Une portion de 80 g de patates douces, ou une pomme de terre moyenne, compte pour l'un de vos cinq repas par jour, contrairement à la pomme de terre blanche, qui n'en compte pas autant.
Riche en béta-carotène, à l'origine de la vitamine A, la patate douce participe à la prévention de certains cancers, elle permet une meilleure protection contre les infections, une bonne vision nocturne et un ralentissement du déclin cognitif.
Sa composition en glucides (comprenez les sucres principalement lents) est d'environ 12g pour 100g d'aliment, ce qui est nettement inférieur à la majorité des féculents (entre 20 et 30g aux 100 g) ! Eh bien oui, cet aliment est à considérer comme un féculent.
Peu calorique, la patate douce contient une quantité élevée d'antioxydants, de vitamine A et de minéraux.
Poids : est-ce que la patate douce fait grossir ? La réponse est non. La patate douce favorise le contrôle du poids. Ses fibres, son index glycémique modéré et son apport calorique raisonnable permettent de ressentir rapidement un sentiment de satiété, ce qui limite les risques de grignotages.
Les signes d'une patate douce non comestible sont facilement reconnaissables : chair molle, suintement, odeur désagréable, goût amer... Si vous observez un de ces signes, votre patate douce ne pourra donc plus être cuisinée.
Nous ne tiendrons compte dans cette analyse que des valeurs significativement différentes et intéressantes d'un point de vu nutritionnel. Calories : Avec environ 30kCal de différence pour 100g, la patate douce est nettement moins calorique que la pomme de terre.
De manière générale, la patate douce se marie bien avec les légumes tels, les pommes de terre, les légumes racine (carottes, panais…), le céleri, les poireaux, les oignons, l'ail, les courges (patidou, potimarron, butternut, buttercup…), les choux de Bruxelles, les haricots…
Elles contiennent aussi des sucres naturels comme les fruits et légumes mais la patate douce en compte un peu plus, ce qui explique son gout plus sucré. D'un point de vue de fibres alimentaires, là aussi la patate douce en possède davantage, même si la pomme de terre en a également surtout si vous la garder la peau…
Les patates douces : un choix nutritif
Les caroténoïdes sont des phytonutriments qui pourraient contribuer à réduire le risque de maladies oculaires, de certains types de cancer et de maladies du cœur.
Mais la période de consommation optimale est généralement en automne et hiver soit d'octobre à mars. Les plus grands producteurs de patate douce sont la Chine, l'Indonésie, le Vietnam et l'Inde.
Elle vous offre également une dose de vitamine C, de potassium et de fibres. En comparaison, la pomme de terre apporte une bonne dose de vitamine C, de vitamine B6 et de potassium, mais elle perd face à la patate douce en termes de vitamine A.
La patate douce est riche en fibres alimentaires, ce qui peut favoriser la santé digestive en régulant le transit intestinal. Les fibres aident également à maintenir un taux de sucre sanguin stable.
La patate douce contient des antioxydants qui limitent l'hypertension et l'oxydation du mauvais cholestérol.
Des résultats intéressants suggèrent qu'une consommation modérée de patate douce et de feuilles de patate douce peut améliorer la régulation de la glycémie dans le diabète de type 2.
Alors que la pomme de terre est une bonne source de vitamine C, la patate douce est riche en bêta-carotène, d'où la couleur typiquement orange de sa chair. Le bêta-carotène est transformé en vitamine A dans l'organisme.
La patate douce est source de potassium (système nerveux, fonction musculaire, pression sanguine). Elle contient aussi: de la vitamine C (vitamine multifonctionnelle : système nerveux, peau, métabolisme énergétique, immunité…) de la vitamine B6 (métabolisme énergétique, système nerveux)
On la prépare comme les pommes de terre car sa chair est farineuse. Elle est délicieuse en soupe ou en purée. On peut même la préparer en dessert grâce à son goût sucré. Sa saveur se rapproche de la châtaigne et de la carotte.
Au four, entre 45 et 50 minutes à 180°/th. 6, ouverte en deux, en quadrillant préalablement la chair. A l'eau bouillante, elle cuit en 20 minutes avec 1 gramme de gros sel pour 90 grammes de patate douce. Dans une poêle, elle dore en 15 minutes dans un peu d'huile et peut être aromatisée avec du basilic.
Le tubercule a besoin de soleil et de chaleur pour se développer. Les variétés d'ornement supportent, toutefois, des expositions semi-ombragées. Les variétés à consommer sont plantées tous les 30 cm, sur des rangs distants de 90 cm. Un buttage des pieds est effectué dès que les tiges sont assez longues.
Comment les conserver
Les patates douces sont sensibles au froid et ne doivent pas être conservées au réfrigérateur, au risque de durcir leur coeur. Il est recommandé de les conserver dans un endroit sec et frais à environ 54 °F (12 °C).
Probablement originaire d'Amérique centrale, la patate douce est un légume chargé de mystères. Régulièrement confondue avec la pomme de terre, elle ne lui ressemble pourtant pas tant que ça. Mystérieux tubercule, la patate douce nous cache encore ses origines.
Elles participent au maintien d'un transit optimal en facilitant la progression du bol alimentaire dans le système digestif. Pour les personnes souffrant de troubles digestifs tels que les gaz ou les ballonnements, il est conseillé d'intégrer la patate douce dans son alimentation.
Le poids moyen des patates douces est très proche pour les 3 densités, avec une moyenne de 200 g ; les tubercules présentent une forte disparité de poids (de 80 g à 1200 g pour les tubercules commercialisables), mais aussi de forme et de couleur, comme le montrent les photos ci dessous.