Dans bien des cas, on peut appliquer un rapport de 10 à 1 pour déterminer l'équivalent en eau. En d'autres mots, 1 cm de neige, une fois fondu, serait équivalent à 1 mm d'eau. Toutefois, ce rapport d'équivalent en eau de 10 à 1 n'est pas exact.
Le volume de cette gouttelette est de 3/4pi r^3 donc 4/3 x 3.14 x (0.5)^3 = 1.69 mm3 (soit 1.69x10-9 m3). Avec une densité de 1 kg/m3 de l'eau, on obtiendrait donc 1.69x10-6 g pour un flocon. Le taux de chute de flocons se convertirait donc en masse de neige de 4.2x10-4 g / m2/ s.
Le poids des masses neigeuses peut fortement différer, selon sa consistance. Alors qu'une nouvelle neige fraîche et poudreuse pèse entre 30 et 50 kg par mètre cube, la neige résiduelle mouillée peut peser jusqu'à dix fois plus. Les structures de toitures peuvent être enfoncées et le toit se déformer.
Une couche de neige fraîche a généralement une faible masse volumique (50 à 150 kg/m3). Cela est dû au fait qu'elle contient beaucoup d'air : de l'ordre de 90 % de son volume.
La pluie est polydisperse : la taille des gouttes varie du dixième de millimètres à quelques millimètres (en moyenne 1 à 2 mm ). Aucune goutte ne dépasse 3 mm , au-delà elles se pulvérisent.
La nuit, le sol se refroidit, l'air se stabilise dans les couches inférieures et l'activité orageuse cesse. L'été, la fréquence des orages est plus importante, car la différence de température entre le jour et la nuit est plus élevée.
Une pluie continue gardera une intensité constante généralement faible ou modérée. Les averses sont plus instables et souvent plus intenses.
Lorsque la température est douce, le niveau d'humidité est plus élevé, ce qui produit de la neige mouillée. Alors les bords des flocons de neige fondent, et c'est pourquoi ils s'agglutinent ensemble, créant de gros flocons lourds (lourd est relatif lorsqu'on parle de flocons de neige).
La neige est aussi le dépôt des précipitations sur le sol ou sur un obstacle avant le sol (un toit, un arbre...) : c'est le manteau neigeux. Elle est donc toujours constituée d'un mélange de glace et d'air, avec parfois (si sa température est proche de 0 °C ) de l'eau liquide.
De 25 à 30 cm (10 à 12 po) de neige fraîche équivaut à 2,5 cm (1 po) d'eau ou environ 2,3 kg (5 livres) par pied carré de toiture. Vous pouvez donc avoir une charge de neige maximale de 1,2 m (4 pi) avant que la toiture ne subisse un stress structural.
Reconnaître les signes pour savoir quand déneiger votre toit
En période critique, il faut donc être attentif aux signes avant-coureurs que constituent notamment les craquements inhabituels, la déformation d'un plafond, l'apparition de fissures et le frottement des portes.
L'unité utilisée est le millimètre de précipitation par mètre carré. En supposant une répartition homogène des précipitations sur cette surface, 1 millimètre de pluie représente 1 litre d'eau par mètre carré.
Nous en avons déduit que la neige, c'est de l'eau gelée. Les gouttes de pluie, quand il fait froid, forment des flocons (solides). La neige fond sous l'effet de la chaleur et se transforme en eau (liquide).
La neige se forme à l'air libre et les cristaux peuvent se développer sans contrainte spatiale. Au contraire, dans la glace les cristaux se gênent très vite (une compliquée histoire d'énergie interfaciale de surface comme dans les minéraux) et induisent une structure solide assez uniforme - au moins à l'oeil nu.
S'il fait +4°C et que le point de rosée est bien au-dessus de 0°C, la neige fond à une vitesse effarante ! S'il fait +4°C, mais que le point de rosée est à -8°C, la neige ne fond presque pas dans ces conditions, malgré les +4°C et le soleil probablement présent !
La neige appétissante, vraiment ? Malgré son apparence parfaitement propre, la neige blanche peut être contaminée de particules de pollution et de substances dangereuses pour la santé. De plus, la concentration de particules nocives s'intensifie, et ce, dès que la neige touche le sol.
La véritable poudreuse reste la neige la plus recherchée. Et pour cause, elle procure les meilleures sensations et c'est à elle que se réfère notre imaginaire à l'évocation de l'hiver. La conduite des skis y est différente car ce type de neige oblige à skier en appui permanent et uniforme sur les deux skis.
La méthode consiste à marquer fortement l'appui pendant la phase initiale du virage grâce à une flexion-extension prononcée. L'angle de prise de carre ne doit pas être trop important sous peine de faire déraper le ski, mais suffisant pour assurer l'accroche.
« À des températures vraiment basses, comme -40 degrés Fahrenheit et Celsius (le point auquel les échelles de température sont les mêmes ), il y a si peu d'humidité dans l'air qu'il devient extrêmement improbable que de la neige se forme. L'air est si froid qu'il est peu probable qu'il monte.
Il s'agit de précipitations solides qui tombent d'un nuage et atteignent le sol lorsque la température de l'air est négative ou voisine de 0 °C.
Précipitation subite, souvent de courte durée mais tombant avec abondance, sous forme de pluie, de grêle ou de neige.
1. La pluie. Le bruit de la pluie est un grand classique des CD de relaxation. La sensation de bien-être procuré par le son de la pluie sur un toit vient du sentiment de sécurité induit par le fait d'être à l'abri de celle-ci et bien au chaud.
Sa température ne varie pratiquement pas à l'échelle de la journée. Au final, les conditions pour un fort refroidissement nocturne (absence de vent, nuit claire, faible humidité et faible inertie thermique) ne sont quasiment jamais réunies.
La chute de température nocturne s'explique par deux principaux facteurs : la capacité calorifique du sable et les nuages. Le sable est composé de silicates qui conservent particulièrement mal la chaleur accumulée dans la journée.
Le must reste de faire fondre une neige bien propre, sans déchet, avec un réchaud à plus de 80°. Il est important que l'eau de la neige soit bouillie. 2. Pour reminéraliser la neige, ajoutez-y une pincée de sel, de la soupe, du thé ou autres.