La maladie du cauchemar peut être idiopathique ou associée à d'autres pathologies comme les troubles psychiatriques (38,1%). Elle touche 70% des patients atteints de troubles post traumatiques, 16,5% des patients atteints de dépression unipolaire et 9 à 55 % des patients souffrant de troubles psychotiques…
Pour certains, les cauchemars peuvent survenir toutes les semaines, voire toutes les nuits, occupant constamment les esprits et les privant de repos. Bien qu'indispensables à la santé psychique, les cauchemars à répétition peuvent être le signe d'un déséquilibre lié à ce qu'il se passe dans nos vies.
Les causes possibles sont le stress, la contrainte, les médicaments, la fièvre, la grossesse ou les traumatismes... Il en résulte que le lendemain on est fatigué pendant toute la journée. Dans certains cas, les cauchemars peuvent même mener à l'insomnie chronique.
Il est modéré à grave lorsque les cauchemars se produisent plus d'une fois par semaine et doivent être pris en charge car cela reflète une fragilité émotionnelle. Le trouble devient pathologique et doit être absolument traité lorsque la fréquence des cauchemars est quotidienne.
Des cauchemars ont été rapportés à des collyres de bêta-bloquants utilisés dans le traitement du glaucome. Des anti-infectieux ont été impliqués comme l'érythromycine, la clarithromycine, la ciprofloxacine, le ganciclovir et la néfloquine.
Un mode de vie sain, la méditation, la thérapie, le sport ou la tenue d'un journal intime sont autant de facteurs à même d'améliorer la qualité de votre sommeil et, par voie de conséquence, de vous aider à éliminer les cauchemars.
Traiter les cauchemars
Pour traiter ce trouble, la thérapie par répétition d'imagerie mentale (IRT) est fréquemment utilisée. Cette technique de restructuration cognitive consiste à imaginer quotidiennement, durant cinq à dix minutes, des issues alternatives et positives aux scénarios des cauchemars.
Les cauchemars servent donc à duper notre cerveau émotionnel, en réécrivant les souvenirs de nos peurs les plus perturbantes pour les neutraliser : C'est donc le moyen qu'à trouver notre cerveau pour se débarrasser de nos peurs.
Respirer pour se remettre d'un cauchemar
Respirer calmement c'est tout con mais c'est vraiment la première étape pour se remettre d'un très mauvais rêve ! Si les cauchemars vous réveillent c'est parce qu'ils accélèrent votre rythme cardiaque au point de vous sortir du sommeil.
Un médecin ou un psychologue pourra peut-être trouver une cause sous-jacente — comme une dépression ou un trouble de stress post-traumatique — et la traiter. Ou encore déceler un problème physique, comme l'apnée du sommeil — certains patients rapportent alors rêver qu'ils se noient.
Une terreur nocturne peut sembler en premier lieu similaire à un cauchemar, mais c'est en général bien plus intense. Les terreurs nocturnes ont toujours lieu en première partie de nuit, avant minuit et le plus souvent 2 à 3 heures après l'endormissement.
Se détendre durant les heures qui précèdent le coucher, car "la tension augmente les risques de faire des cauchemars". On éviter aussi les films d'horreur, le café, l'alcool, et même le fromage, qui aurait tendance à "alimenter les cauchemars".
Rassurez-le et montrez-lui que vous le prenez au sérieux. Demandez-lui de vous raconter son cauchemar. Ce qu'il faut lui dire. « Tu as fait un mauvais rêve, mais rassure-toi, tout va bien.
On regroupe sous le nom de parasomnies un groupe d'affections qui se caractérisent par des comportements anormaux et des expériences indésirables se produisant à l'endormissement ou pendant le sommeil.
Les causes et conséquences des terreurs nocturnes
Elles sont toutefois facilitées par différents facteurs : une prédisposition génétique, une privation de sommeil, une activité physique intense, des éléments psychologiques comme les facteurs de stress, de la fièvre, la consommation d'excitants avant le sommeil.
Il recense six types de cauchemars : éphialte pléthorique, éphialte stomachique (ou épilepsie nocturne dans lesquelles les craintes du jour reviennent la nuit), causés par l'hydrocéphale, éphialte vermineux, éphialte tertianaria (tient de l'incube et de l'épilepsie) et éphialte hypocondriaque.
Angoisse nocturne symptômes
Symptômes physiques : En général, les personnes souffrant d'anxiété nocturne présentent souvent des symptômes physiques tels que des palpitations cardiaques accrues, des difficultés à respirer, une transpiration accrue ou même des vertiges.
Le cauchemar provoque des émotions tellement intenses que des zones du cerveau déconnectées pendant le sommeil se reconnectent brusquement avec la réalité. C'est un peu comme si une "alarme de secours" se déclenchait pour mettre fin à un sommeil devenu insupportable. »
La signification d'un réveil entre 3h et 5h
Tout d'abord, cela peut être simplement un souci de respiration, un problème d'oxygénation de l'organisme. Mais cela peut aussi symboliser un poids psychologique. Un problème qui vous tracasse peut alors devenir physiquement oppressant et vous réveiller au milieu de la nuit.
Parmi les benzodiazépines prescrites contre l'insomnie, citons le lorazépam (Ativan), le nitrazépam (Mogadon), l'oxazépam (Serax), le témazépam (Restoril), le triazolam (Halcion) et le flurazépam (Dalmane).
D'une part, des recherches ont montré que le taux de cortisol peut être plus élevé le matin chez les personnes qui subissent un niveau de stress élevé dans leur vie. Cela peut expliquer pourquoi les gens ressentent une anxiété accrue le matin.
Ils sont souvent le reflet de nos craintes, de nos angoisses, de notre mal-être. Les cauchemars nous font peur, mais ils peuvent aussi, à condition de savoir les écouter et les comprendre, nous permettre de mieux nous connaître.
Le cauchemar laisse notre corps dans un état d'épuisement et sous tension. Le sommeil n'est plus source de repos mais de fatigue, dont l'impact se fait ressentir en journée et surtout sur la santé, car l'insomnie guette.