De la plus grosse à la plus petite : N°2 : huître de 86 à 110 g - 4 années de pousse. N°3 : huître de 66 à 85 g - 3, 4 années de pousse.
La n°3 est un peu plus grosse et se trouve être parfaite pour les repas (entrées et plateaux de fruits de mer). La n°2, quant à elle, est bien plus grosse, et si elle est mangée crue, vous devez aimer les huîtres charnues et plus grandes.
N°1 : 121 - 150g. N°2 : 86-120g. N°3 : 66-85g. N°4 : 46-65g.
Pour connaître l'âge d'une huître, on compte le nombre de stries (les sortes de fissures) qu'il y a sur sa coquille. Une strie correspond à un an. Les huîtres qu'on trouve dans le commerce en ont en moyenne trois, elles ont donc trois ans.
Une huître de 2,2 kg a été découverte le 24 octobre par un ostréiculteur à Carantec, dans le Finistère, rapporte RTL. Le mollusque mesure pas moins de 22 cm de long et 14 cm de large.
« C'est une tradition, depuis le Moyen Âge, qui viendrait du fait que les marchands comptaient avec leurs mains. Plus précisément, sur une main, ils utilisaient le pouce et comptaient les phalanges des quatre autres doigts, soit douze phalanges. À partir de là, la douzaine est devenue une unité de mesure.
Sur le bord du manteau, s'alignent une douzaine d'yeux qui observent les environs. Ces yeux sont assez simples, ne détectant que des changements de luminosité qui indiquent la présence d'un éventuel prédateur.
Signification : Expression française qualifiant une personne ayant un quotient intellectuel proche de zéro. Origine : Expression française familière récente puisqu'elle remonte à la fin du XXème siècle.
La larve est devenue un naissain, un bébé huître qui vivra près de trois ans tranquille avant de pouvoir être mangé.
L'Huître dite “spéciale” est définie par son indice de chair. Sur 100 % de l'animal (coquille comprise) on compte plus de 10.5% de chair. Ce sont les plus charnues. On peut reconnaître une huître spéciale à sa forme de goutte et à sa concavité bien spécifique (la coquille est plus creuse et plus arrondie.).
La Fine de Claire est le produit préféré des consommateurs qui apprécient les huîtres peu charnues. Pendant plusieurs semaines, elle va s'affiner dans les claires, ces bassins argileux peu profonds, qui vont lui permettre d'acquérir une qualité de coquille supérieure à une huître Fine de pleine mer.
La température correcte pour une huître oscille entre 5 et 15 °C maximum. L'idéal est de conserver ses huîtres en bourriche dans le frigo, dans le bac à légumes par exemple, qui est le moins froid. Il faut faire attention à garder la bourriche bien droite pour que les huîtres ne perdent pas leur eau.
Quelles sont les meilleures huîtres ? Selon les grands amateurs et amatrices, les meilleures huîtres sont la Gravette à la fois sucrée et lactée, l'Isigny pulpeuse, douce et croquante, et la Plate sauvage Rade de Brest, en provenance d'un gisement naturel qui est charnue, colorée et goûteuse.
Pendant longtemps ils les cueillirent au rythme des marées, mais ce sont les chinois qui les premiers pensent à pratiquer le captage sur des pieux de bambou plantés dans le sol, dont les entailles portaient des coquilles comme support de fixation du naissain. Ce sont les premiers "collecteurs" des premiers "éleveurs".
Guinée équatoriale occupe la dernière place avec seulement 56 points. En plus du classement des pays, ce tableau montre l'influence de la prospérité et du climat.
De même, il est recommandé de toujours mâcher une huître et ne jamais l'avaler tout rond car elle arriverait vivante dans l'estomac et libérerai des toxines pour lutter contre les sucs gastriques … c'est pour ça que certaines personnes ne supportent pas les huîtres !
Il est préconisé de les ouvrir juste avant leur dégustation. À l'ouverture, l'huître doit contenir de l'eau de mer, désignée comme étant la première eau, qu'il est conseillé de jeter. En effet, l'animal produit alors une seconde eau, dont le gout est plus fin que celui de la première eau.
Mais en vérité, ça ne sert à rien. L'huître va au contraire épuiser son énergie à tenter de recréer son environnement viable, et ne parviendra pas à restituer toute la quantité d'origine. La chair risque de se dessécher, l'huître sera moins brillante, moins appétissante.
Faisant aujourd'hui référence à une quantité très, voire trop généreuse, l'expression «treize à la douzaine» vient d'Angleterre. Au XIIIe siècle, le roi Henri III avait en effet décidé que tous les boulangers rajouteraient un treizième article pour toute douzaine vendue.
Ces huîtres exceptionnelles doivent leur qualité et leur finesse aux techniques employées lors de leur production, transmises depuis déjà 4 générations de la famille Gillardeau.