Lorsqu'une photographie est prise, l'obturateur s'ouvre pendant un temps assez court pour que la lumière fasse réagir un film photographique photosensible (sels d'argent).
Les capteurs CCD sont sensibles à l'ensemble du spectre de la lumière visible. Grâce à une matrice de filtres colorés, par exemple un filtre de Bayer, constitué de cellules colorées des couleurs primaires, chaque photosite du capteur ne voit qu'une seule couleur : rouge, vert ou bleu.
Lorsque vous regardez dans le viseur et appuyez sur le bouton de capture de votre appareil, vous déclenchez (le déclencheur) qui va ordonner à l'obturateur de s'ouvrir. La lumière qui passe à travers l'objectif peut alors atteindre le capteur (ou la pellicule) en passant dans le diaphragme.
La surface du capteur sensible à la lumière est en moyenne égale à 25-50% de sa superficie totale. Pour réduire la perte de lumière, chaque photodiode est couvert par une microlentille qui dépasse sa zone et se trouve en contact avec les microlentilles des photodiodes adjacentes.
Dans une caméra de prise de vues cinématographique, qu'elle soit professionnelle ou d'amateurs, le viseur désigne l'équipement technique qui permet au cadreur de déterminer la façon dont il va filmer son sujet : angle de prise de vues, « grosseur » du plan, déplacements éventuels de la caméra, et par lequel il contrôle ...
La choroïde est une membrane vascularisée qui assure la nutrition de la rétine. Les cellules de cette tunique renferment un pigment, la mélanine, qui lui donne une couleur brun-foncé, afin que les rayons ne pénètrent que par la pupille. La choroïde forme en avant l'iris.
La couche externe de l'œil est la sclérotique ou sclère : c'est une enveloppe résistante de couleur blanche.
un photocapteur ou partie photosensible, qui n'est qu'une matrice à deux dimensions de pixels. Le photocapteur comprend d'autres structures électroniques tels des drains d'évacuation, des portes et des stoppeurs permettant ou non le transfert des charges.
Le déclencheur
C'est assez facile, c'est le bouton sur lequel vous appuyer pour prendre la photo. Il semble anodin, mais c'est par là que tout commence!
Les capteurs CMOS sont apparus au début des années 1990. Ils permettent notamment une conversion de la charge directement sur la photosite de génération par la présence d'un amplificateur sur le pixel. Cette particularité permet également de supprimer de nombreux transferts et d'accroitre la vitesse de lecture.
Photodiode : Une photodiode est un composant électronique semi-conducteur qui transforme un rayonnement lumineux en courant électrique. En captant la lumière, les photosites jouent un rôle équivalent à celui de la pellicule en photographie argentique traditionnelle.
Convertisseur analogique/numérique
Quelle que soit la technologie utilisée, le capteur transforme l'information lumineuse en une information électrique analogique. Pour être traitée en aval, ce signal doit être numérisé. C'est la fonction du convertisseur analogique/numérique.
Le but d'un capteur est de convertir la lumière (photons) en signal électrique (électrons). Pour cela les capteurs des appareils photographiques possèdent des cellules photosensibles appelées photodiodes.
Un capteur CMOS (« complementary metal-oxide-semiconductor ») est composé de photodiodes, à l'instar d'un CCD, où chaque photosite possède son propre convertisseur charge/tension et amplificateur (dans le cas d'un capteur APS).
L'ISO est l'un des trois éléments du triangle de l'exposition photographique, avec la vitesse d'obturation et l'ouverture focale, que vous pouvez ajuster pendant les prises de vues. L'ISO contrôle la quantité de lumière que votre appareil photo capture.
Outre les photos, ce triple capteur donnera le change sur la vidéo, avec une application retravaillée. Les 3 caméras ont été calibrées ensemble pour avoir la même colorimétrie et pourront s'utiliser en même temps automatiquement, ou séparément sur des applications comme l'excellent FilMic Pro.
Le triangle d'exposition est un élément fondamental en photographie pour facilement faire la relation entre les trois variables qui influencent l'exposition d'une photo : la sensibilité ISO, la vitesse d'obturation et l'ouverture. Chaque côté du triangle correspond à un paramètre de l'exposition.
L'expérience décrite plus haut permet alors d'aboutir à la définition de la réfraction. Lorsqu'elle se trouve dans un milieu homogène, la lumière se propage en ligne droite. Lorsqu'elle change de milieu, ou bien lorsque le milieu n'est plus homogène, elle est alors déviée : c'est le phénomène de réfraction.
Malheureusement les photosites ne sont pas capables de percevoir la couleur. Seule solution : réserver certains photosites à la captation des photons rouges, d'autres aux verts et d'autres aux bleus. Pour permettre cette captation séparée, un filtre coloré est positionné par dessus chaque photosite.
La résolution représente une « densité de points (ou pixels) sur une longueur donnée ». Tout le monde a entendu parler des 300 ppp nécessaires à l'imprimeur. Cette valeur précise n'est pas indispensable. Il est admis qu'une résolution de 250 ppp est suffisante pour une impression de bonne qualité.
La mélanine absorbe la lumière et cela conduit à une couleur plus foncée de l'œil. Le contraire est vrai pour les yeux clairs. Les yeux bleus par exemple contiennent moins de mélanine et absorbent donc moins de lumière. Ce processus s'appelle l'effet Tyndall : un phénomène similaire à celui qui rend le ciel bleu.
Elle peut être provoquée par des virus, des bactéries, des pollens, ou des poussières, ainsi que par une exposition excessive au vent, au soleil, ou à la fumée. Elle peut être la conséquence d'un défaut de vision, ou d'une simple sécheresse des yeux. Dans tous les cas, une consultation médicale s'impose.
La glabelle se situe entre les deux arcades sourcières, protubérances osseuses situées sur l'os frontal au-dessus de l'orbite de l'œil. L'arcade sourcilière est recouverte par les sourcils sur la peau. Tapoter la zone glabellaire provoque un réflexe de fermeture des yeux : nous parlons de réflexe glabellaire.