En stimulant l'activité de certaines enzymes, la racine de Kudzu permet de lutter contre le stress oxydatif produit par la consommation de cigarettes et d'alcool et ainsi, limite leurs effets néfastes.
La passiflore, plante originaire du Mexique et d'Amérique du Sud, peut être aussi utilisée en tisane pour ses vertus sédatives et apaisantes car elle est considérée comme un anxiolytique naturel.
L'asaret est généralement utilisé comme émétique (qui provoque des vomissements). Grâce à son odeur nauséabonde d'éthanol, il donne une sensation de dégout de l'alcool. L'asaret provoque non seulement des nausées en contact avec l'alcool, mais comme les autres remèdes de grand-mère.
Ainsi, une personne est considérée alcoolique lorsqu'elle consomme de façon régulière, voire journalière : plus de 3 verres par jour si c'est un homme ; plus de 2 verres par jour si c'est une femme.
Tenter de quitter l'alcool pour céder à la pression mise par sa conjointe, ses enfants ou ses collègues est voué à l'échec. La guérison démarre le jour où l'on se dit “cette fois, c'est terminé, ce verre c'était le dernier –à vie”. On appelle cela “le déclic”.
Depuis février 2013, le nalméfène (Selincro®) dispose d'une autorisation européenne de mise sur le marché pour le traitement de la dépendance à l'alcool. Il est remboursé par la Sécurité sociale depuis septembre 2014. Ce médicament agit sur le système de récompense en diminuant l'envie irrépressible de boire.
L'alcoolisme se lit sur le visage d'une femme. Son nez ou ses joues peuvent devenir rouges ou bouffis. L'haleine commence à trahir l'addiction et les cheveux deviennent ternes.
Le kudzu ne présente aucun danger aux doses recommandées.
Des études scientifiques ont démontré que l'administration d'extrait de racine de Kudzu entraîne une diminution significative de la consommation d'alcool chez l'Homme. La daidzine serait le composé actif responsable de cet effet inhibiteur. De plus, cette plante modère les effets de manque éprouvé pendant le sevrage.
N'hésitez pas à lui exprimer votre soutien, vos sentiments, de lui montrer qu'il peut être en confiance pour aborder pleinement les problèmes de fond. Sachez que vous pouvez aussi nous contacter par téléphone.
Malheureusement, l'envie de boire ne disparaitra sans doute jamais complètement, Cela dit, elle s'atténuera avec le temps, déja au bout d'une semaine tu devrais te sentir mieux, Il faut prendre plaisir à accomplir cette décision, car elle en vaut la peine, tu en vaut la peine.
Chez les alcooliques la surconsommation d'alcool entraine une carence importante vitamines B1 et B6 très utilisées par le foie. Il est conseillé d'apporter ces vitamines en cas de fortes consommations d'alcool, pour limiter l'impact de l'alcool sur les circuits neuronaux et pour le soutien du foie.
L'administration de vitamine B-1 peut être très importante. C'est en effet la carence en vitamine B-1 (due à la consommation excessive d'alcool elle-même et à la négligence en matière d'alimentation) qui joue un rôle de grande importance dans l'apparition de troubles du système nerveux et de la mémoire.
Le sevrage alcoolique se manifeste comme un continuum, allant de tremblements à des crises convulsives, des hallucinations et à une instabilité végétative mettant en jeu le pronostic vital en cas de sevrage sévère (delirium tremens).
Selon un rapport de l'OCDE, la consommation excessive d'alcool fait perdre 1 an d'espérance de vie en moyenne, en raison des maladies et accidents qu'elle cause.
La raison est très simple : on retrouve du gaz carbonique dans la bière, car il s'agit d'une boisson gazeuse. Lorsque l'on boit une bière, on peut d'ailleurs constater que notre ventre a tendance à se gonfler, car ce gaz carbonique va distendre l'estomac et donc créer ce ventre à bière, mais d'abord temporairement.
L'alcoolorexie n'étant pas médicalement reconnue, les symptômes de cette pathologie ne sont pas clairement définis. Elle se manifeste donc par le fait de sauter des repas pour pouvoir boire de l'alcool et réduire ainsi le nombre de calories ingérées.
Les symptômes de sevrage les plus connus sont : tremblements, transpiration, anxiété et nervosité, angoisse, sentiment de «malaise», insomnie, nausées et vomissements. Ces symptômes ne sont pas dangereux en soi et disparaissent habituellement au bout de 7 à 10 jours d'abstinence.
Les critères de diagnostic d'alcoolodépendance
Apparition de symptômes de manque (anxiété, agitation, irritabilité, insomnie, sueurs, cauchemars, tremblements, palpitations, nausées, etc.) lorsque la personne diminue ou cesse de consommer des boissons alcoolisées.
Passez en revue vos habitudes et modifiez celles qui vous incitent à boire de l'alcool. Privilégiez les activités où vous n'allez pas être tenté de boire. Retardez le premier verre en commençant par des boissons non alcoolisées. N'oubliez pas de boire régulièrement de l'eau et de manger pendant vos soirées.