En liant les deux sens du mot « physiologie » chez Nietzsche, il apparaît que la musique est l'expression d'une force ou faiblesse qui n'est pas seulement d'ordre physique, mais aussi psychique et psychologique.
Nietzsche pense que tous les idéaux, qu'ils soient religieux, philosophiques ou politiques, ont la même finalité, celle d'inventer un au-delà meilleur que l'ici-bas et d'imaginer des valeurs « transcendantes ». Nier le vrai réel au nom de fausses réalités au lieu de l'assumer et de le vivre tel qu'il est.
Il affirme que le monde juste est totalement absent de notre société et que, de ce fait, l'existence n'a aucun sens. Il conduit alors les faibles à renier la vie ; le nihilisme actif est plutôt considéré comme un nihilisme "des forts". Il consiste à abandonner certaines valeurs pour en adopter de nouvelles.
« I. « Sans la musique, la vie serait une erreur » », , Nietzsche et la musique.
La musique est belle seulement si elle est pure, dénuée de surplus, et concourt à la vérité. Elle permet de cerner l'Idée de la Beauté. Platon subordonne le Bien au Beau, dans l'art comme pour les hommes. Pour que les hommes soient bons, il faut leur enseigner le Vrai.
La musique a cet effet déclencheur sur le cerveau, et tout le travail scientifique actuel consiste à isoler les paramètres dans la musique entraînant la génération de l'adrénaline, mais aussi la dopamine (lié à la satisfaction) et l'endorphine (lié au soulagement).
Source de plaisir, la musique agit sur le système de récompense du cerveau et stimule la libération de dopamine qui, à son tour, active la sécrétion d'endorphines procurant une sensation de bien-être. Ce faisant, elle réduit aussi le stress et l'anxiété.
La musique dit la réalité de l'être des choses bien mieux que tout langage, qui n'est que squelette des choses. Pour Schopenhauer, la philosophie comme la musique disent l'essence des choses à travers une langue universelle. On peut même aller plus loin est dire que la vraie philosophie c'est la musique.
Pour les mélomanes, la réponse est claire et elle sera négative. Pour eux, passer une journée sans entendre la moindre mélodie est tout simplement impossible. Selon le célèbre philosophe et poète (ainsi que pianiste) allemand Friedrich Wilhelm Nietzsche, « sans la musique, la vie serait une erreur ».
La musique est l'âme de l'amour, la douceur de la vie, la consolation des peines et la compagne de l'innocence. Napoléon Bonaparte.
Nietzsche va plus loin, et s'oppose même au dualisme classique que l'on effectue entre âme et corps : l'être n'est que corps puisque l'être n'est que instinct.
Nietzsche condamne donc la position dogmatique de Platon en matière de moral et lui oppose un perspectiviste allant en faveur de la vie et de ses conflits. Toutefois il reconnaît une distinction au sein de l'œuvre de Platon entre ce qui relève de l'homme lui-même et ce qui relève de la pensée de Socrate.
La philosophie de Nietzsche n'est donc pas un nihilisme qui se ferait pessimisme. Elle est au contraire une véritable philosophie du bonheur, bonheur qui ne s'atteint que par un rejet du monde, c'est-à-dire par le nihilisme actif.
Dans le Crépuscule des idoles, il déclare ainsi : « La valeur de la vie ne saurait être évaluée. Pas par un vivant, car il est partie, et même objet de litige ; pas davantage par un mort, pour une tout autre raison ». Pour Nietzsche, la vie n'est digne d'être vécue seulement si nous avons des buts à atteindre.
Tout penseur vraiment grand ne pense jamais qu'une unique question, et Nietzsche est le penseur du nihilisme. Aborder le massif nietzschéen n'est possible qu'à partir de cette question : mais elle ne fut précisément pensée en sa profondeur abyssale que par Nietzsche, et c'est dès lors en ce cercle qu'il faut s'engager.
Celle-ci a tout d'abord une origine physiologique : le faible a intérêt à soutenir une morale valorisant la paix, l'humilité et le pardon, tandis que l'individu puissant physiquement prône naturellement la noblesse, le courage et la force. La morale classique a ensuite une origine psychologique.
La musique a tendance à rendre les travailleurs de meilleure humeur et leur permet de mieux se concentrer. Quand certaines personnes peuvent être cependant déstabilisées par la musique au travail, d'autres, apprécient son écoute et se sentent boostées dans leur productivité.
Pourquoi sommes-nous sensibles à la musique ? - Quora. Comme le disait Kant, « la musique est la langue des émotions ». Certaines personnes sont sensibles à la musique et d'autres non. La musique fait ressortir des émotions positives et/ou négatives grâce à la mélodie, aux paroles..
Pour Aristote, la musique présente diverses finalités : le jeu, l'éducation, la vie de loisir (Pol., VIII, 3, 1338a), ainsi que la purification (« catharsis ») (Pol., VIII, 7, 1341b). Ces différentes fonctions semblent être propre à la pensée de la musique du ¨Philosophe.
Elle aide à calmer et à gérer les émotions.
Chanter ainsi que faire de la musique et en écouter favorisent la production d'hormones associées au plaisir, au bien-être et à la confiance. La musique a un effet calmant qui aiderait les tout-petits à gérer leurs émotions.
La musique, langage universel et indispensable au bien-être
Source d'expériences corporelles, sensorielles, sociales car son plaisir peut être partagé avec ses proches, elle marque les étapes de la vie émotionnelle et contribue à l'identité d'une personne.
La musique nous influence toujours
Monson a dit : « La musique peut vous aider à vous rapprocher de votre Père céleste. On peut l'utiliser pour instruire, édifier, inspirer et unir. Toutefois, la musique, par son tempo, son rythme, son intensité et ses paroles, peut émousser votre sensibilité spirituelle.
La pratique d'un instrument permet de développer le lobe frontal et donc le cerveau procédural qui nous permet de nous organiser, de gérer notre temps. Jouer de la musique améliore aussi la motricité, la coordination et la sensibilité.