Les hommes fument plus que les femmes
Au niveau des pays, la proportion d'hommes qui fumaient quotidiennement variait entre un minimum de 5,9 % en Suède et un maximum de 37,6 % en Bulgarie. Chez les femmes, cette proportion variait entre 6,8% en Suède et 20,7% en Bulgarie.
Les classes sociales défavorisées fument beaucoup plus que les populations plus aisées. On peut y voir plusieurs facteurs liés entre eux : premièrement, l'expérimentation et l'initiation au tabac commencent bien plus tôt chez les catégories défavorisées. A 17 ans, 25 % de la population française fume quotidiennement.
Au sein de la population masculine, les Indonésiens sont les plus gros fumeurs (76%), suivis des Jordaniens (70%), des Chinois (47%) et enfin des Russes (59%). Selon l'OMS, plus de 5 millions de personnes meurent chaque année du tabac (1,5 million de femmes).
Le pourcentage de gens qui fument passe de 9 % pour les 12-14 ans à 41 % pour les 15-19 ans et atteint un maximum de 48 % chez les 20-25 ans. Les jeunes : Les jeunes de 12 à 25 ans qui fument régulièrement consomment en moyenne 10 cigarettes par jour.
oui. Le pays est le 10ème où l'on fumait le plus au monde en 2018, selon l'OMS, et ses voisins se classent bien derrière, comme l'Espagne, à la 21ème place. Si l'on compare précisément ces deux pays, 25,5 % de la majeure partie de la population française fume quotidiennement, contre 22 % en Espagne, la même année.
Prévalence du tabagisme en 2020 et évolution par rapport à 2019. En 2020, 31,8% des personnes âgées de 18 à 75 ans ont déclaré fumer du tabac : 36,2% des hommes et 27,7% des femmes (p<0,001). La prévalence du tabagisme quotidien s'élevait à 25,5%, soit 29,1% parmi les hommes et 22,0% parmi les femmes (p<0,001).
Les pays où l'on fume (au moins une fois de temps en temps) le plus sont la Grèce (37 %), la Bulgarie (36 %), la France (36 %) et la Croatie (35 %). Alors que la proportion de fumeurs n'atteint que 7 % en Suède et 17 % au Royaume-Uni.
ACHKHABAD - Le Turkménistan, ex-république soviétique d'Asie centrale, est le pays où l'on fume le moins dans le monde, a annoncé mardi la directrice générale de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), Margaret Chan.
La pauvreté : un milieu propice au tabagisme
« L'indice de défavorisation sociale et matérielle de l'endroit où l'on habite influence la probabilité qu'on fume, en plus des facteurs individuels, comme notre sexe, notre âge, notre revenu ou notre scolarité », explique Benoit Lasnier, co-auteur de l'étude.
La question de savoir pourquoi les gens fument est posée depuis de nombreuses années. Une réponse évidente et simple est qu'ils fument pour se procurer de la nicotine.
En France, le taux de fumeurs chez les non diplômés s'élève à 32 % contre 17, 7 % chez les diplômés (chiffres de 2019). Ainsi, on peut conclure que plus on est pauvre et non diplômé, plus on fume : c'est pourquoi on peut voir la cigarette comme lien social.
Selon les fumeurs, l'argument qui revient le plus souvent est que la cigarette les aide à gérer leur stress. "Pour fumer, on trouve des raisons sans arrêt : une embrouille avec sa copine, le travail, les ennuis… qui font qu'on se réfugie bêtement vers un substitut", estiment des fumeurs interrogés par Europe 1.
Les médecins généralistes semblent s'appliquer à eux-mêmes les conseils qu'ils donnent aux autres: ils fument de moins en moins et ne sont plus que 16% à le faire, contre 34,5% de la population, selon des chiffres publiés mercredi par l'agence sanitaire Santé publique France.
Selon les autorités scientifiques, un gros fumeur est une personne fumant plus de 25 cigarettes par jour. Les gros fumeurs constituent 26,7 % des fumeurs de cigarettes.
La quantité de cigarettes fumées augmente rapidement au cours de l'adolescence : la moitié des fumeurs de 12 à 15 ans sont des fumeurs réguliers ; à 16-17 ans, ils sont 71 %, et à partir de 18 ans, c'est 85 % des fumeurs qui sont des fumeurs quotidiens.
Mais c'est Paca qui décroche la palme de la région la plus accro, avec plus de 32% de fumeurs – soit quasiment un tiers de la population adulte.
Résultats - En 2020, plus de trois adultes de 18-75 ans sur dix déclaraient fumer (31,8%) et un quart déclaraient fumer quotidiennement (25,5%). Pour l'ensemble de la période couverte en 2020, la prévalence du tabagisme et du tabagisme quotidien ne varie pas significativement par rapport à 2019.
1. L'Islande. Au dernier recensement, sur 323 000 habitants (y compris les gamins pas encore en âge de rouler), 60 000 fumeraient régulièrement du cannabis, soit 18,3 % des Islandais.
Les trois pays les plus consommateurs sont dans l'ordre : Espagne, Royaume-Uni, République tchèque . - 22,5 millions (15-64 ans) en ont consommé au moins une fois durant les 12 derniers mois, soit 7% de la population totale des 15-64 ans.
Tabagisme actuel
Un pourcentage plus élevé d'hommes (17 % ou 2,5 millions) que de femmes (13 % ou 2,1 millions) a déclaré être actuellement un fumeur. Onze pour cent (11 % ou 3,3 millions) des Canadiens ont indiqué fumer quotidiennement, tandis que 4 % (1,3 million) ont déclaré fumer occasionnellement.
Même s'il est relativement moins élevé que chez les hommes, il concerne aujourd'hui une proportion importante de la population des femmes et des jeunes filles dans le pays. On estime que parmi les 18-75 ans, plus d'une femme sur 5 qui fume quotidiennement, et près de 6% sont des consommatrices occasionnelles.
Selon l'analyse de Santé publique France, les fumeurs sont majoritairement des hommes (53,8%), âgés de moins de 54 ans. Les fumeurs sont plus souvent dans des situations sociales difficiles. 13,6% d'entre eux sont au chômage, soit deux fois plus que les non-fumeurs (7,3%).
La proportion de personnes en 2019 qui fumaient tous les jours ou à l'occasion était plus élevée chez les hommes (17,3 %) que chez les femmes (12,3 %). Parmi tous les groupes d'âge, c'est celui des jeunes âgés de 12 à 17 ans qui comptait le moins de fumeurs (2,5 %, graphique 2).