Le vocable maltraitance (dont l'antonyme est bientraitance) permet de ranger sous un concept générique et englobant tous les contextes de négligence et de violence honteuses auxquels peut être assujettie une personne violentée.
La maltraitance, c'est ce qui rétrécit ou détruit la vie physique et psychique ; la bientraitance, c'est ce qui encourage leur continuité, qui favorise la pensée, même dans les situations les plus souffrantes, la plus grande des maltraitances étant probablement d'empêcher la liberté de penser.
La bientraitance est une démarche globale de prise en charge du patient ou de l'usager et d'accueil de l'entourage visant à promouvoir le respect de leurs droits et libertés, leur écoute et la prise en compte de leurs besoins, tout en prévenant la maltraitance.
Donner à l'usager et à ses proches une information accessible, individuelle et loyale. Garantir à l'usager d'être coauteur de son projet en prenant en compte sa liberté de choix et de décision. Mettre tout en œuvre pour respecter l'intégrité physique et psychique, la dignité et l'intimité de l'usager.
La bientraitance a pour finalité le bien-être de la personne vulnérable, dans le respect de son histoire, sa dignité et sa singularité. La bientraitance n'est pas seulement le contraire de la maltraitance des personnes âgées et vulnérables, mais une manière d'être, d'agir et de dire.
– La bienveillance implique une volonté de faire du bien sans attendre de retour. – La bientraitance implique le respect des droits et de la dignité des personnes vulnérables.
La bientraitance est une culture inspirant les actions individuelles et les relations collectives au sein d'un établissement ou d'un service. Elle vise à promouvoir le bien-être de l'usager en gardant présent à l'esprit le risque de maltraitance.
La bientraitance peut être de type physique, moral, financier, sexuel ou psychoaffective. L'ANESM (2008) définit la bientraitance en tant que démarche collective pour identifier l'accompagnement le meilleur possible pour l'usager, dans le respect de ses choix et dans l'adaptation la plus juste à ses besoins.
Tout le monde connaît la "maltraitance active", le fait d'infliger des sévices, d'abandonner ou de tuer un animal... Mais le concept de "maltraitance passive" est totalement inconnu ou presque. La maltraitance passive est le résultat de la méconnaissance des besoins réels d'un animal.
La violence psychologique est l'une des violences les plus répandues, mais aussi les moins détectées. Un réel travail de prévention et de prise de conscience s'impose. À noter que toutes les violences infligées à un enfant ont une composante psychologique.
La maltraitance infantile peut débuter très tôt, avant même la naissance de l'enfant. "Il y a des femmes qui, enceintes, se font du mal en buvant de l'alcool, fumant, consommant des drogues et par conséquent en font à l'enfant.
La maltraitance n'est pas toujours intentionnelle : les relations parents-enfant peuvent être perturbées du fait d'une mauvaise entente conjugale, des problème de santé des parents ... La négligence est un manque de soin et de vigilance. Il s'agit d'une faute non intentionnelle.
L'Humanitude s'intéresse aux liens qui permettent aux humains de se rencontrer quelque soit leur état, leur statut. Le maintien de ces liens s'appuie sur trois piliers relationnels, le regard, la parole, le toucher et un pilier identitaire, la verticalité.
La Haute Autorité de Santé (HAS) définit la Bientraitance comme "une démarche globale dans la prise en charge du patient, de l'usager et de l'accueil de l'entourage visant à promouvoir le respect des droits et libertés du patient, de l'usager, son écoute et ses besoins, tout en prévenant la maltraitance." L'ANESM ( ...
La gentillesse est le fait d'être aimable, attentif, à l'écoute. Toutefois nous pouvons être gentil mais ne pas apporter de bienveillance. Car la bienveillance s'est se soucier du bien-être de l'autre, elle va donc au delà de la gentillesse.
Champ et objectifs généraux. La bientraitance est une démarche collective pour identifier l'accompagnement le meilleur possible pour l'usager, dans le respect de ses choix et dans l'adaptation la plus juste à ses besoins.
Le concept de bientraitance
La bientraitance n'est pas seulement l'absence de maltraitance mais une démarche active que la Haute autorité de santé définit comme « une manière d'être, d'agir et de dire soucieuse de l'autre, réactive à ses besoins, respectueuse de ses choix et de ses refus ».
Parmi les facteurs de risque de maltraitance liés à l'enfant, sont rarement cités : la prématurité (3 %) ; la gémellité (1 %) ; troubles du comportement (6 %) ; échec scolaire (0,5 %). Pour 70 à 80 % des répondants, la maltraitance est associée au niveau socio- économique.