En choisissant de mettre en œuvre une démarche éthique, l'entreprise sait qu'elle a tout à gagner : crédibilité, amélioration du dialogue social, notoriété, image positive, positionnement stratégie avantageux etc… L'éthique n'est donc pas à distinguer du business !
D'autres avantages sont à souligner : Fierté d'appartenance et solidarité pour les collaborateurs internes ; Crédibilité, pérennité et culture d'entreprise pour la structure ; Confiance de la part des parties externes.
Tirée du mot grec « ethos » qui signifie « manière de vivre », l'éthique est une branche de la philosophie qui s'intéresse aux comportements humains et, plus précisément, à la conduite des individus en société.
La mise en place d'une éthique d'entreprise s'inscrit sur le long terme. Son coût peut être élevé mais bien moins que celui d'une controverse (coût juridique, perte de CA, décrédibilisation…). Ne misez pas sur une démarche de façade, optez pour des valeurs vraies représentant votre engagement !
On est en présence d'un enjeu éthique lorsqu'une valeur ou un principe moral est mis en jeu dans une question ou une situation. Par exemple, on dira que la liberté de choix est un enjeu éthique soulevé par l'avortement; ou encore que l'avortement soulève ou comporte des enjeux éthiques.
Les principaux sont l'éthique appliquée, l'éthique normative et la méta-éthique (ou éthique fondamentale). L'éthique normative et la méta-éthique appartiennent à la philosophie et s'intéressent aux fondements de la morale. On les regroupe donc sous l'expression « philosophie morale ».
Qu'il s'agisse des limites écologiques, démographiques, économiques, ou des limites qui sont induites par diverses formes d'inégalité ; ou encore des limites intérieures ou biologiques, celles des interventions dans le corps humain, le recours à une réflexion éthique, propre à fonder la légitimité des actions, apparaît ...
L'éthique chez les Anciens
Les premiers à l'étudier furent les Présocratiques, puis surtout Socrate, qui peut être considéré comme le premier philosophe de l'éthique. Platon est le penseur de l'Idée du Bien, en tant que lumière et possibilité d'accès à la connaissance.
Ensemble de principes moraux. Synonyme : morale, moralité.
L'éthique des travailleurs sociaux est constituée de valeurs essentielles qui forment le socle de leur identité, et dans le respect desquelles ils entendent effectuer la plupart de leurs activités.
Elle aide à résoudre les situations où les obligations du professionnel envers son client et envers le public sont difficilement conciliables, de même que les situations où les valeurs du groupe professionnel entrent en conflit avec d'autres valeurs ou intérêts dignes de considération.
Les valeurs éthiques sont celles qui structurent le comportement humain avec l'intention de renforcer l'importance d'agir consciemment, respectueusement, sans nuire à ceux qui nous entourent.
Dans un contexte philosophique, l'éthique et la morale ont des significations différentes. L'éthique est liée à l'étude du bien fondée des valeurs morales qui guident le comportement humain dans la société, tandis que la morale est liée aux coutumes, normes, tabous et aux accords établis par chaque société.
L'éthique personnelle fait référence à la morale personnelle et au code de conduite d'une personne. Dès le début de la compréhension d'une personne, cette éthique est inculquée à l'individu par ses parents, sa famille et ses amis. Sans aucune éthique personnelle, la vie de l'être humain est incomplète et superficielle.
On se trouve alors vraisemblablement face à un problème éthique où la pesée des différentes valeurs diffère d'une personne à l'autre. D'autres fois, face à certains choix que le patient ou le professionnel doit prendre, il ressent une sorte d'incertitude ou d'inconfort, que l'on pourrait qualifier d'inconfort moral.
Étymologie : du latin ethicus qui signifie moral, issu du grec ethikos. Qui respecte certaines valeurs. Exemple : Ces vêtements éthiques sont conçus à partir d'un coton biologique issu du commerce équitable.
Dans les religions, l'éthique se fonde soit sur un théisme (d'où la responsabilité face à un créateur dans les reli- gions monothéistes), soit sur une conception cosmo- logique (où l'homme est totalement intégré comme un élément de la nature).
L'origine. Le mot éthique vient d'un mot grec signifiant « qui concerne la morale, les mœurs ». C'est donc sans surprise qu'éthique a désigné initialement, en philosophie, la science de la morale.
Le civisme exige du personnel et des élus de la Commission scolaire une réflexion quant aux décisions qui comportent des dimensions éthiques, lesquelles font référence aux notions de sens commun, de jugement, de discernement et de sensibilité, en plus des principes énoncés au Chapitre 3 de la présente politique.
Etymologie : du grec ethikos, moral, de ethos, moeurs. L'éthique est la science de la morale et des moeurs. C'est une discipline philosophique qui réfléchit sur les finalités, sur les valeurs de l'existence, sur les conditions d'une vie heureuse, sur la notion de "bien" ou sur des questions de moeurs ou de morale.
Ils constituent les valeurs morales que le raisonnement moral vise à défendre, par exemple, en établissant un cadre pour les principes essentiels qui président à notre interaction morale et à la protection des intérêts moraux fondamentaux.
Respecter qui ils sont, ce qu'ils sont, respecter leurs droits, s'intéresser à eux, s'entraider lorsqu'on est dans le besoin. C'est le respect des autres, et le respect de soi-même. Bien sûr, nous devons toujours faire attention à bien respecter les autres. Mais parfois il faut aussi se demander si on nous respecte !
La réflexion éthique est ici nécessaire pour guider l'action collective. Les enjeux éthiques touchant la vie et la mort ne sont pas les seuls que rencontre la société. Des enjeux surgissent dans différents domaines, comme l'environnement.
Ne pas respecter la morale.