Les antidouleurs naturels - Grande camomille, menthe, millepertuis ... - Plantes et Santé
Parmi les antidouleurs naturels les plus populaires en France, on retrouve l'arnica, le curcuma, le gingembre et la lavande. Ces plantes sont connues pour leurs propriétés anti-inflammatoires et analgésiques.
L'huile essentielle de Gaulthérie
Si on devait choisir l'huile essentielle anti-inflammatoire par excellence, celle de gaulthérie serait en haut du podium. En effet, sa composition est très riche en salicylate de méthyle reconnu pour ses propriétés anti-inflammatoires et antalgiques.
Action anti-douleur
On peut notamment citer la reine-des-prés, le saule blanc, le pavot de Californie, la camomille, le curcuma, le gingembre ou la lavande. Voici le type de douleurs qu'elles peuvent en particulier apaiser : musculaire, articulaire, viscérale (ou abdominale), nerveuse.
Pour remplacer le tramadol, il est recommandé de rester au sein du pallier 2 dont il fait partie. Le médecin peut alors prescrire du paracétamol associé à la codéine, à de la caféine, ou à la caféine et à l'opium. Une association d'aspirine, de codéine et d'opium existe également.
Le tramadol est offert en comprimés à avaler. rapide régulièrement depuis au moins 2 ou 3 semaines, ne l'arrêtez pas du jour au lendemain. Sinon, vous pourriez subir un sevrage (envie de vomir, vomissements, tremblements, frissons, etc. ). Ce médicament doit être arrêté petit à petit.
Des symptômes de sevrage, analogues à ceux notés lors d'un sevrage aux opiacés, peuvent survenir tels que agitation, anxiété, nervosité, insomnie, hyperkinésie, tremblements et symptômes gastro-intestinaux.
Le Curcuma : une des plantes anti-inflammatoires les plus puissantes.
La curcumine possède la base de preuves la plus substantielle pour ses effets anti-inflammatoires par rapport à d’autres remèdes à base de plantes. Le curcuma est disponible sous forme de gélules, comprimés, thés, pâtes et extraits. Les méthodes de prise de curcuma varient en fonction de l’utilisation prévue.
La camomille, une fleur sédative et apaisante. Agissant favorablement sur le système nerveux, cette fleur aux belles fleurs jaunes et blanches est connue pour contribuer à une relaxation optimale.
Un bain à l'eau tiède, les compresses chaudes et les bouillottes contribuent à apaiser les douleurs et spasmes musculaires et la raideur articulaire. Demandez au médecin de vous fournir des directives sur l'utilisation de la chaleur. N'appliquez pas de chaleur sur les nouvelles blessures ou plaies chirurgicales.
Huiles essentielles de gaulthérie et de menthe
En réduisant l'inflammation, elle diminue la douleur. Ajoutez ensuite quelques gouttes d'huile essentielle de menthe poivrée, qui a des propriétés anesthésiante et rafraichissante. Cette sensation de fraîcheur va bloquer la transmission de la douleur.
Comme toutes les huiles essentielles, l'huile essentielle de gaulthérie est contre indiquée aux enfants de moins de 7 ans, aux femmes enceintes ou allaitantes ainsi qu'en cas de problèmes rénaux ou hépatiques, d'antécédents convulsifs ou convulsions hyperthermiques, de pathologies cardiovasculaires ou chez les ...
Les endorphines sont les analgésiques naturels du corps . Les endorphines sont libérées par l'hypothalamus et l'hypophyse en réponse à la douleur ou au stress. Ce groupe d'hormones peptidiques soulage la douleur et crée une sensation générale de bien-être.
Tramadol . Le tramadol est un puissant analgésique apparenté à la morphine qui peut être utilisé pour traiter les douleurs neuropathiques qui ne répondent pas aux autres traitements qu'un médecin généraliste peut prescrire. Comme tous les opioïdes, le tramadol peut créer une dépendance s'il est pris pendant une longue période. Il ne sera généralement prescrit que pour une courte période.
La bruyère est un autre plante anti-inflammatoire à privilégier en cas de cystite. Grâce à ses propriétés apaisante et anti-infectieuse, elle aide à soulager l'infection. Pendant les crises, on l'utilise plutôt en extrait liquide ou sec, conditionné en gélules. En prévention, on la préfère en tisane.
Lait d'or ou curcuma latte : une boisson anti-inflammatoire
Enrichir éventuellement la boisson avec 1 cuillère à café d'huile de coco et/ou de miel. Chauffer et couper le feu quand la préparation frémit. A boire chaude ou tiède.
Que puis-je prendre quotidiennement pour réduire l’inflammation ? Les suppléments quotidiens, notamment l'huile de poisson oméga-3, la curcumine, le zinc, l'extrait de thé vert et la S-adénosylméthionine , peuvent tous aider à réduire l'inflammation. Parlez toujours avec un professionnel de la santé avant de prendre de nouveaux suppléments pour vérifier les interactions possibles.
Pour les anti-inflammatoires sans ordonnance en vente libre, la substance active la plus utilisée est l'ibuprofène. Elle permet de bloquer la formation des prostaglandines, substances responsables de l'inflammation.
Surnommé la "griffe du diable", l'harpagophytum est l'une des plantes les plus prescrites contre l'inflammation et les articulations douloureuses, notamment en cas d'arthrose.
Ingrédients : 45 ml d'huile d'olive vierge bio (soit 41 g ou 3 cuillers à soupe rases), 10 g de granulés de cire d'abeille (soit 5 cuillers à café rases). Réalisation : travailler avec du matériel très propre. Verser les ingrédients dans un bol et placer celui-ci au bain-marie dans une casserole d'eau frémissante.
Un traitement symptomatique peut être proposé en cas de signe de sevrage, comme le paracétamol ou le phloroglucinol. La prise en charge non médicamenteuse est privilégiée, avec des traitements pour améliorer le confort, comme la relaxation, les bains chauds quand il y a des douleurs musculaires, l'hypnose.
Si vous ressentez le besoin d'augmenter les doses ou la fréquence des prises, consultez à nouveau votre médecin. L'usage du tramadol ne doit pas être banalisé. Cet opioïde puissant peut avoir des effets indésirables graves. Il est contre-indiqué dans plusieurs cas (insuffisance respiratoire ou rénale, épilepsie, etc.).
Une option est une diminution progressive des doses de tramadol, par paliers d'environ 5 à 10 % toutes les 1 à 4 semaines. Les patients peuvent adapter le calendrier de sevrage : soit en réduisant moins les doses quotidiennes, soit en allongeant la durée des paliers.