"Quand le prurit est dû à une irritation mécanique, on peut appliquer une crème apaisante comme la pommade LHF Calendula qui est encore remboursée, une crème cicatrisante telle que Cicalfate, ou encore toute gamme à base de vitamine E.
Les bons réflexes en cas d'irritation de la vulve :
Evitez de trop exposer votre zone intime à l'eau calcaire du robinet : évitez les bains, rafraîchissez et apaisez plutôt la zone avec un pschitt d'eau florale.
L'irritation de la vulve peut être due à une mycose à candida, une infection ou une maladie dermatologique. " Elle peut aussi être liée au stress, à une fatigue importante ou à un excès d'hygiène intime ", précise le Dr. Christelle Besnard-Charvet, gynécologue.
L'application de crèmes cicatrisantes, de type Bépanthène®, favorise la cicatrisation et doit être réalisée une à plusieurs fois par jour sur une peau propre. Si une mycose en est responsable, un antifongique permettra de se débarrasser du champignon en cause.
En position couchée sur le dos les genoux repliés, insérez l'applicateur rempli de crème dans le vagin aussi profondément que possible sans que cela vous cause d'inconfort. Poussez le piston pour libérer la crème. Retirez l'applicateur. Un peu de crème pourra être appliqué au niveau de la vulve.
Tout comme la mycose vaginale, la mycose vulvo-vaginale se caractérise par des démangeaisons avec parfois des brûlures au niveau de la vulve. Des rougeurs et un oedème sont alors visibles, et des pertes blanches et épaisses s'écoulent du vagin.
Privilégiez les soins apaisants et hydratants, et les démaquillants sans rinçage, comme les eaux micellaires. Votre routine doit nécessairement intégrer un soin hydratant afin de réparer la barrière cutanée. Une peau bien hydratée se protège mieux des agressions et des irritations liées au dessèchement.
L'huile d'onagre est l'une des huiles qui a le plus démontré son efficacité face aux inconforts vulvaires. Elle s'utilise en application interne (gélule, ovule) et en application locale.
La vulvite est définie comme une inflammation de la vulve qui comprend les petites et les grandes lèvres à l'entrée du vagin et constitue la partie visible de l'appareil génital féminin. Elle entraîne très souvent une sensation de brûlure ou de démangeaison qui peut être très inconfortable.
Sur leszones pileuses, où la peau est plus épaisse, on proposera des dermo-corticoïdes forts ou très forts. Comme c'est le cas au cours d'autres maladies inflammatoires vulvaires, tel que le lichen scléreux, on peut utiliser les dermo-corticoïdes de façon prolongée avec une bonne tolérance locale.
Comment utiliser l'huile de coco comme lubrifiant ? Et bien, comme un lubrifiant classique ! Prélevez une noisette d'huile de noix de coco et appliquez la sur votre vulve et votre vagin. Votre partenaire peut également s'en appliquer pour encore plus de facilité dans le rapport.
Huile de coco, huile d'amande douce : lesquelles choisir ? « Miraculeuse », l'huile de coco a des vertues anti fongiques, et laisse un voile protecteur sur la peau. Elle peut être utilisée aussi bien comme un lubrifiant, ou pour venir à bout d'un inconfort vulvaire ponctuel, ou d'une mycose.
Mode d'emploi. Une toilette vulvaire avec une compresse imprégnée d'huile de coco 2 fois par jour ou un produit de toilette spécifiquement formulé, adapté à ce pH acide, pour les femmes les plus vulnérables et en prévention, en cas de prise d'antibiotiques notamment.
Pour les soins quotidiens des peaux sèches sujettes aux démangeaisons, nous vous recommandons la Crème relipidante Xeracalm A.D. Cet émollient agit sur la sécheresse et restaure la barrière cutanée de tout le corps.
Ainsi, l'application d'une crème est conseillée pour soulager les désordres externes (au niveau du vagin et des lèvres) et l'application de capsule ou d'ovules vaginaux complètent l'effet en interne en étant appliqué au fond du vagin.
des démangeaisons non calmées et qui durent. une modification de l'apparence d'une partie de la vulve (changement de couleur, épaississement de la peau…) une masse d'apparition plus ou moins récente. des douleurs ou picotements non calmés par la prise de médicaments ou qui s'intensifient.
Si les démangeaisons ont déjà été évoquées comme symptôme possible d'un lymphome de Hodgkin, le cas de Jade Baldwin montre toutefois qu'un patient qui souffre de démangeaisons, notamment au niveau des jambes, peut être atteint de ce cancer, et ce même si ses ganglions présentent une taille normale.
Parmi les plus fréquentes, la sécheresse de la peau, l'urticaire, certaines formes d'eczéma, les piqûres d'insecte, la gale, les mycoses, le psoriasis, certaines maladies du foie ou des reins, etc.