Parmi les secteurs les mieux payés au Maroc, on peut citer la finance, les ingénieurs, mais aussi les emplois du secteur bancaire. Les secteurs du digital, du marketing et de la communication recrutent régulièrement.
Ceci dit, quels sont ces métiers ? Le top 3 des filières d'études et des métiers les plus attractifs au Maroc sont « l'informatique, télécom et web » (43%), le « Marketing, publicité et communication » (36%), et le « Commerce et distribution » (31%).
Le salaire annuel moyen au Maroc est de 3350 $, soit environ 3297 € . C'est un salaire moyen qui est donc bien moins élevé qu'en France. Il faut savoir qu'au Maroc, on ne parle pas de Smic mais plutôt de SMIG ou de salaire minimum garanti. De plus, il n'y a pas un seul SMIG mais plusieurs, par secteur d'activité.
Le secteur du tourisme est également une partie importante du marché du travail grâce aux nombreux hôtels et restaurants. Ajoutons à cela le secteur du commerce, celui des technologies de l'information et de la communication, qui a également pris son essor dans cette ville marocaine.
1. Dentiste. Le salaire de base moyen du dentiste est de 190 224 € par an, soit 13 468 € par mois.
Côté grandes villes, les meilleurs endroits où vivre au Maroc sont sans conteste Casablanca, Rabat, Marrakech puis Agadir. C'est également le choix qui est fait par les Français lorsqu'ils viennent s'installer sous le soleil du Maroc.
Vivre au Maroc : les avantages
Ce pays ensoleillé se trouve à seulement deux heures d'avion de la France. Le coût de la vie y est bien plus accessible. Très riche culturellement, il dispose d'un patrimoine historique immense. Savoir-faire ancestraux, artisanat, gastronomie sont des traditions préservées.
Formalités pour travailler au Maroc. Pour travailler au Maroc, la simple immatriculation n'est pas suffisante, un permis de travail est nécessaire. Il faudra être en mesure de présenter un contrat de travail visé par le Ministère de l'Emploi. Après 3 ans, l'employeur devra renouveler le contrat en cours.
Marrakech: un studio au centre-ville coûtera entre 2.000 MAD – 5.000 MAD (187 € – 469 €) par mois. Une famille envisageant une expatriation au Maroc et souhaitant s'installer au centre de Casablanca devrait prévoir un budget entre 3 800 MAD et 10 000 MAD (350 € – 940 €) par mois.
Le secret de la réussite c'est de travailler de manière intelligente. Épargnez!! A chaque fois que vous gagnez de l'argent, pensez à garder de côté l'épargne pour investir plus tard. Entourez-vous de bonnes personnes.
La fourchette de salaire des personnes travaillant dans Banque en Maroc est généralement comprise entre 1 424,00 MAD (salaire minimum) et 6 004,00 MAD (salaire moyen le plus élevé, actuellement le salaire maximum est plus élevé).
Les comptables et auditeurs sont aussi très recherchés ainsi que les managers des opérations, les responsables financier et Marketing, sans oublier les développeurs et testeurs de logiciels comme les consultants en management et analystes des études de marché.
Quel est le nouveau SMIG au Maroc ? A partir de septembre 2022, les nouveau SMIG (Salaire minimum Interprofessionnel Garanti) est de 15.55 dirhams pour une heure de travail. En effet, ceci représente une hausse de 5% par rapport au SMIG en vigueur jusqu'alors qui était de 14.81 dirhams.
La construction d'une maison traditionnelle coûte en moyenne 550 000 dirhams* contre 900 000 dirhams* pour une villa.
Marrakech est une ville totalement sûre.
Par rapport à d'autres villes marocaines comme Casablanca ou Fès, Marrakech est une ville très sûre.
Où sont les Français au Maroc ? Il s'agit de la communauté étrangère la plus importante, et elle vit principalement dans les villes de Casablanca, de Rabat et de Marrakech. Ces Français sont principalement concentrés dans les zones touristiques et les grandes villes de la côte.
66% des Marocains veulent quitter le Maroc pour des raisons économiques, tandis que 19% souhaitent poursuivre leurs études à l'étranger et seulement 3% veulent migrer pour des raisons de sécurité.
Juste devant les cadres de la banque et des assurances, on retrouve les coiffeurs et esthéticiens, où le travail est jugé par les principaux intéressés comme “peu intense dans un contexte de faible insécurité de l'emploi, avec peu de conflits éthiques et une grande autonomie”, indique la Dares.