Il est couramment admis que ce sont les chinois les premiers qui ont inventé les sorbets il y a plus de 4000 ans. La date précise n'est pas connue mais on sait que 2000 ans avant Jésus Christ, ils en faisaient. Ils mélangeait alors des fruits et du miel et le faisait refroidir avec de la neige.
Marco Polo et la sorbetière chinoise
Plus de mille ans plus tard, le marchand vénitien Marco Polo (1254 – 1324) rentre en Italie après un long périple en Extrême-Orient. Parmi ses multiples découvertes, il rapporte une recette qui ressemblait beaucoup à ce que l'on appelle aujourd'hui le sorbet.
Le mot « sorbet » vient de l'italien sorbetto, issu du turc şerbet, lui-même issu du persan شربة, « šarbat » (« boisson élaborée à partir d'eau et d'un jus ou d'un sirop de fruit sucré »), tous dérivant du verbe arabe شرب / ch(a)rab / qui signifie « boire ».
Une première apparition en Chine
Certains articles parlent de 3000 ans avant notre ère et d'autres de 2 siècles avant Jésus Christ. Des historiens ont trouvé les premières traces des recettes de glace en Chine. Ces recettes étaient alors composées de lait de chèvre, de miel et d'écorces aromatiques.
Il faut toutefois attendre l'an 1533 pour voir l'apparition «officielle» de la crème glacée. On doit cette invention aux cuisiniers (italiens) de Catherine de Médi- cis (1519-1589).
L'origine de l'appellation glace italienne
C'est Marco Polo qui aurait apporté cette recette en Italie et le sorbetti serait la façon italienne d'appeler le sorbet. Les glaces italiennes deviennent ensuite célèbres auprès du peuple italien de la classe noble.
Le chocolat a été l'un des premiers parfums de crème glacée, créé avant la vanille, car des boissons courantes comme le chocolat chaud, le café et le thé ont été les premiers aliments à être transformés en desserts glacés.
A l'arrivée, neige et glace étaient enfouies dans des puits pour être conservées. Néron, empereur romain, régalait aussi ses invités de fruits écrasés avec du miel et de la neige, pratiques que Sénèque trouvait fort coûteuses.
Plantées sur un bâtonnet, les glaces à l'eau sont parmi les plus populaires du monde : il s'en écoule environ 3 milliards par an. Et pourtant, leur invention, en 1905, résulte d'un hasard total. On la doit à Frank Epperson, un Californien alors âgé d'une dizaine d'années.
Certaines font état de l'empereur Néron qui envoyait, dit-on, des esclaves dans les montagnes pour lui ramener de la glace qu'il ajoutait à ses boissons fruitées.
أنه مشروب التوت البري، في الحقيقة.
La glace italienne et Tom Carver
La première version sur l'invention de la glace italienne était en rapport avec le vendeur de glace ambulant Tom Carver en 1934 qui, après avoir crevé un pneu dans un temps ensoleillé était dans l'obligation de vendre les glaces qui commençaient à fondre.
On récolte la glace sur des étangs ou des cours d'eau gelés (ça fait une surface plus régulière et plus facile à découper en blocs et à extraire). Les blocs sont découpés à la scie et manipulés à la force du bras avec de grosses pinces.
Une glace à l'eau, glace au sirop, ou encore glaçon en Belgique ou polo en Corse et dans le sud de la France, et sucette glacée ou par antonomase, popsicle ou Mr.
( XII e siècle) Du latin glacies (« glace, glaçon, dureté, rigidité »), par l'intermédiaire du bas latin glacia.
Glace fondante, obtenue par congélation d'un mélange d'eau et de sucre aromatisé soit à l'aide de fruits, soit à l'aide de vin, de liqueur ou d'alcool.
Histoire. Le principe (une barre de glace, semblable à une sucette, enrobée de chocolat) est inventé en 1919 par l'américain Christian K. Nelson (1893-1992), immigrant danois qui découvre la propriété de l'huile de coprah servant à fixer le chocolat autour du bâtonnet.
On presse les fruits, on met le jus dans un tonneau bien fermé et on fait couler dessus de la neige avec du salpêtre (du nitrate de potassium, encore utilisé comme conservateur pour la charcuterie par exemple, sous le nom E252). Pendant quelques siècles, on consomme donc des glaces à base d'eau et de fruits.
La glace congelée sans interruption à -18 °C se conserve indéfiniment, à condition qu'elle ait été stockée dans de bonnes conditions et que l'emballage ne soit pas endommagé.
On utilisait donc de la glace naturelle formée durant l'hiver et stockée dans les glacières des châteaux. Ces dernières étaient constituées d'une fosse d'une dizaine de mètres de profondeur, couverte d'un toit isolant, et dans laquelle on faisait alterner des couches de paille et de glace.
Un sachet contenant de l'eau a été placé au milieu de ce mélange. La température de départ du mélange est de 0°C, mais après 10 minutes, elle est descendue à – 10°C, c'est une réaction chimique entre le gros sel et la glace, l'eau du sachet commence à geler.
Au 18e siècle, l'apparition du moule à glace permet la création des entremets. En plaçant la préparation à l'intérieur de moules de formes diverses, ensuite plongés dans de la glace pilée et salée, on donne à ces douceurs des allures originales.
L'histoire du chocolat remonte à 4 000 ans, dans l'antique Méso-Amérique qui incluait entre autres le Mexique d'aujourd'hui, où les premiers cacaoyers ont été trouvés. La civilisation Olmèque, l'une des plus anciennes d'Amérique latine, a été la première à transformer le cacao en chocolat.
Du point de vue industriel, elle est fabriquée grâce au procédé de congélation/foisonnement d'un « mix » d'eau, de sucre, de lait, de crème, de stabilisants, d'émulsifiants, d'arômes et/ou de fruits ou jus de fruits.
Une glace italienne est reconnue par sa texture onctueuse et sa consistance aérée. A la différence de la glace française, la glace italienne est moins épaisse. Faire une boule de glace à l'italien est quasiment impossible. Elle est souvent servie dans une verrine ou dans un cornet.