« Comment ça va ? » est la première question que le·la neurologue nous pose lors d'une consultation. C'est une question essentielle à se poser quand on va voir le·la neurologue : si on ne lui raconte pas notre état, comment peut-il·elle le deviner et comment peut-il·elle nous venir en aide ?
Comment se déroule la consultation ? Comme tous les médecins, le neurologue débute sa consultation en interrogeant le malade sur les symptômes qui amènent à la consultation et sur ses antécédents personnels et familiaux. Le patient doit être en mesure de lui décrire les troubles rencontrés et les médicaments pris.
L'électromyogramme, encore appelé électroneuromyogramme, électronographie, ENMG ou EMG, a pour objectif d'analyser l'influx nerveux dans les nerfs moteurs, les nerfs sensitifs et les muscles. Examen clef en neurologie, il permet d'évaluer le fonctionnement des nerfs et des muscles.
Divers symptômes peuvent amener à consulter un neurologue : maux de tête aigus ou chroniques, fourmillements, diminution de la motricité ou de la sensibilité, troubles de la mémoire…
Les neurologues sont donc généralement sur-spécialisés dans un domaine précis : troubles cognitifs, troubles du sommeil, troubles du langage, migraine, épilepsie, neuro-vasculaire, neuro-ophtalmologie, neuro-psychiatrie…
En règle générale, ces affections se caractérisent par la présence de plusieurs des symptômes suivants : Maux de tête. Troubles moteurs. Tremblements.
Faiblesse musculaire, maux de tête, troubles du sommeil, dérèglement des sens, tremblements, mauvaise coordination… Dès l'apparition des premiers symptômes, prenez rendez-vous chez votre médecin traitant qui saura interpréter les signaux d'alerte et vous orienter vers un neurologue si votre état le nécessite.
Le syndrome de Guillain-Barré est une affection rare dans laquelle le système immunitaire du patient attaque les nerfs périphériques. Bien qu'elle puisse toucher les personnes de tout âge, cette maladie est plus fréquente à l'âge adulte et chez les sujets de sexe masculin.
Ce type de traitement invasif ne peut être envisagé que par une équipe pluridisciplinaire regroupant un psychiatre spécialisé dans le traitement des troubles anxieux et de l'humeur, un chirurgien expérimenté ainsi qu'un clinicien spécialiste du matériel de stimulation (neurologue, neurochirurgien, psychiatre).
La visite s'élève alors à 62,50€ pour un avis ponctuel, ou à 46,70€ pour un suivi régulier. S'il est conventionné secteur 2, deux cas de figure se présentent : Le praticien adhère à l'option de pratique tarifaire maîtrisée (OPTAM) : il est autorisé à vous demander un supplément d'honoraires.
Le neurologue fait partie des exceptions au parcours de soins coordonnés : il est possible de consulter un neurologue en accès direct, sans passer par son médecin traitant au préalable. L'assuré est alors dans le parcours de soins et bénéficiera d'un remboursement optimal de la Sécurité sociale de 70 %.
Ces douleurs peuvent survenir lorsque le système nerveux est atteint par une maladie infectieuse (zona), inflammatoire (sclérose en plaques), métabolique (diabète), un traumatisme (cicatrice cutanée ou plaie d'un nerf), parfois une amputation de membre ou d'organe.
Faiblesse des muscles des membres, très grosse fatigue, ce sont les manifestations de la myasthénie, une maladie neuromusculaire chronique qui touche 5 Français sur 100 000.
La douleur neuropathique (encore appelée douleur neurogène) est secondaire à une atteinte du système nerveux (central ou périphérique), c'est-à-dire touchant le cerveau, la moelle èpinière ou les nerfs. La douleur est mixte quand elle associe ces deux mécanismes (nociceptif et neuropathique)
Il s'agit d'un trouble grave, étant donné qu'une infection ou une blessure peut survenir à un pied sans que la personne touchée puisse la ressentir. En plus des picotements et de l'engourdissement, les personnes qui souffrent d'une polyneuropathie chronique éprouvent des sensations de brûlure ou des élancements.
1. Le stress. Le stress peut être utile ou nuisible pour le cerveau, cela dépend de son intensité et de sa durée.
La maladie d'Alzheimer et autres démences sont les plus fréquentes des maladies neurodégénératives. Elles représentent une cause majeure de perte d'autonomie.
En 2019, une personne sur huit dans le monde – soit 970 millions de personnes – présentait un trouble mental, les troubles anxieux et les troubles dépressifs étant les plus courants (1). En 2020, le nombre de personnes atteintes de tels troubles a augmenté considérablement du fait de la pandémie de COVID-19.
Des pertes d'équilibre, des difficultés pour articuler, marcher ou encore effectuer des gestes précis… Il s'agit peut-être du syndrome cérébelleux. "Syndrome" car les symptômes peuvent faire penser à différentes maladies et "cérébelleux" car l'atteinte se situe au niveau du cervelet.
Les maladies dégénératives sont des pathologies qui entraînent une dégradation progressive d'un ou plusieurs organes. Souvent d'origine génétique, elles peuvent être dues à une forte et longue exposition à des produits biologiques et toxiques. Ces maladies sont souvent très lourdes pour le patient.
Matière grise. En analysant des scans cérébraux, les chercheurs ont découvert que les personnes qui se perçoivent comme plus jeunes ont, dans les faits, plus de matière grise dans certaines régions du cerveau. Et c'est un signe de bonne santé du cerveau.