Certains états médicaux à long terme tels qu'une hyperactivité de la thyroïde, un syndrome des ovaires polykystiques, le diabète et une maladie cardiaque peuvent également entraîner l'arrêt ou l'irrégularité de vos règles. Beaucoup de femmes ont des cycles irréguliers dus aux variations naturelles.
Les plantes : la bourse à pasteur, la menthe, les feuilles de framboisier, la racine d'angélique et la sauge consommées sous forme de tisane ont la réputation de réduire le flux menstruel, voire de le stopper le temps de quelques heures.
Un cycle anovulatoire, qui se caractérise par l'absence d'ovulation, peut aussi être une cause de règles irrégulières ou d'aménorrhée. Ce phénomène arrive fréquemment et n'est pas grave, dans la mesure où il n'est pas régulier. Après 40 ans, la ménopause est la première cause d'absence de règles chez une femme.
Si d'ordinaire ton cycle menstruel est régulier, tu peux estimer que tes règles sont en retard au-delà de 5 jours après la date prévue. Cela signifie que si tu as un retard de 1 à 5 jours, tu peux attendre un peu avant de commencer à envisager de t'inquiéter.
Généralement, par contre, la plupart des infections ne causent pas d'effet qu'on remarque vraiment (des règles en retard, par exemple). Si ton corps était particulièrement fatigué ou si tu avais une infection rénale plutôt qu'une simple IU, cela pourrait certainement contribuer au retard.
En cas de dérèglement hormonal, des traitements hormonaux pourront rétablir des règles plus régulières. Un déficit en progestérone peut, par exemple, être compensé par la prise d'un progestatif la deuxième partie du mois. Un stérilet hormonal permet également d'éviter les règles abondantes d'origine hormonale.
Il arrive que les traitements destinés à stimuler l'ovulation provoquent la formation de kystes fonctionnels. Ils sont douloureux et ont tendance à retarder les règles. Pendant celles-ci, ils régressent mais peuvent récidiver lors des cycles suivants.
Les aliments riches en fer : l'absence de règle peut être causée par une carence en fer, qu'il convient donc de compenser. Lentilles, persil et autres mines de fer (pas au sens propre !) sont à favoriser. Les fruits et légumes : une alimentation saine et équilibrée permet souvent de remettre à jour notre organisme.
La cicatrisation de l'utérus (généralement due à une infection ou une intervention chirurgicale), les polypes et les fibromes peuvent également entraîner une aménorrhée secondaire.
Ce trouble peut avoir différentes origines, telles que : Un dérèglement hormonal : un excès ou une insuffisance en œstrogènes peut être en cause. Un développement important de l'endomètre (la paroi interne de l'utérus). Lors des règles, l'endomètre est expulsé.
Un important stress psychologique ou un choc émotionnel pourrait être la cause d'un retard de règles, voire d'un arrêt des menstruations. En effet, le stress peut interférer sur vos cycles menstruels et influencer celui de l'ovulation, retardant vos règles et les rendant irrégulières.
Cycles irréguliers et prise de médicaments
En effet, la prise ou l'arrêt de la pilule peut déclencher une perturbation du cycle menstruel. Il aura alors besoin d'un petit délai (jusqu'à 6 mois) avant de se caler à nouveau sur un rythme physiologique. Dans ce cas, les règles peuvent mettre un peu de temps à revenir.
Cela peut être banal (une ovulation qui ne se fait pas un mois pour des raisons inconnues, ça arrive, et ia peut être lié à un choc psychologique ou un changement dans la vie), mais cela peut aussi être lié à une perte de poids, à un médicament, à un trouble hormonal.
Les signes et symptômes du cancer de l'ovaire comprennent ceux-ci : saignements vaginaux anormaux (par exemple, saignements abondants, irréguliers ou survenant entre les menstruations), en particulier après la ménopause. pertes vaginales fréquentes et claires, blanches ou teintées de sang.
Les principaux symptômes du cancer de l'ovaire
Gonflement abdominal. Douleurs abdominales ou pelviennes. Difficulté à manger ou se sentir rassasié rapidement en mangeant. Sentiment constant de besoin d'uriner.
Outre les causes susmentionnées, les maladies des reins, du foie ou de la glande thyroïde, le diabète sucré et les anomalies génétiques peuvent également déclencher des troubles du cycle. Le stress psychologique, les troubles alimentaires ou les sports de compétition peuvent également affecter le cycle menstruel.
Le diagnostic de la maladie passe essentiellement par une échographie, un examen simple et indolore qui permet habituellement de visualiser les contours et d'évaluer le volume de la masse.
Parfois, les fibromes volumineux sont responsables d'un gonflement abdominal. Les fibromes pédiculés peuvent se tordre, bloquant ainsi l'apport sanguin, et provoquer une douleur intense. En général, en cas de croissance ou d'évolution maligne, ils provoquent une compression ou des douleurs.
"Les fibromes sont bénins au sens où ils ne sont jamais un cancer. Mais les fibromes peuvent être embêtants s'ils entraînent des complications comme une hémorragie interne. Il s'agit d'une tumeur bénigne mais qui peut se révéler dangereuse du fait de son volume, de sa vascularisation..."
La ménopause est la période de la vie d'une femme où les règles ( menstruations ) s'arrêtent définitivement. Elle intervient généralement entre 45 et 55 ans et en général aux alentours de 50 ans. La ménopause est un phénomène naturel.
Est-ce que le stress peut provoquer les règles ? Comme l'anxiété peut bloquer les règles, elle peut aussi les déclencher. En fait, de manière générale, le stress dérègle tout le cycle hormonal, donc peut provoquer des menstruations en avance mais aussi les retarder.