Un bit ne peut prendre que deux valeurs. En logique (algèbre de Boole), ces valeurs sont faux et vrai, ou quelquefois non et oui. En arithmétique, ce sont 0 et 1.
Bit, issu de la contraction de binary digit, signifie « chiffre binaire » en anglais. C'est un chiffre en base 2. Un bit ne peut prendre que deux états dit "états binaires" notés, par convention 1 ou 0. En algèbre de Boole, la valeur 1 signifie VRAI, la valeur 0 signifie FAUX.
Quel est le plus grand nombre que l'on puisse stocker dans un octet (8 bits) ? Le plus petit nombre (positif) que l'on puisse mettre dans un octet est donc 0 et le plus grand 255. Ce qui fait 256 valeurs possibles.
avec 2 bits, on peut faire 4 combinaisons différentes : 00, 01, 10, 11, donc prendre 4 décisions. avec 3 bits, on dispose de 8 combinaisons : 000, 001, 010, 011, 100, 101, 110, 111. On peut représenter ces combinaisons par 8 chiffres de 0 à 7 ; c'est la numération octale.
Le découpage en groupes de 5 bits (quintuplets) donne 01110 et 01010, ce qui d'après la table de correspondance correspond aux lettres O et K. Le message reçu de la base est donc « OK ».
Réponse : Les séquences utilisant le moins d'espace mémoire sont 00, 10, 11, car elles sont codé sur 2 bits. Les suivantes sont 010, 101 car elles sont codé sur 3 bits. Les derniers utilisant le plus d'espace mémoire sont 0000, et 1000, car ils sont codé sur 4 bits.
En informatique, le byte est généralement une suite de 8 bits, ce qui dans ce cas fait un octet.
bit m (pluriel: bits m)
The bit is a unit of measurement in computer science. Le bit est une unité de mesure en informatique.
Un ensemble ordonné de 8 bits équivaut à un octet. Dans cette logique, 8 bits égalent donc 1 octet, et 1 mégaoctet correspond à 8 000 000 bits. Un "byte" correspond lui à un octet. Le mathématicien Claude Shannon est intimement lié à l'utilisation du bit en informatique comme unité d'information.
Re: Pourquoi 8 bit ? L'octet est une unité de mesure en informatique mesurant la quantité de données. Un octet est lui-même composé de 8 bits, soit 8 chiffres binaires. La raison 1ère de tout ça doit surement s'axer autour de l'architecture des processeurs.
Le bit est la plus petite quantité d'information manipulable par un PC. non 2) Un ensemble de huit bits s'appelle un octet.
bit. (anglais bit, de binary digit.) 1. Unité binaire de quantité d'information.
Une image numérique est constituée d'un ensemble de points appelés pixels (abréviation de PICture Element) pour former une image. Le pixel représente ainsi le plus petit élément constitutif d'une image numérique.
En informatique, le « byte » est la plus petite unité adressable (stockable en mémoire) d'un ordinateur alors qu'en télécommunications, le byte correspond simplement à un octet. Lorsque le débit binaire s'exprime en octets, il est de nature d'utiliser des puissances de 1024.
Outre le bit, l'octet et les multiples de ce dernier, toute une série d'autres unités sont très souvent utilisées dans l'informatique quotidienne.
"Je t'aime" en binaire se dit "01101010 01100101 00100000 01110100 00100111 01100001 01101001 01101101 01100101".
Vous pourrez trouver Elliot, le fameux robot geek, non loin du Dufer Bar en passant par la ruelle centrale. Vous devrez gratter à la porte pour que quelqu'un vous ouvre puis montez à l'étage, c'est en haut que se trouve Elliot.
Voici comment se présentent les premiers nombres écrits en décimal et en binaire : 0 = 0, 1 = 1, 2 = 10, 3 = 11, 4 = 100, 5 = 101, 6 = 110, 7 = 111, 8 = 1000, 9 = 1001, 10 = 1010, 11 = 1011, 12 = 1100, 13 = 1101, 14 = 1110, 15 = 1111, etc.
Pour trois bits, on procède de même : on recopie deux fois la liste obtenue pour 2 bits, une fois en ajoutant un 0 devant, une fois en ajoutant un 1 devant : 000, 001, 010, 011, 100, 101, 110, 111.Et ainsi de suite pour 4 bits, 5 bits, etc., de proche en proche.
dépend de la base utilisée : 10 est toujours égal à la base, c'est-à-dire dix en base dix, mais deux en base deux. En base dix, on utilise dix chiffres, de zéro à neuf ; en base n, on utilise n chiffres, de zéro à n – 1 ; donc en base deux on utilise les deux chiffres « 0 » et « 1 ».
Au xixe s., le mathématicien anglais George Boole (1815-1864) développe une algèbre à base binaire (l'algèbre de Boole) qui fonde la logique moderne des propositions. Ces travaux sont à l'origine du traitement automatique des informations codées en binaire.