Le décollage est toujours un peu stressant mais comme dit Jenny ça passe très vite et il suffit de fermer les yeux et de regarder ailleurs pour ne pas voir le sol s'éloigner. En suite, pendant le vol, sauf cas de turbulences, tu ne sens pratiquement rien et un vol pour l'Italie c'est très rapide.
Mal aux oreilles
Ce symptôme survient généralement pendant le décollage ou l'atterrissage. En cas de douleur, plusieurs méthodes peuvent être employées pour la diminuer : Mâcher un chewing-gum ou bâiller : ces deux gestes créent une décompression au niveau de l'oreille interne, ce qui soulage la douleur.
Il est possible de diminuer son niveau d'anxiété grâce à des techniques de relaxation comme la cohérence cardiaque, qui est un exercice de respiration antistress, ou la méditation. L'aromathérapie peut aussi aider, avec des huiles essentielles permettant de se sentir mieux.
Il y a trois phases de vitesse majeures quand un avion décolle : V1, Vr et V2.
Le décollage
Pendant la phase de roulement, l'avion accélère sur la piste afin d'atteindre une vitesse lui permettant d'assurer sa sustentation par une portance suffisante. Lorsque la vitesse de décollage est atteinte, le pilote effectue la rotation pour placer l'avion à l'assiette de montée.
L'ordre de grandeur de la vitesse de décollage est de : 20 à 65 km/h pour les planeurs ultra-légers motorisés (ULM). 80 à 120 km/h pour les avions monomoteurs de loisir ou les bimoteurs à hélices d'affaire. 240 à 280 km/h pour les avions de ligne selon leur taille (A320, A380).
Cela peut être bénéfique pour l'adaptation de l'organisme aux changements d'altitude et de pression, ce qui peut aider à prévenir le mal d'altitude ou l'effet de “blocage d'oreille” ressenti par certains passagers. Enfin, lorsqu'un avion décolle, la pression extérieure diminue à mesure qu'il gagne en altitude.
Les avions, à l'atterrissage et au décollage, se placent toujours face au vent. Cette règle permet de réduire au minimum leur vitesse lorsqu'ils se posent et assure leur portance au moment de prendre leur envol. A la construction d'un aéroport, les pistes sont donc toujours installées en fonction des vents dominants !
Généralement l'angoisse est liée à l'idée du décollage proche à laquelle s'ajoute un sentiment de claustrophobie. Sentiment souvent d'autant plus important lorsqu'il s'agit d'avions de tailles réduites comme les 737, DC 9 ou A 320 à deux rangées de sièges.
Statistiquement, vos chances d'avoir un accident à chaque fois que vous prenez l'avion, sont de 1 sur 12 millions (un accident pour 12 millions de vols). Soit 0,00001% de risque que ça vous arrive quand vous prenez l'avion. De plus on parle là de tout type d'accidents et pas uniquement des crashs !
Attendez! «Relevez s'il vous plaît le store du hublot, attention au décollage.» Ne pas obstruer les hublots dans les avions de ligne fait en effet partie du protocole de sécurité, obligatoire pour l'équipage en préparation du décollage et de l'atterrissage.
Impossible d'avoir le vertige en avion
En effet, lorsque vous êtes en avion, vos pieds sont également dans le vide, cela correspond à ce que perçoivent vos yeux. Il n'y a plus de dissonance entre les informations et donc plus de sensation de déséquilibre.
En effet, regarder loin et fixer l'horizon peut vous aider à stabiliser les signaux entre vos sens et votre oreille interne. Inclinez votre siège autant que vous le pouvez et veillez à rester le plus immobile possible.
Les individus souffrant de phobie de l'avion ressentent une anxiété d'anticipation du voyage dès lors qu'ils prennent connaissance d'un voyage planifié. Cette anxiété est de plus en plus importante à mesure que le jour du départ se rapproche, et atteint son paroxysme les heures qui précèdent le vol.
Il vaut mieux ne pas choisir la place côté hublot dans l'avion en raison des risques liés à l'exposition au soleil. Dans les avions, les hublots bloquent efficacement la plupart des rayons UVB, responsables des coups de soleil, mais pas les rayons UVA.
L'avion doit avoir une vitesse relative par rapport au vent pour décoller et se maintenir en l'air. S'arrêter, c'est avoir une vitesse relative de 1667 Km/h (donc supersonique) à l'équateur et nulle aux pôle (donc chute).
La turbulence fait référence à l'instabilité des mouvements de l'air ou de l'eau. Lorsque tu es en avion, la turbulence est occasionnée par les changements dans l'écoulement de l'air. Celui-ci fait référence au mouvement de l'air d'une zone à une autre.
Un avion de ligne atterri à une vitesse d'environs 120 noeuds. S'il rencontre un vent de force d'ouragan de face, ce n'est aucun problème pour lui, il atterrira facile sur une courte distance. Le problème sera alors, quand il devra quitter la piste pour un taxiway qui est à angle droit avec la piste.
Le premier, c'est l'économie de carburant. Un avion, ça consomme beaucoup de kérosène. Un Airbus A320, c'est 3 000 litres par heure de vol. Voler très haut permet d'en dépenser moins car à ces altitudes élevées, l'air étant moins dense, il offre moins de résistance à l'avion.
Les avions commerciaux de ligne ont généralement des vitesses de croisière maximales d'environ 900 à 950 kilomètres par heure (environ 560 à 590 miles par heure). Par exemple, le Boeing 747 à une vitesse de croisière maximale d'environ Mach 0,85 à Mach 0,89, ce qui équivaut à cette plage de vitesses.
Si le recours à ces derniers est indispensable (départ en urgence par exemple), on prescrit classiquement une benzodiazépine type alprazolam, qui agit assez rapidement (30 min-1 h) et reste active pendant 6-8 heures, permettant aux patients de « passer le cap » sur des vols à moyen-courrier.
Lors des turbulences, concentrez-vous donc sur le présent, écoutez votre musique ou regardez un film drôle pour donner un peu de légèreté à tout ça. Extérioriser ses peurs, quitte à contaminer ses voisins, en voilà une bonne idée. Il saura (avec un peu de chance) trouver les bons mots pour vous rassurer.
En nombre de crashs, c'est le 707/720 de Boeing qui l'emporte avec 105 catastrophes, devant le DC9 et le DC8 (62 chacun), le Boeing 727 (57) et le Boeing 737- 1/200 (48).