L'approche par les normes sociales (SNA) La SNA vise à réduire la fréquence des comportements de santé à risque des individus en diminuant l'écart entre ce que la majorité de la population pense que les autres consomment et ce qui est réellement consommé.
En d'autres termes, les normes sociales guident et régulent les comportements des individus en les renseignant sur ce qu'il faut (prescription) ou ne faut pas (proscription) faire dans une situation donnée. Elles réduisent ainsi la confusion et l'incertitude et rendent les comportements d'autrui prédictibles.
Les normes influencent les attitudes et les croyances. Ou, toutes influencent les comportements. C'est complexe, et la première chose à faire est de pouvoir distinguer les différentes influences, car cela nous permet d'élaborer de meilleurs programmes axés sur le changement social et comportemental.
Les normes permettent de créer un système de soins de santé robuste, centré sur la personne. Les parties prenantes s'appuient sur celui-ci pour permettre aux personnes du monde entier d'améliorer continuellement la qualité des soins.
A quoi servent les normes? Les normes assurent la cohérence des caractéristiques essentielles des produits et services, notamment la qualité, l'écologie, la sécurité, l'économie, la fiabilité, la compatibilité, l'interopérabilité, l'efficacité et la rentabilité.
Les normes sociales sont importantes car elles régissent et soutiennent les comportements et renforcent les inégalités et les injustices sociales, y compris les inégalités entre les sexes.
Stress, revenu, éducation, relations sociales, environnement, travail, bagage génétique… tout ceci – et bien d'autres choses – influence notre état de santé. On appelle ces facteurs « déterminants de la santé ». S'ils sont favorables, nos chances d'être en bonne santé seront élevées.
L'éthique clinique se donne la possibilité d'agir sur les pratiques de soins comme une des possibilités d'amélioration continue des pratiques soignantes. Elle devrait nous aider à faire preuve de discernement pour mieux comprendre encore le sens des responsabilités assumées.
Être et rester en bonne santé, c'est important :
Rester en bonne santé permet de choisir plus facilement ce que l'on veut faire dans sa vie. Etre en bonne santé permet d'être plus heureux. Etre en bonne santé permet d'avoir une vie indépendante.
La socialisation permet de fabriquer des acteurs sociaux grâce à la transmission de normes et de valeurs essentielles à la vie en groupe. Les normes sont les règles de conduite alors que les valeurs sont les grands principes collectifs.
Les valeurs sont les idéaux qui orientent les actions et les comportements d'une collectivité ou d'un groupe social. Elles s'incarnent dans les normes sociales. Ces définitions posées, nous pouvons ainsi s'arrêter sur la définition de la culture en sociologie.
Parmi les normes les plus absurdes, on peut citer l'impasse juridique provoquée par un petit insecte protégé par la Convention de Berne de 1979 relative à la conservation de la vie sauvage et du milieu naturel de l'Europe.
la déviance comme produit de différents processus sociaux
Dès lors, la déviance s'explique bien par l'interaction sociale et notamment par le fait qu'un groupe peut faire prévaloir son système de normes et de valeurs et ainsi désigner comme déviants tous ceux qui ne s'y conforment pas.
les habiletés prosociales : être capable d'établir un contact avec l'autre et d'être agréable (sourire, saluer, partager, aider, complimenter, coopérer...) les habiletés de communication : être capable de reconnaître et exprimer ses émotions, ses besoins et ses désirs, et la capacité à reconnaître celles des autres.
L'influence sociale peut être définie comme un processus par lequel une personne ou un groupe affecte les comportements, les attitudes et les croyances d'un individu. L'obéissance se produit lorsque nous nous conformons aux ordres d'une autorité.
Ensemble des règles de conduite des professionnels de santé vis-à-vis de leurs patients. L'éthique médicale, nécessairement complexe, participe à la fois de la déontologie (ensemble des règles internes à une profession), de la morale et de la science.
Les quatre principes de l'éthique sont l'autonomie, la bienfaisance, la non-malfaisance et la justice. Ils offrent un cadre méthodologique qui permet de structurer la discussion du staff.
L'éthique est dans le soin, c'est son essence même, et aucune loi ne sait dire comment prendre soin. Il s'agit d'une affaire singulière, un face-à-face de consciences, unique à chaque fois. L'éthique est, en principes, en intention et en action, une et indivisible.
De nombreux facteurs influencent la santé d'une personne : l'âge, le sexe, le patrimoine génétique, le niveau d'éducation, le niveau de vie, le style de vie, le travail, le stress, l'alimentation… Un facteur qui influence la santé humaine de manière considérable est l'environnement.
QU'EST-CE QUI DÉTERMINE LA SANTÉ ? Le champ des caractéristiques individuelles comprend quatre catégories : les caractéristiques biologiques et génétiques, les compétences personnelles et sociales, les habitudes de vie et les comportements et, enfin, les caractéristiques socioéconomiques.
La façon dont nous percevons notre état de santé est influencée par un ensemble complexe de facteurs, notamment environnementauxn, culturels et socioéconomiques. Sans grande surprise, plus on avance en âge, moins on se sent en bonne santé, et c'est la même chose pour les femmes et les hommes.
Il existe des normes formelles, (écrites : lois, différents codes et règlements). Il existe également des normes informelles qui constituent en fait les mœurs, les habitudes, les coutumes, etc. (politesse, rythme de repas etc.). Le non-respect de ces normes est soit toléré soit rejeté et sanctionné.