Les sources orales permettent aux peuples sans écriture de retracer les faits et événements de leur passé par la parole. La source muette est l'ensemble des objets anciens, des vestiges ou des restes du passé. numismatique, la dendrochronologie, l'épigraphie, l'anthropologie, la sociologie…
Permet de retrouver l'"original" pour y rechercher des informations. Exemple : un témoin est anodin à la première lecture. Plus tard le témoin anodin peut devenir un personage important sur le plan généalogique. La citation de la source permettra de retrouver des détails.
Les traditions orales ont toujours une portée didactique. En effet, du conte, au mythe en passant par les proverbes et devinettes et jusqu'aux récits épiques, il y a toujours un enseignement à tirer, une valeur à inculquer à l'enfant. Les thèmes d'instruction sont plus fournis pour les contes et les proverbes.
- les sources muettes : Ce sont les vestiges. C'est-à-dire tous les restes du passé comme les monuments, les objets d'art, les ossements, les outils, les bijoux, les armes, les pièces de monnaie… Ce sont les archéologues qui les retrouvent dans le sol.
L'historien peut interroger des témoins sur ce qu'ils ont vu et entendu (sources orales), interroger les textes (sources écrites) et encore interpréter les vestiges matériels (sources archéologiques).
Hérodote, le père de l'histoire.
L'histoire est une science qui étudie le passé humaine. Quel l'objet de l'histoire ? Reconstituer et reconstituer les évènements du passé, faire revivre les civilisations anciennes.
Etudier les grands empires africains et leurs relations avec le monde permet bien sûr de sortir d'une vision hégélienne du continent. Au-delà, l'histoire africaine permet de penser l'Afrique-monde au XXIème siècle. En outre, apprendre l'histoire fournit un bouclier contre le présentisme.
L'apprentissage de l'histoire contribue en effet à la formation d'individus susceptibles de mieux comprendre les débats et enjeux de leur société à la lumière du passé.
2 Les documents muets Les documents muets sont ceux où il n'y a rien d'écrit. Les documents muets sont très variés et te parlent quand même. Ils te donnent des renseignements dont tu n'es pas toujours sûr. Ce sont des hypothèses.
B) LES INCOVENIENTS DE LA TRADITION ORALE
La tradition orale a plusieurs inconvénients : · L'authenticité des faits : ceux qui informent ne sont pas témoins oculaire.
- La littérature orale conforte l'identité propre à une culture ou une communauté. Elle pose des questions universelles. - La littérature orale peut être considérée comme la partie de la tradition qui est mise en forme selon un code propre à chaque société et à chaque langue, en référence à un fonds culturel.
En histoire, on appelle “sources orales” les matériaux recueillis par enregistrement lors d'entretiens avec des témoins.
2Les sources écrites sont diverses mais possèdent un point commun : leur finalité n'est pas l'explication de l'édifice. Elles ont en effet des fonctions administratives, juridiques, comptables, patrimoniales, etc.
Les sources d'archives sont normalement les écrits les plus sures dont disposent l'historien parce qu'elles ont une portée pratique et juridique. - Documents prives : lettres de familles, correspondances commerciales.
L'Histoire, autrement dit l'exploration du passé, nous aide à entrevoir d'où nous venons... et où nous allons. En nous faisant mieux connaître le beau pays auquel nous avons le bonheur d'appartenir, elle nous prépare à bâtir ensemble notre avenir.
De par son objet d'étude, l'histoire de l'éducation est un lieu propice pour faire émerger des approches et des démarches qui mêlent rigueur historique et démarche praxéologique. C'est aussi un espace privilégié pour articuler les interactions entre le passé et le présent.
L'histoire est une science humaine qui formule des problèmes et propose des explications; analyser un événement dans une perspective historique permet de mieux le comprendre et parfois de mieux comprendre le présent.
Alkebulan, ou Alkebu-lan, est une appellation, sans doute arabe, désignant l'Afrique - qui est parfois citée par les écrivains européens de la période moderne.
Étymologie. Du latin Africa , désignant au départ l'Afrique du Nord, où vivaient les peuples autochtones qui croyaient en la déesse berbère Ifri. Le mot Africa provient du punique → voir Afer, -icus et -ica : les Romains ont reçu ce mot des Carthaginois chez qui ce mot désigne leur pays.
Au début du XVe siècle l'Afrique était une terra incognita au sud des Canaries. Les Portugais, sous l'impulsion de l'infant Henri le Navigateur, sont les premiers Européens à franchir le mythique cap Bojador (1434), à parvenir en Afrique noire.
Lorsque l'on parle de source historique, il s'agit d'un document ou artefact que l'on utilise pour étudier l'histoire. On retrouve divers types de documents historiques : Les documents archéologiques (armes, outils, bijoux, ossements, vaisselle, etc.) Les documents écrits (journaux, livres, inscription, édit, etc.)
L'histoire dans l'histoire est un procédé dépendant du dispositif connu sous le nom de récit-cadre, où une histoire supplémentaire est utilisée pour aider à raconter l'histoire principale.
Entre 3500 et 3000 avant J. -C., avec l'invention de l'écriture, la Mésopotamie et l'Égypte sont les premières civilisations à quitter la préhistoire pour entrer dans l'histoire et marquer ainsi les débuts de l'Antiquité. La vie des communautés s'organise en cités-états (villes).