le début d'après-midi, moins propice à la concentration, peut être utilisé pour les travaux peu exigeants, comme la recherche de documentation; la fin d'après-midi est idéale pour l'étude et les révisions; la soirée se prête bien pour les révisions ou les lectures.
Le matin. En général, après une bonne nuit de sommeil, le cerveau est frais et disposé à assimiler les informations qu'on lui donne le matin. Surtout lorsqu'il s'agit d'éléments dits « théoriques ». Réviser le matin semble donc être le meilleur moment pour étudier.
Étudier le soir permet d'entretenir son cerveau
Cet exercice de mémoire le fait donc travailler. Apprendre la nuit améliore notre mémoire et favorise une réflexion plus rapide. Cela jouera en votre faveur en protégeant votre cerveau des maladies de type Alzheimer.
Le bon espacement des sessions de révision
«Dans l'idéal, explique-t-elle, il faudrait revoir ses leçons selon le schéma suivant : le soir même, le lendemain, 4 jours plus tard puis 7 jours plus tard.» Cette stratégie serait efficace dès le plus jeune âge.
Le cerveau a besoin de temps de sommeil paradoxal, temps où le cerveau traite l'information de manière très efficace, d'à peu près deux heures par nuit. Dormir peu empêche la mémoire d'être efficace.
Autre point : on sait que le cerveau retient mieux lorsqu'il est bien reposé, mais aussi qu'il “révise” ses informations pendant la nuit. Une bonne façon de mémoriser une leçon consiste donc à la lire le soir avant de se coucher.
Le sommeil paradoxal joue un rôle dans la récupération mentale, l'enregistrement et l'organisation des connaissances ainsi que pour la mémorisation. C'est pour cela qu'il est important de dormir une nuit complète afin de bénéficier de l'ensemble de son sommeil paradoxal qui se situe en fin de nuit.
Pour te lever tôt et commencer à étudier de bonne heure, il est important de faire des choses agréables dès le réveil pour te ressourcer. Une fois debout, essaie de te chouchouter pour te permettre de bien commencer la journée et être plus productif. Prends un bon petit-déjeuner avant de commencer à étudier le matin.
Réviser le jour de l'examen apparaît inefficace car c'est le fait de répéter souvent les informations apprises qui crée de l'apprentissage. Il n'y a toutefois pas de loi universelle pour déterminer à quels délais “rafraîchir” la mémoire car cela dépend de nombreux paramètres.
Pensez à la méthode Pomodoro ! Utiliser une todolist : non, vous ne pouvez pas tout retenir. Suivre une todolist, c'est le meilleur moyen d'effectuer ses tâches. Et privilégiez la liste papier : c'est prouvé, le fait d'écrire ses tâches à la main est plus efficace et cela permet d'entretenir son écriture manuscrite !
Arrêter de réviser au moins une heure avant d'aller se coucher. Avant le coucher, il est important de préparer notre organisme au sommeil pour favoriser l'endormissement. Pour cela, mieux vaut arrêter les révisions au moins une heure avant d'aller au lit.
Les difficultés d'apprentissage peuvent être la conséquence de différentes choses : un manque de travail, des difficultés de concentration, un trouble de l'attention, des difficultés de raisonnement logique ou verbal ...
Ces troubles peuvent survenir à cause d'une maladie affectant la mémoire. Ils peuvent également être d'origine émotionnelle. Stress, fatigue, anxiété peuvent altérer la capacité à mémoriser, de même qu'une alimentation carencée, un problème d'alcoolisme, un excès de médicaments ou une fatigue excessive.
L'astuce principale pour mémoriser est de répéter une à deux fois le texte à voix haute pour bien s'en imprégner, et tenter de réciter sans regarder dans le cahier. Là, il faut aussi jeter un coup d'œil sur le texte original si jamais des mots vous échappent.
Cela revient donc à une journée de 13 heures environ. Pour terminer dans les temps, il faut que tu apprennes environ 6 à 7 pages par heure. Sois plus de 3 pages toutes les demi-heures, ou encore 10 minutes de révisions par page seulement : lecture, compréhension et mémorisation (sans oublier les rappels de mémoire).
Une tendance venue des Etats-Unis, le «Miracle morning», prône un début de journée aux aurores (entre 4h et 5h30 du matin), agrémenté de sport et de méditation, pour gagner en bien-être et productivité au travail. En France, les «early birds» (traduit chez nous par morningophiles) sont de plus en plus nombreux.
Des études ont montré qu'il serait dangereux de se lever tôt. Alors que certaines professions débutent tôt le matin avant 6 heures parfois, le manque de sommeil et un lever très tôt favoriseraient le développement de certaines maladies.
Pour se lever à 7h, il faut se coucher soit à 1h du matin, soit à 23h30, soit à 22h. Pour se lever à 6h30, il faut se coucher à minuit et demi, à 23h ou à 21h30.
Sur un électro-encéphalogramme, le sommeil lent profond est caractérisé par des ondes lentes et amples. La personne dort profondément et est difficile à réveiller. Au bout d'environ 60 à 75 minutes de sommeil profond, le sommeil paradoxal apparaît.
Insomnie psychophysiologique
On parle aussi d'insomnie chronique. L'idée est que la personne souffre tellement de ne pas dormir qu'elle finit par avoir peur de se coucher et de ne pas réussir à s'endormir : c'est une insomnie qui se nourri elle-même !
À chaque âge son besoin de sommeil
Les nouveau-nés (de 0 à 3 mois) : 14 à 17 heures. Les adolescents (14 à 17 ans) : 8 à 10 heures. Les adultes (26 à 64 ans) : 7 à 9 heures. Les personnes âgées (65 ans et +) : 7 à 8 heures.