Au-delà d'être une source indispensable de revenus, le travail apparaît comme un vecteur de sociabilité pour beaucoup de salariés, notamment chez les femmes et les plus jeunes. C'est l'occasion de faire de nouvelles rencontres, d'y nouer des amitiés et parfois même d'y trouver nos futurs partenaires professionnels.
1Le travail occupe une place essentielle dans nos sociétés, même par son absence. C'est une des bases de l'économie. C'est la source principale des revenus qui autorise l'accès à la consommation. C'est aussi la voie principale de l'insertion sociale.
Le travail, c'est la santé, nous assène-t-on. Il éloigne l'ennui, le vice et le besoin. Il humanise par le lien social qu'il crée et maintient nos capacités intellectuelles en éveil. Il redresse le perverti, moralise le dévoyé, rend l'homme vertueux.
Le travail est une nécessité. En effet, l'Homme n'a pas le choix, il est obligé de travailler, car s'il ne travaille pas, il meurt. La nature, spontanément, ne lui fournit pas de quoi survivre. Donc plutôt que de parler d'obligation, on peut dire que le travail est une contrainte.
Plus qu'une manière de subvenir à nos besoins, le travail est désormais un vecteur d'épanouissement et de réalisation de soi : il donne un sens à notre vie et nous permet de nous sentir utile à la société. La question du bien-être et de la qualité de vie au travail prend donc tout son sens.
Le travail permet aussi aux jeunes mamans de retrouver un équilibre social qu'elles avaient mis de côté du fait de l'arrivée de bébé. Retrouver ses collègues, ou s'en faire de nouveaux, favorise l'échange et les relations avec autrui, ce qui permet de gagner en estime de soi et en bien-être au travail.
Le travail nous donne aussi l'opportunité de nous construire une identité et de nous identifier à d'autres personnes qui pratiquent les mêmes fonctions. Il nous occupe l'esprit et permet de ne pas penser à nos problèmes. Certains d'entre vous diront que l'on dort vraiment bien après une grosse journée de travail.
Le travail rend heureux aussi parce qu'il structure le temps, donne un cadre et permet de mieux apprécier son temps libre. Enfin, travailler impose de développer ses compétences et ses qualités, ce qui est valorisant et donne confiance en soi, et contribue à l'épanouissement personnel.
Le travail favorise également la communication, donc le rapport avec les autres. Il fait vraiment de l'être humain un être social. Le travail forme l'homme à la sociabilisation et lui apprend donc à vivre en société. Le travail est en effet lié à la diversité des techniques et à la nécessaire coopération sociale.
Enfin, le travail contribue à notre bonheur car il aide à se réaliser et se dépasser. Il permet aussi d'apprendre continuellement du savoir-faire et du savoir-être et de s'épanouir pleinement. Il renforce notre confiance en soi et notre estime de soi par la réalisation d'objectifs avec succès.
La valeur du travail est invariante et permet d'évaluer tous les biens. L'argent qui permet d'échanger les biens n'est qu'une reconnaissance de cette valeur. En effet, « des quantités égales de travail doivent être, dans tous les temps et dans tous les lieux, d'une valeur égale pour le travailleur.
La notion de bien-être au travail est un concept englobant, de portée plus large que les notions de santé physique et mentale. Elle fait référence à un sentiment général de satisfaction et d'épanouissement dans et par le travail qui dépasse l'absence d'atteinte à la santé.
Ainsi, la première fonction du travail est d'intégrer les individus dans la société en leur permettant de satisfaire leurs besoins et de participer à l'effort de production national. Le travail est une des activités qui, quel que soit son objet précis, occupe le plus la vie des individus et les situe dans la société.
Le travail et notamment sa rémunération nous libère de l'isolement, de la dépendance financières des proches ou de l'Etat mais aussi il nous aide à penser par nous-mêmes. Pour finir, il existe d'autres formes de travail, notamment sur soi, qui permettent à l'Homme de se libérer.
C'est une action qui se traduit par la réalisation, la production, la création de quelque chose et qui peut être professionnelle ou non. Notre société étant ainsi organisée, le principe de réalité nous suggère d'exercer une profession qui nous permette de vivre et donc d'être rémunéré.
Le travail est essentiel pour la survie de l'homme, mais il est aussi considéré comme un châtiment et une contrainte. Le travail permet aussi de s'accomplir en tant qu'être humain et d'être libre.
Ce qui nous pousse à travailler, c'est un besoin né de l'habitude et de l'idéologie du travail. Si le travail est une nécessité, cela n'en constitue pas une justification. D'ailleurs toutes les sociétés mises à part la nôtre en ont témoigné en évitant le travail.
En effet, le travail est une activité qui induit de suivre des règles, et ces règles permettent à l'être humain de se libérer de la nature qui réside en lui, c'est-à-dire de se civiliser. Cette nature qui habite l'être humain s'exprime par le désir, l'instinct et les sentiments d'après Kant.
« Le travail, c'est ce qu'on ne peut pas s'arrêter de faire quand on a envie de s'arrêter de le faire. » « Il faut être enthousiaste dans son métier pour y exceller. » « Faites quelque chose et, si ça ne fonctionne pas, essayez autre chose. » « Le succès est la somme de petits efforts, répétés jour après jour. »
Objectifs de travail : formuler l'action finale
Par action, il faut comprendre ce que la personne va devoir « accomplir », ce qu'elle devra « réaliser ». L'action finale doit être définie par un verbe d'action et non un verbe décrivant un état.
1. Activité de l'homme appliquée à la production, à la création, à l'entretien de quelque chose : Travail manuel, intellectuel. 2. Activité professionnelle régulière et rémunérée : Vivre de son travail.
L'introduction, qui dégage la logique du plan, est une présentation du sujet : elle doit l'amener et le poser, avant de le diviser.
La notion de bien-être au travail est une notion englobante, de portée plus large que les notions de santé physique et mentale. Elle fait référence à un sentiment général de satisfaction et d'épanouisse- ment dans et par le travail et non à la seule absence de pathologies, de maladies ou de handicaps.
L'origine. Le mot travail vient du latin tripalium, qui était, je vous le donne en mille, un instrument de torture composé de trois pieux ! Historiquement, le travail désigne, en effet, la souffrance, la douleur, en particulier celle que peut endurer une femme lors de l'accouchement.
Le travail a une valeur morale. Précisément, en soumettant ses appétits et ses désirs immédiats au pouvoir de sa volonté, l'homme au travail apprend à les dominer: ainsi le commerçant devra-t-il faire preuve de diplomatie et de patience s'il veut conserver ses clients.