Le cotonnier (Gossypium), l'arbre à coton ou "coton pays" est bien l'arbuste touffu ou la plante vivace tropicale, selon les espèces, qui produit ces boules fibreuses qui nous servent pour désinfecter un bobo ou qui peuvent aussi être transformées en matière textile.
La plante dont est issue le coton s'appelle le cotonnier (de son nom savant Gossypium de la famille de Malvacées).
Le fruit du coton (Gossypium sp., de la famille des Malvacées) est une capsule loculicide (fruit sec déhiscent) s'ouvrant par trois à cinq fentes. A maturité, des touffes de coton s'en échappent. Il s'agit des longs poils épidermiques émis par le tégument des graines.
Le coton produit des fleurs blanches ou jaunes à cinq pétales. Le fruit du cotonnier est une capsule aux parois rigides. Quand la capsule s'ouvre en fin de cycle végétatif elle libère les graines et une touffe de fibres de couleur blanche.
Plante. Herbacé ou ligneux, le cotonnier pousse dans les régions tropicales et subtropicales arides. Le cotonnier sauvage (« coton pérenne ») vit une dizaine d'années et peut mesurer jusqu'à dix mètres.
Dans le langage des fleuristes, on appelle fleur de coton la boule de fibres qui se forme sur la branche du cotonnier lorsque la capsule qui se forme après la floraison éclate.
Ces cotonniers sont plus particulièrement cultivés aux États-Unis, en Chine et en Inde, mais également dans bien d'autres pays (Afrique du Sud, Australie, Argentine, Brésil, Mexique, Pakistan, Paraguay, Uruguay …).
Le terroir gersois adapté à la culture du coton
Depuis 2017 qu'ils ont lancé leur production, Yohan, Médéric et Samuel n'ont pas eu besoin d'irriguer leurs champs de coton. Ils n'ont d'ailleurs pas de système d'irrigation.
Nous récoltons pendant l'automne (septembre-octobre dans la plupart des régions américaines) avec des machines à récolter le coton. Ces machines sont habituellement de très gros tracteurs qui détachent les fibres des plantes et récoltent les capsules.
Critères physiologiques. La nomenclature repose sur les fonctions principales assurées par les cellules, et on distingue le plus généralement les tissus protecteurs ou de revêtement, les tissus de soutien, les tissus conducteurs, les tissus sécréteurs.
La feuille est protégée par un épiderme. Celui de la face supérieure est fortement cutinisé et possède peu de stomates, il recouvre le parenchyme palissadique. L'épiderme de la face inférieure présente un nombre important de stomates et recouvre de 1à 5 couches de parenchyme.
Le chanvre est la matière naturelle la plus écologique sur le marché du textile. Elle ne pollue ni lors de sa culture, ni lors de sa transformation en tissu. Comme une mauvaise herbe, le chanvre ne nécessite pas d'irrigation, il résiste aux insectes et aux maladies et se développe très rapidement.
Les principaux pays producteurs de coton sont l'Inde, la Chine et les États-Unis en 2017/2018. Aux États-Unis, les États du Sud récoltent habituellement les plus grandes quantités de coton.
Le coton est une fibre naturelle végétale qui entoure les graines d'un arbuste communément appelé cotonnier. Il est constitué de cellulose pure.
À l'origine le coton est une plante qui vient Inde, mais qui fut cultivée rapidement ailleurs, du moment au le climat et tropical ou subtropical, car la plante a besoin de beaucoup d'eau mais aussi elle craint le froid et le gel. On en retrouve donc sur le continents asiatique, américain et même africain.
Les principaux États producteurs de coton au monde sont la Chine, l'Inde, les États-Unis, le Brésil et le Pakistan.
Option 2 : semez des graines de coton
Recouvrez-les de très peu de sable. Maintenez le substrat humide et placez l'ensemble à une température de 20 à 25 °C de façon à procurer un atmosphère humide et chaude. La levée du semis se fera une dizaine de jours après.
La multiplication du cotonnier se fait par semis sous serre ou mini-serre. Le semis n'est pas difficile et réussit facilement. Utilisez un terreau spécial semis et maintenez la température entre 20°C et 25°C (lire : Semis au chaud). La germination prend 8 à 15 jours.
LE COTON, SOURCE DE POLLUTION
Il demande beaucoup d'eau et d'énergie pour sa production. Le coton est le 3e consommateur mondial d'eau d'irrigation après le riz et le blé. La production d'un seul t-shirt en coton nécessite 2'700 litres d'eau.
Aujourd'hui les principaux producteurs mondiaux de coton sont la Chine, les Etats-Unis, et l'Inde qui représentent à eux trois 80% de la production mondiale de coton. Selon le ICAC (Comité Consultatif International du Coton), nous fabriquons dans le monde autour de 25 millions de tonnes de coton par an.
Cette protection fait que le coton brut n'absorbe pas l'eau : la fibre est hydrophobe. Pour l'industrie textile le coton est donc blanchi car une fibre hydrophobe n'est pas agréable au contact de la peau.
Fibre naturelle les plus utilisées, le coton est aussi essentiel pour laisser la peau respirer. Disposant d'un excellent pouvoir isolant, il est utilisé pour confectionner n'importe quel vêtement : il prévient les irritations et constitue le meilleur choix pour les peaux sensibles.
Les médecins traditionnels africains utilisent ses racines et ses feuilles depuis des millénaires pour traiter les troubles hépatiques, les saignements de nez, la toux et les règles douloureuses. En Asie, il est employé pour soulager les symptômes de la ménopause (bouffées de chaleur, transpiration excessive).