une maladie vasculaire cérébrale ; la maladie de Parkinson ; la sclérose en plaques ; la maladie d'Alzheimer et les démences apparentées (démence à corps de Lewy, démences vasculaires).
Il faut plutôt s'inquiéter quand l'entourage vous met en garde contre votre attitude : pertes de mémoires fréquentes et sur des sujets que vous maîtrisez habituellement, attitudes bizarres, rangements improbables, troubles du langage et de l'orientation dans des lieux que vous maîtrisez parfaitement jusqu'à présent.
«L'oubli à long terme accéléré semble précéder tous les autres perturbations cognitives précoces de la maladie d'Alzheimer déjà identifiées», remarquent les chercheurs anglais.
Ces troubles peuvent survenir à cause d'une maladie affectant la mémoire. Ils peuvent également être d'origine émotionnelle. Stress, fatigue, anxiété peuvent altérer la capacité à mémoriser, de même qu'une alimentation carencée, un problème d'alcoolisme, un excès de médicaments ou une fatigue excessive.
Les médicaments qui agissent sur le cerveau, comme les anxiolytiques, les antidépresseurs, mais aussi les somnifères. En modifiant la manière dont les neurones communiquent, ils perturbent la mémoire et la concentration. Le stress.
Aussi appelé l'examen de Folstein, MMSE est l'abréviation du nom anglais de l'examen Mini Mental State Examination. Cette évaluation a été élaborée par Folstein en 1975. Il s'agit d'un test simple et standardisé pour vérifier la performance des fonctions cognitives des sujets et évaluer leur déficit.
R : La dépression n'est pas une maladie de la mémoire, comme la maladie d'Alzheimer, souvent considérée comme le prototype de ces maladies. Les troubles de l'humeur vont toutefois entraîner des troubles de la mémoire du fait des difficultés de concentration et du ralentissement idéomoteur.
Les hypermnésiques décrivent leur mémoire comme fonctionnant par associations incontrôlables. Leur mémoire ne garde pas le souvenir de chaque élément de leur vie. Elle est aléatoire et peut parfois retenir des événements perçus comme insignifiants.
« Les troubles de la mémoire surviennent à tout âge. Dans l'immense majorité des cas, ils sont bénins et reflètent la fatigue, le manque de sommeil, le stress ou de banals problèmes de concentration », rassure le Dr Jean-Pierre Danjean.
L'aphasie est un trouble du langage allant de la difficulté de trouver ses mots à une perte totale de la faculté de s'exprimer. Elle est causée par dommages du cerveau provoqués dans la majorité des cas par un accident vasculaire cérébral. Le rétablissement dépend de la gravité de la lésion.
Chez les personnes présentant une perte de mémoire, certains symptômes sont sujets de préoccupation : Difficulté à accomplir les activités quotidiennes habituelles. Difficulté à se concentrer et fluctuation du niveau de conscience (symptômes qui évoquent le syndrome confusionnel)
Si vous avez : toux + fièvre
Appelez un professionnel de santé ou du social si besoin. N'allez pas directement chez le médecin, à l'hôpital ou aux urgences. En général, la maladie guérit avec du repos.
Le mieux reste encore d'être bienveillant, de montrer à votre proche le plus d'affection possible, de par vos mots, déjà, mais aussi avec des gestes tendres. Ainsi, il/elle comprendra que, malgré sa maladie, il/elle est toujours, à vos yeux, votre père, mère, conjoint.
Du côté du cortex préfrontal, le stress chronique ralentit l'activité et vient altérer la prise de décision, la résolution de problèmes, la concentration et la planification. L'activité dans l'amygdale quant à elle, augmente en conséquence au stress. La régulation des émotions s'en trouve alors affectée.
Les vitamines du groupe B et plus particulièrement les vitamines B1, B5, B6, B9 et B12 jouent un rôle primordial dans le maintien de fonctions cognitives et psychologiques normales (telles que la mémoire). Les omégas 3 sont également fondamentaux dans les différents processus cérébraux.
En effet, la baisse de moral des personnes souffrant de dépression engendre des déficits neurocognitifs. Les déficits les plus communs sont : la mémoire, la concentration et l'attention. Une étude récente a mis en lumière la présence d'altérations neurocognitives chez les patients dépressifs et chez les cas témoins.
En cause : le manque d'activité physique. Même une courte balade à l'air frais peut vous aider à mieux alimenter les cellules de votre cerveau en oxygène et à les remettre sur la bonne voie.
La vitamine C et la vitamine D protègent le cerveau contre le stress oxydatif et le déclin cognitif. Les vitamines du groupe B favorisent l'absorption du glucose par l'organisme et le transport de l'oxygène, et aident à la fabrication de certains neurotransmetteurs.