Des études scientifiques prouveraient les bienfaits du vin rouge sur l'organisme : à condition de ne pas dépasser 1 à 2 verres par jour, la boisson contribuerait à prévenir certaines maladies cardio-vasculaires, à renforcer le système immunitaire ou encore à ralentir les symptômes de la maladie d'Alzheimer.
Actuellement, il est conseillé de ne pas dépasser 2 à 3 verres par jour pour les hommes, 1 à 2 verres pour les femmes, et de pratiquer deux jours d'abstinence complète par semaine pour tous.
L'apport calorique de l'alcool est pratiquement équivalent à celui des lipides. Un verre de vin équivaut à une banane (80-90 calories). C'est donc un aspect qu'il faut prendre en compte dans tous les régimes.
La surconsommation de vin, au delà des 1 à 2 verres de vin rouge par jour est responsable d'atteinte du foie, plus ou moins réversible, et pouvant aboutir au décès quand les lésions hépatiques ont fait place au cancer. Les enfants, les femmes et les asiatiques sont plus sensibles aux effets néfastes du vin.
En consommant un verre de vin rouge par jour, on peut considérer qu'il n'y a pas de danger pour la santé, car peu d'alcool consommé et qu'une telle consommation (sans la dépasser) peut être bénéfique pour le cœur.
Le vin s'est avéré moins délétère pour le foie que la bière et les alcools forts. Ainsi, chez les hommes qui buvaient principalement du vin, le risque de cirrhose était 1,2 fois supérieur pour une consommation de 14 à 28 boissons par semaine par rapport à une consommation de moins de 14 boissons par semaine.
Pour être précise: un verre de vin rouge contient un peu plus de 80 Kcal contre environ 130 Kcal pour un demi. Moralité: un verre de vin est un peu moins calorique qu'un verre de bière, mais les deux font grossir. Avec une consommation modérée, l'effet est plus ou moins insignifiant.
Un verre de vin contient au maximum 5 grammes de glucides (contre par exemple entre 13 et 20 grammes pour de la bière) et aurait même des propriétés amincissantes grâce à la substance spéciale appelée « resvératrol ».
En bouteille, en brique ou en grappe, le raisin noir améliorerait l'état de santé des personnes en surpoids en brûlant leurs graisses. C'est la conclusion d'une étude publiée dans le Journal of Nutritional Biochemistry .
Les critères de diagnostic d'alcoolodépendance
Apparition de symptômes de manque (anxiété, agitation, irritabilité, insomnie, sueurs, cauchemars, tremblements, palpitations, nausées, etc.) lorsque la personne diminue ou cesse de consommer des boissons alcoolisées.
Pour limiter les risques pour la santé, les experts ont établi des limites : pas plus de 2 verres par jour pour les femmes et 3 verres pour les hommes, avec au moins un jour dans la semaine sans alcool. Et le week-end si vous êtes invités à une fête, il est conseillé de ne pas aller au-delà de 4 verres.
Les réponses avec le Dr Philippe Batel, addictologue :
Le risque alcool pour un homme, c'est boire plus de 21 verres par semaine. Et pour une femme, plus de 14 verres par semaine à condition qu'elle ne soit pas enceinte. Pendant cette période, on recommande l'abstinence. "C'est un risque pour le santé.
Le vin rouge a des vertus santé que le blanc ou le rosé n'ont pas. On parle souvent des antioxydants qui contribuent à la prévention de certaines maladies cardio-vasculaires.
Pourquoi le vin rouge a-t-il cet effet somnifère ? Les chercheurs pensent que c'est dû aux antioxydants contenus dans le vin. Ces antioxydants peuvent aider à détendre le corps et l'esprit, facilitant ainsi l'endormissement.
Riche en polyphénols, le vin rouge pourrait bien contribuer à repousser les maladies cardiaques. Leur rôle d'antioxydants naturels permet notamment de prévenir des maladies inflammatoires et cardiovasculaires. Le vin rouge contient également de la vitamine E protectrice des tissus des vaisseaux sanguins.
Celle qui cumule le plus de mauvais points est sans aucun doute la bière qui possède un fort index glycémique. Or, le sucre est stocké sous forme de graisses dans l'organisme, d'où l'expression « ventre à bière ». En outre, la bière contient du dioxyde de carbone qui provoque des gaz et des ballonnements.
L'alcool est en effet un puissant vasodilatateur qui agit très rapidement sur les petits vaisseaux du visage. C'est donc l'une des raisons pour lesquelles le rhinophyma est majoritaire (95%) chez les hommes de plus de 50 ans - les hommes consomment plus d'alcool que les femmes.
L'alcool fait prendre du poids pour plusieurs raisons : les calories de l'alcool, un stockage des graisses par l'organisme, un dérèglement de la satiété et de l'appétit. L'alcool fait grossir pour plusieurs raisons. La première est que c'est un produit très calorique. Chaque gramme d'éthanol contient 7 calories.
Il est scientifiquement prouvé qu'arrêter l'alcool permet de perdre du poids. En une seule semaine vous pouvez éliminer de 0.5 kg à 2 kgs. Au bout de quatre semaines, la perte de graisse est plus marquée et on commence à percevoir un vrai changement.
Mettre le foie au repos et de l'aider à évacuer toutes les toxines est alors salutaire. Pour ce grand nettoyage, ayez le réflexe de boire toute la journée de l'eau (Hépar) avec un jus de citron frais. Éviter pendant cette période le café, le sucre, les œufs, les charcuteries, les graisses et surtout l'alcool.
Comme toutes les boissons alcoolisées, le vin blanc est calorique et fait donc grossir s'il n'est pas consommé de manière raisonnable et occasionnelle. Il est de notoriété publique cependant que l'alcool qui ferait le moins grossir serait le cidre.
Entre 24 et 72 heures sans alcool
Votre corps se met en mode détox intensive et essaie d'évacuer tout l'alcool qu'il a absorbé. En plus des frissons et des nausées, vous ressentez une fatigue profonde et avez l'impression que plus jamais vous ne vous sentirez bien.
Les fruits rouges, comme le cassis, la myrtille ou la fraise, sont particulièrement riches en vitamine C. "Ils seraient bénéfiques pour améliorer la santé du foie et agir contre l'oxydation des cellules, notamment celles du foie", indique le Professeur.
Soucis de digestion, fatigue, troubles du sommeil, problèmes respiratoires et augmentation de la taille du foie sont des symptômes qui apparaissent très souvent quand on souffre d'un foie engorgé, en plus de la prise de poids.