- la transformation des systèmes d'irrigation traditionnels aux systèmes localisés d'irrigation pour la distribution de 51.000 hectares par an, - la construction de 25 barrages, soit 5 par an pour la période 2017-2021, et de dix petits barrages annuellement.
Il est aussi prévu de mettre au point un système de gestion intégrée de la nappe phréatique dans la région de Berrechid et de conclure des contrats dans cette importante zone agricole afin de satisfaire les besoins en eau, sans pour autant que cela implique des pertes en eau potable.
Les nouvelles mesures comprennent la mise en œuvre de restrictions sur le débit de l'eau distribuée aux consommateurs, et l'interdiction d'irriguer les espaces verts et les terrains de golf avec de l'eau potable.
Développement de l'offre à travers l'accumulation des eaux de surface par les barrages, le recours au dessalement de l'eau de mer, la réutilisation des eaux usées épurées et la possibilité de transférer l'eau à partir des bassins excédentaires du Nord-Ouest vers les bassins déficitaires du Centre-Ouest.
La raréfaction des pluies liée au réchauffement climatique et la surexploitation des nappes phréatiques sont effectivement des causes significatives de la pénurie d'eau douce dans la région du Drâa-Tafilalet, tout comme au Rif et à Rhamma.
La démocratisation des forages. Les forages font partir des solutions préconisées par les gouvernements des pays d'Afrique subsaharienne pour pallier les pénuries d'eau potable en milieu rural. On en distingue deux types. Les forages équipés de pompes à motricité humaine et les forages alimentés à l'électricité.
L'eau est potable dans les grandes villes et de bonne qualité dans les grands hôtels et restaurants. En revanche, dans les villes plus petites et les villages, soyez nettement plus prudents. Il est recommandé de préférer la consommation d'eau en bouteille capsulée.
L'eau qui se fait de plus en plus rare au Maroc, la sécheresse due au changement climatique, la baisse du niveau des barrages et des nappes phréatiques...
Le changement climatique, couplé à un déficit pluviométrique structurel et une consommation galopante des ressources en eau, fait entrer le pays dans un quasi sinistre hydrique.
Il faudra donc éviter absolument de boire de l'eau du robinet pendant votre séjour au Maroc. Liste de quelques maladies causées par l'eau souillées : Les amibes: provoquent de fortes diarrhées ce qui entraine une déshydratation qui peut plus ou moins mortelle.
Des livres en abondance et de la musique classique. Le Maroc n'est pas un pays de lecteurs. En langues latines, le salon du Livre de Casablanca est d'une indigence rare une fois qu'on enlève la section éducation et la section religion. Les librairies ne sont pas nombreuses et finalement mieux fournies à Marrakech.
Limiter les rejets d'eaux usées non traitées dans le milieu naturel permettant d'améliorer tant la qualité que la quantité de la ressource en eau. Réduire les inégalités par un meilleur accès à l'eau potable qui aura un impact positif sur la santé publique. Développer des capacités de traitement des eaux usées.
Combattre le changement climatique qui aggrave la situation
En exacerbant les conditions de vie, en causant des déplacements constants de populations, ces phénomènes influencent directement la quantité et la qualité de l'eau potable disponible.
La région où se trouve le Royaume est caractérisée par une « sécheresse structurelle », dont la nature atmosphérique est influencée par la présence des anticyclones, d'où les périodes de sécheresse récurrentes, a-t-il précisé.
Le développement de cultures résistantes aux conditions climatiques difficiles, la réduction de la dépendance aux eaux de pluie grâce à des systèmes d'irrigation, l'augmentation et la diversification des ressources alimentaires peuvent être cités comme des solutions pérennes et peu coûteuses.
Le Royaume s'est inscrit dans l'effort international visant la lutte contre le changement climatique par la signature en 1992 et la ratification en 1995 de la Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques (CCNUCC), le Maroc a ratifié aussi le Protocole de Kyoto en 2002 et l'Accord de Paris en 2016.
- Acteurs de distribution d'eau et d'assainissement : les services de distribution et d'assainissement liquide relèvent des compétences des communes, sous la tutelle du Ministère de l'Intérieur. Toutefois, la gestion de ces services peut être déléguée à d'autres opérateurs (Régies autonomes, privé, ONEP).
L'eau distribuée à Casablanca n'a pas besoin d'un traitement supplémentaire. Il n'y aurait aucun risque de pollution, selon la gestion déléguée, qui avait été saisie récemment sur un éventuel mélange avec des eaux usées. De quoi rassurer les citoyens.
Il y a sept grands fleuves au Maroc et de multiples petites rivières. Les sept bassins versants principaux sont le bassin du Loukkos, celui de la Moulouya, du Sebou, du Bouregreg, de l'Oum Er-Rbia, du Tensift et du Souss-Massa. À part le Loukkos, tous ces fleuves prennent leur source dans l'Atlas.
Les pays de l'extrême nord semblent rester à l'écart de ces préoccupations d'ici 2040 : le Canada, la Russie, les pays scandinaves, le Groenland mais aussi ceux de la grande muraille verte de l'Afrique et le Brésil utiliseront moins de 19 % de leurs ressources en eau.
Plusieurs possibilités existent, dont l'épuration des eaux et le dessalement. L'Etat doit alors construire des usines d'épuration ou de dessalement, mais cela a un coût. Il est donc nécessaire que les pays aient une économie élevée et donc un bon niveau de développement.