La construction des voûtes ne nécessite pas de coffrage ni aucune autre sorte de support. Les voûtes ont une portée (largeur) maximum de 3m30 et sont construites à partir de briques de dimensions standard pour les murs et de briquettes pour la toiture et les voûtains (arcs maçonnés remplaçant les linteaux).
Pour obtenir une voûte, il fallait d'abord tracer les mesures au sol, c'est ce qui s'appelle l'épure (tracés d'arc). Les tailleurs de pierre utilisaient une pointe et un fil tendu pour l'épure.
Un arc est un ensemble de pierres taillées, en forme d'arc de cercle, qui forme le haut d'une ouverture : une porte, une fenêtre. L'arc n'existe que dans l'épaisseur d'un mur, il ne faut donc pas le confondre avec une voûte, qui sert à couvrir un espace comme un couloir, une salle, la nef d'une église.
En conséquence, je vous conseille de : REBOUCHER avec du mortier de chaux naturelle les pierres fissurées, ou éventuellement mastic d'injection qui bloquera ces pierres / REMPLAVCER les pierres pulvérulentesqui partent en poussières ; ENFIN RENFORCER VOTRE VOUTE AVEC DES IPN en acier fixés dans 2 murs oposés.
Les voûtes sont composées d'arcs en plein cintre, c'est-à-dire construites à partir de demi-cercles parfaits. Le poids s'exerce sur les murs, raisons pour lesquelles ils sont bas et fort épais. Les ouvertures étant étroites, ce sont des édifices relativement sombres qui se prêtent au recueillement et à la méditation.
Une voûte est un ouvrage de maçonnerie cintré permettant de couvrir un espace en s'appuyant sur des murs, des piliers ou des colonnes. La voûte est constituée d'un plancher (en brique, moellon, pierre, béton) dont le dessous (ou encore intrados) est fait en arc (ou en plate-bande).
Personnellement, la technique que j'envisage, c'est de construire un coffrage en forme de voute, recouvert de voliges ou de plaques d'isorel. Un couche de sable pour compenser les irrégularités des pierres. Ensuite je dépose les pierres pour constituer la voute et je termine avec un mortier chaux/sable par dessus ....
Si on considère une tranche de voûte de 1ml, avec r=4,00m et r=5,00m, soit K=1,25, le tableau donne C=0,12847 soit x=√2Cr=2,03m pour une l'épaisseur ou x=√3,8Cr=2,79m pour l'épaisseur.
Facile, il suffit d'accumuler les derniers sucres de l'autre côté du cintre en repartant du bas. Le plus difficile c'est de placer le dernier sucre. Celui qui se trouve en haut de l'arc et qui, nous dit Mr Chéron, s'appelle la clé de voûte. Ouf !
Principe d'une trémie dans une voûte
Comme on l'a vu, sur une voûte, les forces convergent vers la partie haute en créant des poussées horizontales. Pour percer une voûte, il faut donc réaliser un cadre qui supportera les efforts en les déroutant sur les côtés.
Maçonnez l'arc. Commencez par l'un des deux côtés et maçonnez en même temps les premiers rangs du reste de maçonnerie pour solidifier l'ensemble. Avant de poser une brique, placez suffisamment de mortier contre le bord latéral afin de bien remplir le joint avec l'autre brique.
C'est ce que dit Sénèque qui fait des Grecs les inventeurs de la voûte clavée. La technique de voûtement des Grecs a devancé celle des Romains. C'est donc dans les colonies de la grande grece et de la Sicile que l'on doit rechercher des modèles rechercher des modèles.
La stabilité des voûtes est généralement exprimée à l'aide d'un coefficient de sécurité. Ce dernier permet de mesurer l'écart entre la situation étudiée et la situation critique où la voûte modélisée s'effondre.
Ouvrage généralement cintré, formé d'éléments appareillés, maçonnés (pierre, brique, béton), voire assemblés (bois, métal), couvrant un espace construit.
Les sols de cave sont le plus souvent en béton, alors rappelez-vous qu'il est important d'avoir une barrière contre l'humidité entre le béton et le sol que vous posez. Vous pouvez en effet utiliser un sol en pierre dans votre cave à vin, mais vous devrez faire une croix sur la douceur et la chaleur du vinyle.
Pour creuser de manière sécuritaire, il faut réaliser des tranchées ( ou des niches) sous les fondations, une à une, et y installer des colonnes d'acier. On coule ensuite le béton qui enveloppera la colonne d'acier et qui deviendra un appui solide pour les fondations existantes.
Il existe alors plusieurs solutions pour augmenter la hauteur sous-plafond de votre souplex. Si le sol est en terre battue, vous pouvez éventuellement décaisser les fondations du sol de l'immeuble par en-dessous afin de baisser le niveau du sol.
Propriétés mécaniques :
La dureté des matériaux concerne leur aptitude à résister aux rayures (pour les minéraux) et à la pénétration (pour les métaux). La résistance mécanique des matériaux concerne leur aptitude à supporter des efforts de traction, de compression et de flexion.
Les voûtes sont des éléments essentiels de l'architecture romane. En berceau (plein cintre, puis brisé), d'arêtes, en cul-de-four ou bien coupole, elles évoluent tout au long du 11e et du 12e siècle. Les voûtes couvrent notamment les édifices religieux, des petites églises rurales aux grandes églises de pèlerinage.
Le barrage-voûte
Grâce à sa forme courbe, il reporte la pression de l'eau sur les rives. Il peut aussi être soutenu par des contreforts. Il est incliné par rapport à la retenue et vertical par rapport à la vallée. Il est souvent utilisé dans des vallées étroites.
Les matériaux et machines de construction au Moyen-Age
Au XIeme siècle, le recours à la pierre comme matériau de construction des châteaux forts se répand. Plus solide que le bois, elle résiste surtout beaucoup mieux au feu. Au XIIIeme siècle, les châteaux deviennent d'imposantes forteresses.
Pour les pierres les plus lourdes, on emploie la grue la plus puissante du Moyen Âge, la roue à écureuil. Il suffit de deux humains à l'intérieur de la cage pour élever une pierre de 600 kg, par exemple une clé de voûte. Ces machines ne doivent pas occulter des solutions de transport moins techniques sur le chantier.
Traditionnellement, lorsque l'on décidait de construire une église : on choisissait un saint protecteur de cet édifice (le saint patron) ; ce choix était souvent le fait du responsable temporel de l'église sur le domaine duquel allait être construite l'église : l'évêque, un propriétaire, ou des abbayes.