Pangloss apprend a Candide que "tout est au mieux dans le meilleur des mondes possibles". C'est la théorie de l'optimisme du philosophe Leibnitz. Une fois encore Voltaire montre a quel point cette théorie est ridicule car les personnages sont poursuivis de malchance.
La philosophie de Pangloss, qui consiste à croire que « tout est au mieux dans le meilleur des mondes ».
Pangloss : c'est le précepteur de Candide. Il est comique, et Voltaire se sert de ce personnage pour ridiculiser la science et surtout la théorie de Leibnitz, philosophe, en disant « Tout est aux mieux dans le meilleur des mondes ». Phrase répétée : "tout est au mieux dans le meilleur des mondes possibles".
Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes.
Le mot Pangloss est un nom créé par Voltaire à partir du grec πᾶν / pan (« tout ») et γλῶσσα / glossa (« langue »), ce qui signifie « toutes les langues ». Pangloss est un personnage de Candide ou l'Optimisme, conte philosophique de Voltaire paru à Genève en janvier 1759 .
Il enseigne la métaphysico-théologo-cosmolonigologie qui regroupe la méthaphysique, la théologie et la cosmologie. On peut remarquer ici que Voltaire fait de Pangloss un personnage stupide du fait qu'il enseigne une matière qui en regroupe trois autres et qui relier entre elles n'aboutissent a rien.
Pour empêcher la terre de trembler à nouveau, l'Inquisition décide alors de procéder à un autodafé : deux Portugais soupçonnés de judaïsme sont brûlés, Pangloss est pendu, Candide est flagellé. Le même jour la terre tremble de nouveau dans un fracas épouvantable.
Le personnage de Candide confronte l'optimisme de Pangloss à l'évidence du mal, dans la nature et dans la société, dans l'Ancien et le Nouveau Monde, dans le christianisme comme dans l'islam : il le rejette comme un système sans prise sur le réel, tout comme il fait avec la philosophie inverse de Martin.
Le raisonnement panglossien (ou effet Pangloss) est un processus argumentatif erroné et trompeur consistant à raisonner à rebours vers une cause possible parmi d'autres, vers un scénario préconçu ou vers la position que l'on souhaite prouver.
Pangloss est pendu pour « avoir parlé » et Candide fut fessé pour avoir « acquiescé ». ironiquement, un nouveau tremblement de terre se produit.
A la fin du conte, Candide décide d'écarter le frère de Cunégonde. En effet, le jeune baron de Thunder-Ten-Tronck refuse obstinément que Candide épouse Cunégonde, parce qu'il n'est pas assez noble pour elle.
Dans ce cas "Il faut cultiver notre jardin" signifierait cultiver son propre savoir-faire et se mettre à exercer ses talents afin de faire fructifier au maximum ce que la vie nous a donné, de donner un sens à notre vie et d'atteindre la liberté spirituelle.
Pangloss est présenté dès le chapitre 1 comme « l'oracle de la maison » de Westphalie. Il est pour Voltaire l'incarnation la plus ridicule de tous les professeurs. Comme le suggère l'étymologie grecque de son nom – pan signifie tout et glossa, la langue – Pangloss, tout en langue, ne cesse de parler.
Le but de Voltaire, en écrivant Candide ou l'Optimisme, est de lutter contre le mal. S'il est impossible d'agir contre les catastrophes naturelles ( raz de marée et tremblement de terre à Lisbonne ), nombre de maux qui accablent les hommes peuvent être supprimés.
la morale : le conte philosophique étant un apologue, les récits aboutissent à une leçon qui montre souvent le danger de l'ignorance, de tout fanatisme ou tout abus de pouvoir.
En effet, Pangloss, le précepteur de Candide, est un philosophe qui lui enseigne la philosophie optimiste, qui consiste non seulement à voir la vie du bon côté et donc le verre à moitié plein, mais aussi à se satisfaire de la présence du Mal sur terre parce que Dieu doit avoir une bonne raison de l'autoriser.
La leçon finale de Candide fait écho à la philosophie qui est invoquée pendant toute la durée du récit : "Tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes.". "Il faut cultiver notre jardin" est à la fin du conte et semble donc répondre à la première maxime énoncée.
Voltaire, dans Candide, dénonce les illusions de l'Optimisme qui lui paraît à la fois ridicule et dangereux. Le philosophe Pangloss, persuadé que tout est mieux, justifie par des raisonnements artificiels les réalités les plus douloureuses.
Le fils du baron est décrit très brièvement: « en tout digne de son père »; il n'a pas de caractère. Enfin Pangloss est décrit en dernier, le ton est administratif, il est assimilé à un « oracle ».
Dans Candide, Voltaire fait du personnage de Pangloss le porte-parole très caricatural de la philosophie de Leibniz., réduite ici à une seule formule: «Tout est au mieux dans le meilleur des mondes possibles.» À cela, l'écrivain oppose les horreurs du temps et l'omniprésence du mal dans...
Il va donc écrire un conte philosophique, c'est-à-dire construire un récit pour démontrer la vanité de cette théorie et pour dénoncer tous les travers de son époque : la violence et la cruauté des hommes, leur intolérance et leur fanatisme.
Dans le texte de Candide, Voltaire se moquent l'optimisme de Leibniz. Le personnage de Pangloss répresent Leibniz. Voltaire voulait dire que l'optimisme et la croyance que notre monde soit le meilleur de tous les mondes possibles sont foux. Leibniz a croyé que même le mal peut devenir du bon avec une bonne vue.
« Il faut cultiver notre jardin », dit Candide à Pangloss à la fin du célèbre conte philosophique Candide ou l'Optimiste ; Voltaire précise que le jardin d'Eden n'a pas été créé pour que l'homme trouve le repos mais pour qu'il y travaille, qu'il exerce son talent.
Quand on fleurit notre langage de cette expression, on cite en réalité la fin du Candide de Voltaire (1759).