La maladie de Parkinson est une maladie neurologique dégénérative, les neurones dopaminergiques (situés dans la substance noire du cerveau) sont touchés et dégénèrent ; puis disparaissent progressivement. La fonction de ces neurones est de fabriquer et de libérer la dopamine.
La maladie de Parkinson provoque en premier lieu par une dégénérescence progressive des neurones à dopamine au niveau cérébral, la dopamine étant un neurotransmetteur impliqué dans le contrôle de nombreuses fonctions comme les mouvements volontaires, la cognition, la motivation et les affects.
Première étude sur la maladie de Parkinson couvrant l'ensemble du territoire français (Outre-mer inclus). Fin 2015, 160 000 patients parkinsoniens traités, avec environ 25 000 nouveaux cas par an ; 17% des nouveaux cas étaient âgés de moins de 65 ans. Les hommes sont atteints 1,5 fois plus que les femmes.
Les causes exactes de la maladie de Parkinson sont certes inconnues, mais plusieurs facteurs favorisent la dégénérescence des neurones. Il est en effet généralement admis qu'une interaction entre des prédispositions génétiques et des facteurs environnementaux entraîne la maladie de Parkinson.
Ainsi, l'excès de stimulants peut en être la cause, dans la mesure où le cerveau, habitué à une libération artificielle de cette hormone, devient incapable d'en produire. Par exemple, la consommation d'une grande quantité de café, d'alcool ou la prise de drogue comme la cocaïne provoque la libération de dopamine.
Les vitamines du groupe B (particulièrement la vitamine B6) sont importantes pour la production de dopamine, de mélatonine et de sérotonine. Les aliments riches en tyrosine. La tyrosine est un acide aminé non essentiel que le corps produit à partir d'un autre acide aminé appelé phénylalanine.
Un premier conseil sera de privilégier les aliments riches en tyrosine, un acide aminé qui stimule la production de dopamine. On en trouve dans les bananes, le chocolat, les avocats, les graines de sésame et de citrouilles, les amandes, ou encore les œufs et les fromages.
La maladie de Parkinson fait-elle mal ? La douleur constitue une plainte fréquente dans la maladie de Parkinson (MP) quel que soit le stade de la maladie, parfois avant même que celle-ci ne soit diagnostiquée. En effet, la douleur représente le symptôme initial chez 15% des malades.
La lévodopa (ou L-dopa) est transformée en dopamine dans le cerveau. Elle est le traitement de référence de la maladie de Parkinson, celui qui possède le meilleur rapport efficacité/effets indésirables.
La maladie de Parkinson est-elle héréditaire ? La maladie de Parkinson est multifactorielle, c'est-à-dire qu'elle est liée à une interaction entre des facteurs génétiques (de type susceptibilité) et des facteurs environnementaux. C'est le cas pour la grande majorité des malades.
En effet, « contrairement à la maladie d'Alzheimer, les troubles cognitifs s'accompagnent ici de problèmes moteurs. » Plus légers que dans la maladie de Parkinson, ils se manifestent souvent par une certaine raideur, un ralentissement moteur ou des chutes. Autres symptôme spécifique : des modifications cardiaques.
La fatigabilité et la difficulté de concentration
Les signes les plus souvent constatés sont discrets ; il s'agit de fatigabilité et de difficulté à se concentrer ou d'une baisse de rendement dans la réalisation des tâches quotidiennes.
L'IRM cérébrale est le meilleur examen pour le diagnostic différentiel entre maladie de Parkinson et syndrome parkinsonien « plus » ou atypiques. Le DATscan* permet de visualiser la dégénérescence dopaminergique mais pas de distinguer maladie de Parkinson et syndromes parkinsoniens « plus ».
La dopamine est émise par certains neurones dans les synapses, espaces situés entre les neurones. Elle se lie à des récepteurs situés sur d'autres neurones, permettant ainsi la transmission de l'information d'un neurone à l'autre.
Les exercices en aérobie à haute intensité, comme par exemple 60 minutes de travail intense sur une bicyclette ou un tapis roulant, peuvent également avoir des effets importants sur le métabolisme, et favoriser les performances cognitives, ainsi que l'absorption et l'utilisation de médicaments comme la L-DOPA.
Les activités physiques les plus indiquées dans le cas de Parkinson sont finalement très nombreuses et vont de la marche nordique à la danse, en passant par le taï-chi, le Qi gong, le Shiatsu, la longe-côte, le vélo, l'aquagym…
Vous pouvez, par exemple, consommer plus de céréales, du pain à grains entiers, des légumineuses, des fruits et des légumes. Exposez-vous au soleil, en vous protégeant, et mangez des aliments riches en calcium. Le calcium est important pour la santé de vos os et permet de réduire votre risque de fracture.
Ces parkinsoniens ont une espérance de vie d'un peu plus d'une dizaine d'années (13 à 14 ans). Le traitement à la dopamine permet d'obtenir un résultat plus que satisfaisant dans le prolongement de l'espérance de vie des patients. Certains ont atteint une durée de vie supérieure à la moyenne globale.
Résultat : les scientifiques se sont aperçus que le trouble lié à la consommation d'alcool chez les hommes et les femmes était associé à un risque plus élevé de maladie d'Alzheimer et de Parkinson.
Troubles du rythme cardiaque, hypotension orthostatique, troubles du goût troubles psychiques, agitation, désorientation, dépression, anxiété, cauchemar, somnolence, envie impérieuse de dormir au cours de la journée, éruption cutanée, démangeaisons, anomalie de la numération formule sanguine, augmentation des ...
Vous vous douterez que tous les sports ne favorisent pas la libération de dopamine de la même manière, et que certains sont plus adaptés que d'autres. Pour un sentiment de bien-être plus important, les sports à privilégier sont donc : la course à pied ou running. la natation.
Pensez à recharger les batteries. Apports alimentaires: mêmes aliments que la dopamine, associés à des co-facteurs (fer, caféine..). → Pour favoriser la libération des neurotransmetteurs de la motivation et de l'éveil, une alimentation riche en protéines est appropriée au petit déjeuner et au déjeuner.