Un trouble du comportement peut être le signe d'une pathologie physique. Par exemple, la maladie d'Alzheimer peut entraîner des changements d'humeur, une tendance à s'isoler, une désorientation, etc. Les tumeurs au cerveau donnent aussi des symptômes comme de l'agressivité, des absences.
La dépression, les addictions et les troubles liés à la consommation de drogues ou d'alcool, l'anxiété et les phobies, les troubles de comportement alimentaires, les troubles schizophréniques, bipolaires ou borderlines sont des exemples de troubles psychique.
Facteurs sociaux et environnementaux
exposition à de la violence; séparation; parents sévères ou imprévisibles; supervision inconstante causée, par exemple, par les troubles mentaux du père ou de la mère ou par le fait de passer d'un foyer à l'autre, chacun ayant un style de supervision différent.
se dispute souvent avec les gens qui représentent l'autorité : ses professeurs, ses parents, les autres adultes; refuse de respecter le règlement ou l'autorité; fait souvent exprès d'énerver les autres; blâme souvent les autres pour ses erreurs ou son inconduite.
Les traitements des troubles du comportement
Certains médicaments peuvent être utiles. Dans tous les cas, un suivi psychologique voire psychiatrique se révèle nécessaire. D'autres techniques comme l'hypnose, les thérapies cognitivo-comportementales (TCC), la naturopathie, la méditation peuvent apporter un soulagement.
LES MALADIES PSYCHIATRIQUES
En France, les troubles psychiatriques touchent plus d'1 adulte sur 4. Les troubles les plus fréquemment rencontrés dans la population sont la dépression, les troubles bipolaires, la schizophrénie, les troubles anxieux et les addictions.
Une difficulté à recevoir les compliments et à vivre de bons moments avec l'entourage.
Faiblesse musculaire, maux de tête, troubles du sommeil, dérèglement des sens, tremblements, mauvaise coordination… Dès l'apparition des premiers symptômes, prenez rendez-vous chez votre médecin traitant qui saura interpréter les signaux d'alerte et vous orienter vers un neurologue si votre état le nécessite.
Une personne présentant un trouble bipolaire vit ses émotions avec une intensité démesurée et elle a parfois du mal à les maîtriser. Par exemple, la personne peut vivre les événements de sa vie quotidienne avec une profonde tristesse ou un sentiment de bonheur extrême.
Les formes de troubles de l'humeur les plus fréquentes sont : la dépression; les troubles bipolaires; la dysthymie : impression de vivre une dépression atténuée, caractérisée par une tristesse moins intense et des symptômes moins forts que ceux de la dépression.
B. Comportements compensatoires inappropriés et récurrents visant à prévenir la prise de poids, tels que : vomissements provoqués, emploi abusif de laxatifs, diurétiques, lavements ou autres médicaments ; jeûne ; exercice physique excessif.
Les symptômes psychotiques et la maladie bipolaire sont des formes plus graves de mauvaise santé mentale.
Un sociopathe peut être reconnu par l'adoption de comportements spécifiques du trouble de la personnalité antisociale. L'égocentrisme, le non-respect des autres, la tendance à la cruauté ou l'incapacité manifeste à comprendre les émotions des autres en sont quelques exemples.
Les personnes atteintes ont deux ou plusieurs identités et des trous de mémoire sur les événements de tous les jours, les informations personnelles importantes et les événements traumatiques ou stressants, ainsi que beaucoup d'autres symptômes, y compris la dépression et l'anxiété.
La personne est malade, elle a besoin de soins, c'est à dire de l'aide des professionnels pour moins souffrir. Les troubles psychiques ont inquiété l'entourage, un signalement a été fait auprès des services médico-sociaux.
ses émotions se modifient : par exemple, elle paraît indifférente aux personnes de son entourage, détachée ou coupée du monde. Elle éclate de rire ou se fâche sans raison; elle a des idées délirantes, c'est-à-dire des idées étranges ou fausses, des préoccupations ou des croyances bizarres.
Comportementaux : humeur labile, agressivité, difficultés à trouver de l'intérêt dans ses activités, à exécuter des tâches quotidiennes, abus de certaines substances. Cognitifs : difficultés importantes à se concentrer, à raisonner normalement, troubles de la mémoire.
Les personnes atteintes d'un trouble de la personnalité limite ont une peur extrême ou exagérée de perdre leurs liens avec les membres de leur entourage. Elles se sentent facilement rejetées ou abandonnées par les autres, ce qui crée des conflits dans leurs relations sociales.
Les symptômes sont notamment les suivants : idées délirantes récurrentes, hallucinations, pensée désorganisée, comportement très désorganisé ou agitation extrême.
Seul un médecin psychiatre ou pédopsychiatre est habilité à poser un diagnostic médical. Il prendra le temps, sur une ou plusieurs consultations, de comprendre les symptômes de l'enfant.
Le méthylphénidate (p. ex., Ritalin, Biphentin et Concerta) La dextroamphétamine (dexédrine, spansule de dexédrine et Vyvanse) Les sels mixtes d'amphétamine ou SMA (Adderall XR)
La personne peut être simplement colérique et lunatique, mais aussi verser dans une attitude beaucoup plus toxique. Autoritaire, méprisante, elle peut même devenir insultante, agressive voire violente avec son entourage proche, qui a alors l'impression de vivre un véritable enfer au quotidien.