». Faire un contexte veut dire trouver des éléments autour du sujet, notamment des faits d'actualités, qui justifient le choix de ce sujet.
Faire un mémoire peut être la source de profondes satisfactions : découvertes intellectuelles, enrichissement personnel, stimulante expérience de collaboration. Sans doute en parle-t-on trop peu ; assouvir une curiosité intellectuelle, c'est aussi une occasion de se réjouir.