Les entreprises subissent de plus en plus les conséquences des phénomènes naturels : bris de machines, difficultés d'approvisionnement des fournisseurs voire interruption de leur activité. C'est pourquoi il est indispensable que les industriels améliorent leur résilience face à ces phénomènes.
Une entreprise peut réduire ses émissions de gaz à effet de serre en prenant des mesures telles que l'amélioration de l'efficacité énergétique, l'utilisation de sources d'énergie renouvelables, la réduction des déplacements des employés, la réduction des déchets et la mise en place d'une gestion durable des forêts.
Afin de relever le défi des changements climatiques, les entreprises devront créer des produits et des services à faible émission de carbone, réduire l'empreinte carbone de leur fonctionnement, engager les parties prenantes, les gouvernements et les entreprises le long de leur chaîne d'approvisionnement pour déterminer ...
S'occuper d'environnement dans l'activité de l'entreprise et tout au long de la chaîne de valeur, c'est s'occuper de la performance des entreprises, de leur cadre d'activité, de leurs ressources, etc. Cette interdépendance est à mettre au cœur des stratégies et des politiques RSE des entreprises.
Une entreprise qui pratique la RSE va donc chercher à avoir un impact positif sur la société tout en étant économiquement viable. La norme ISO 26000, standard international, définit le périmètre de la RSE autour de sept thématiques centrales : la gouvernance de l'organisation. les droits de l'homme.
Le premier objectif de la RSE est de rendre systématique la prise en compte des enjeux du développement durable, dans la stratégie des entreprises. C'est donc en cela qu'elle est indispensable : c'est une fonction transverse qui a pour vocation d'outiller les autres équipes.
En effet, qui dit responsabilité sociétale des entreprises dit possibilité d'adopter des pratiques durables et respectueuses de l'environnement ; de réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES), d'encourager l'innovation verte, de promouvoir les énergies renouvelables…
Adaptée et appliquée au contexte des entreprises et des organisations, l'adaptation transformationnelle peut permettre de limiter les risques de dépendance aux énergies fossiles et aux métaux rares, anticipant ainsi les aléas climatiques qui pourraient dégrader leurs produits, services et activités.
L'adaptation est une anticipation des contraintes et des opportunités. Elle peut amener à réfléchir à la vulnérabilité de ses approvisionnements, de sa production et de ses clients au changement climatique et à s'y préparer.
En s'impliquant dans ces démarches, ces entreprises démontrent qu'elles se soucient de l'impact de leurs activités et qu'elles sont disposées à agir en conséquence. Fait non négligeable : la mise en place de normes environnementales permet souvent aux entreprises d'augmenter leur productivité.
optimiser les transports de vos salariés et favoriser le télétravail ; réduire les consommations d'eau et d'énergie ; choisir des partenaires commerciaux en fonction de leurs engagements écologiques ; sensibiliser les employés et les clients par des actions et activités collectives.
L'environnement, dans son ensemble, est source d'opportunités pour l'entreprise avec des effets favorables (création d'emplois, distribution de revenus, gains financiers,…) mais aussi des menaces (concurrence, problèmes politiques,…) et il s'impose à toutes les entreprises.
Selon les sondés, les plus grands défis auxquels ils font face sont les suivants : acquisition de nouveaux clients, planification à long terme, fidélisation de la clientèle, gestion financière et équilibre entre vie professionnelle et vie privée.
En valeur absolue, la Chine reste ainsi de loin le plus important émetteur de gaz à effet de serre. A lui seul, le pays émet plus d'un quart des émissions mondiales de GES. Avec une croissance économique soutenue, le pays a connu une explosion de ces émissions dans les années 2000 (+285 % entre 1990 et 2022).
Réduire les émissions de méthane (hors méthane biogénique) des installations opérées de 50% entre 2020 et 2025 puis de 80% entre 2020 et 2030. Maintenir l'intensité des émissions de méthane en dessous de 0,1% du gaz commercial produit sur les installations gazières opérées.
Les causes de la hausse des émissions
La combustion du charbon, du pétrole et du gaz produit du dioxyde de carbone et du protoxyde d'azote. L'abattage des forêts (déforestation). Les arbres contribuent à réguler le climat en absorbant le dioxyde de carbone (CO2) de l'atmosphère.
Actuellement, les conséquences des changements climatiques sont notamment les suivantes : sécheresses intenses, pénuries d'eau, graves incendies, élévation du niveau de la mer, inondations, fonte des glaces polaires, tempêtes catastrophiques et déclin de la biodiversité.
En parallèle, la RSE contribue au développement durable de plusieurs manières : l'atténuation des impacts environnementaux, la transparence des entreprises/leur responsabilité, l'innovation durable, l'implication des parties prenantes, etc.
La RSE est donc un vecteur de marque employeur. Elle favorise la fierté d'appartenance. La démarche contribue également à l'amélioration des conditions de travail. Intégrer les principes de Responsabilité Sociétale au centre de la stratégie et des pratiques de l'entreprise est donc un gage de pérennité.
Au vu de la définition ci-dessus, nous pouvons voir que la RSE se caractérise par trois piliers : le pilier économique, le pilier environnemental et le pilier social. Ces trois piliers sont interconnectés, ils s'articulent entre eux et ne peuvent fonctionner l'un sans l'autre.
Limiter les émissions de gaz à effet de serre. Limiter la consommation de ressources. Optimiser la production ou le recyclage des déchets. Inciter les salariés à limiter leur empreinte carbone.