Le principe est simple : le poisson kasher doit avoir des écailles et des nageoires, tout fruit de mer est interdit, y compris la seiche et le poulpe en passant par les moules et les surimis courants ou encore la soupe de poisson classique.
Crustacés. La consommation des crustacés est prohibée par le judaïsme ; de même, plusieurs peuples refusent (ou refusaient) de manger les crabes, en Europe, en Afrique, etc.
Selon le chiisme, le prophète islamique a interdit de manger de l'anguille et des ânes. Les animaux métamorphosés (animaux auxquels une nation préislamique désobéissante, irrévérencieuse ou arrogante a été convertie à titre de punition, tels que les porcs et les singes) sont interdits par Mahomet.
La loi juive (halakha) interdit en effet de consommer du porc (parce qu'il a le sabot fendu sans être un ruminant) mais aussi les insectes et toute une liste de volailles (autruche, mouette, cigogne…) ainsi que l'ensemble des coquillages et crustacés (parce qu'ils n'ont pas d'écailles ou de nageoires). "
La loi halal exige que l'on prie à Allah avant ou pendant l'abattage de chaque animal, mais la loi kasher ne requiert pas de prière avant chaque abattage. Un shochet, ou un rabbin spécialement formé, doit abattre l'animal, tandis que tout adulte musulman, chrétien ou juif peut l'abattre en vertu de la loi halal.
16 l'autruche, le hibou, la mouette, l'épervier et ce qui est de son espèce ; 17 le chat-huant, le plongeon et la chouette ; 18 le cygne, le pélican et le cormoran ; 19 la cigogne, le héron et ce qui est de son espèce, la huppe et la chauve-souris.
Les crevettes (mais seulement pour les Madh'hab) sont un exemple d'aliment considéré comme Makruh pour les musulmans des Madhhabs Hanafis.
Aliments non-permis :
Porc, reptiles, amphibiens et insectes. Fruits de mer (homard, crabe, crevettes, pétoncles, huitres, moules) et mammifères marin. Tout produit animal ou dérivés d'un produit animal en provenance d'un animal Non-Certifié
1Selon la jurisprudence chiite duodécimaine, les poissons dépourvus d'écailles sont harâm. Ainsi considère-t-on l'esturgeon et ses œufs, le précieux caviar.
Végétarisme hindou : il interdit la chair animale résultat d'une mise à mort volontaire (viande, poisson), ainsi que les oeufs vu comme le vol de progéniture à sa mère. Végétarisme sikh : exclut la viande, l'oeuf.
Sikhisme. Le refus de consommation de viande halal est un des interdits que tous les sikhs doivent suivre.
Cet interdit ne signifie pas que les juifs ne doivent pas consommer de produits laitiers. Au contraire, ces derniers sont très présents dans les traditions culinaires des Juifs du monde entier : yaourt chez les Séfarades du Moyen-Orient, crème aigre et fromage chez les Ashkénazes d'Europe centrale et d'Amérique…
Judaïsme : le pur et l'impur
Par exemple, les mammifères ruminants purs doivent avoir le sabot fendu [2][2]Le texte énumère dix animaux purs : le bœuf, le mouton, la… ; dans le cas contraire, ils sont réputés impurs.
Les animaux vivant dans l'eau (salée ou douce) comme les poissons : ils sont tous Halal sans condition sur leur abattage. Si les poissons de mer (eau salée) sont retrouvés morts, ils sont licites (Halal) et propres à la consommation humaine. Ce cas n'est pas valable pour les poissons d'eau douce.
Pour les musulmans sunnites non-hanafites, soit près de la moitié de la population musulmane, le poisson et les produits de la mer sont halal en soi, sans restrictions particulières : « Le gibier de la mer et la nourriture qui s'y trouve vous sont permis : c'est une jouissance pour vous et les voyageurs » (Coran, V, 96 ...
Il renchérit en disant que tous ses amis chiites mangent des viandes halals. Une définition stricte de ce qui est halal n'est cependant pas le monopole des chiites.
Pour certains musulmans, qui s'appuient sur le verset 5 de la sourate 5 du Coran, il n'est pas nécessaire de manger halal, puisque la nourriture des gens du Livre est dite licite pour les musulmans.
"Sont interdits pour vous les animaux qui meurent d'eux-mêmes, le sang, la viande de porc et les animaux dédiés à d'autres qu'Allah." Ainsi parle le Coran. « Sont interdits pour vous les animaux qui meurent d'eux-mêmes, le sang, la viande de porc et les animaux dédiés à d'autres qu'Allah.
Nourriture harâm : ce qui est interdit
Seul le porc et le sanglier sont totalement harâm, c'est-à-dire interdit à la consommation, quelle que soit la technique d'abattage.
Tous les oiseaux sont licites en Islam, excepté les rapaces munis de serres qui se nourrissent d'autres animaux : par exemple, l'aigle, le faucon, le vautour ou le corbeau. Les animaux de basse-cour (volailles domestiques et lapins), le gibier à plumes et les lièvres sont eux licites.
Aliments haram :
Toute viande d'un animal qui n'est pas abattu selon les préceptes de l'islam. L'alcool et tous les produits préparés avec de l'alcool. La vanille et l'extrait de vanille. Des aliments contenant du sang (ex. : le boudin)
Pour les punir de leur désobéissance, Dieu les chasse du Paradis. Mais pourquoi dit-on que ce fruit défendu était une pomme ?
Lévitique 11:7-8 « Vous ne mangerez pas le porc, qui a la corne fendue et le pied fourchu, mais qui ne rumine pas : vous le regarderez comme impur. Vous ne mangerez pas de leur chair, et vous ne toucherez pas leurs corps morts : vous les regarderez comme impurs. »
Des théologiens répondent à ces interrogations et notamment à cette question relative à la consommation de porc proscrite dans l'Ancien testament. Voici leur réponse publiée le 13 décembre 2018 : « Les interdits alimentaires font partie des dispositions de l'alliance que Dieu a conclue avec Israël. Le Lévitique au ch.