La Thérapie cognitive et Comportementale (TCC), l'EMDR , la
“si tu veux comprendre ton problème, fais une psychanalyse, si tu veux agir sur tes symptômes, fais une Thérapie comportementale et cognitive (TCC)” “la psychanalyse traite le passé et les TCC le présent“
Une fois que l'indication d'une psychothérapie est posée, ne consultez que des professionnels dont la formation est reconnue. La Thérapie cognitive et Comportementale (TCC), l'EMDR ou la Thérapie Interpersonnelle (TIP) sont les seules à avoir prouvé leur efficacité scientifiquement.
Qu'il s'agisse de harcèlement, d'agression sexuelle, de violence, d'insultes, d'usurpation d'un titre protégé (comme psychologue/psychiatre) ou encore de dérives sectaires, ce genre de comportement est inacceptable et condamnable.
Les séances de thérapie durent entre 45 et 50 minutes et sont typiquement espacées d'une semaine. Les rendez-vous débutent toujours à l'heure juste, ex. 9h, 10h, (pas 9h30).
Parfois, la relation de confiance avec le psychologue n'arrive pas à s'établir même après plusieurs séances. On ne se sent pas à l'aise en sa présence ou l'on n'a pas spécialement envie de lui parler, on peut même se sentir jugé (à tort ou à raison, peu importe, l'important c'est ce que l'on ressent).
Tu as une écoute formidable et tu m'as permis de voir les choses différemment, de prendre du recul et de remettre en perspective. Je me sens mieux outillé pour faire face à mes pensées négatives. Je commence à me valoriser et prendre conscience de ce que je fais de bien. Il me fera plaisir de revenir te voir au besoin.
La thérapie psychanalytique :
Cette méthode thérapeutique amène la personne à entrevoir un éventuel lien entre son histoire et la dépression. Une meilleure connaissance de soi permet une meilleure acceptation de soi et des voies d'évolution possibles.
Selon les scientifiques, parmi les traitements non médicamenteux de la dépression, seule la thérapie cognitivo-comportementale (TCC) a prouvé son efficacité, faisant jeu égal avec les antidépresseurs de seconde génération.
Vous pouvez aller chez votre médecin habituel ou directement chez un psychiatre qui sera plus familiarisé avec les différents troubles psychiques. Le psychiatre pourra évaluer vos symptômes, éventuellement les causes et vous proposez un traitement adapté.
Hypnose, Sophrologie, PNL, EMDR, EFT... les thérapies brèves ont le vent en poupe ! Et pour cause, ces méthodes s'attaquent à vos angoisses et tentent de les faire disparaître en quelques séances. Doctissimo fait le point sur leur efficacité et vous aide à y voir plus clair.
Ils sont identifiables à leur nom, qui se termine en « -mab » – c'est-à-dire « monoclonal antibody » (anticorps monoclonal en anglais). Dans ce type de thérapie ciblée, on trouve par exemple les produits suivants : trastuzumab, bevacizumab, cetuximab, panitumumab, denosumab, rituximab, nivolumab, ipilimumab.
Comme le mentionnent Lecomte et ses collaborateurs (2004), les thérapeutes les plus efficaces sont ceux qui peuvent créer une alliance thérapeutique tout en étant capables de réguler des relations émotionnellement intenses et variables comportant des tensions et des ruptures inévitables.
La fin de la thérapie se négocie.
Même s'il en retourne de la liberté et de la responsabilité du patient de ne pas suivre les conseils du thérapeute, il est fortement déconseillé d'arrêter brutalement les séances. Le thérapeute ne peut obliger un patient à revenir mais il peut mettre des mots sur ce qui est en jeu.
La première étape d'une auto-thérapie réussie consiste tout simplement à se regarder en face. Mais pour avoir une vision honnête de soi-même (dénuée de biais sociaux, culturels, etc.), il faut s'adresser à son inconscient, gardien des pensées les plus profondes.
Grâce à la thérapie, vous pouvez modifier des comportements et habitudes (parfois autodestructrices), résoudre les sentiments douloureux, améliorer vos relations et plus encore.
On estime généralement que deux conditions au moins doivent être réunies pour décider de l'arrêt du suivi : que les troubles pour lesquels le patient est venu consulter aient cessé ; que l'inconscient ait suffisamment été compris en profondeur pour se prémunir d'une réapparition des symptômes.
Mais il arrive parfois chez certains patients, quelques jours après la séance, qu'une sensation de mal-être arrive progressivement. Cette sensation peut être accompagnée de douleurs, de fatigue émotionnelle, de courbatures, ou d'une anxiété plus ou moins forte.
Vous vous sentez lassée des séances et traînez du pied pour vous y rendre. Vous avez l'impression que votre psy ne fait qu'écouter sans rien vous proposer. Vous avez le sentiment que votre psy ne vous comprend pas. Vous avez l'impression de stagner et de ne faire aucun progrès.
Les inconvénients sont qu'il n'y a pas beaucoup de débouché, la solitude professionnelle, de longues études et beaucoup de responsabilités. Les avantages sont la reconnaissance et le coté humain.
Il développe une relation appropriée avec le patient, et sait quelles limites à mettre à des confidences mutuelles. La chaleur humaine est une autre qualité à avoir. Le bon thérapeute montre qu'il tient à son patient, avec des mots et de manière non-verbale aussi.