Quatre investissements à envisager en période de récession Il s'agit notamment des actions des secteurs de la santé et de la consommation de base (ou des fonds qui suivent ces secteurs), des actions à grande capitalisation et des investissements à revenu. Les entreprises cotées sont divisées en secteurs.
Les obligations ont été le meilleur endroit où se trouver lors de la plupart des récessions précédentes. Les investisseurs cherchent souvent refuge dans des actifs à faible risque pendant les périodes de difficultés économiques, ce qui contribue à soutenir les prix des obligations.
Des actions à l'épreuve de la récession
Il serait raisonnable d'investir dans des sociétés de haute qualité avec de bons fondamentaux, notamment des bilans solides et un faible taux d'endettement. En dehors de cela, les stocks pour une récession devraient être marqués par des flux de trésorerie stables et prévisibles.
Les actions et l'immobilier restent les meilleures classes d'actifs en période de crise, du moins pour l'investisseur à long terme qui pourra supporter des baisses passagères. N'oublions pas que tout investissement comporte un risque de perte en capital, crise ou pas crise.
Acheter de l'or physique
L'or physique peut être des lingots, des pièces de monnaie, des pépites, des poudres ou des bijoux. L'avantage d'acheter de l'or physique est que vous avez une assurance en cas de crise financière. L'inconvénient est que vous devez le stocker chez vous.
Par exemple, lorsque vous investissez sur des actions d'entreprises, variez entre le secteur pétrolier, le tourisme ou la grande consommation. Vous pouvez même envisager d'autres placements comme l'or ou les crypto-monnaies, mais aussi l'assurance-vie ou les livrets d'épargnes.
Les livrets d'épargne (livret A, livret jeune, etc.) peuvent être une bonne solution à court terme pour mettre de l'argent de côté sans risque. Restez toutefois attentif au niveau de l'inflation. La rémunération de ce type de placements est souvent très faible.
Le PIB s'est replié (hors inflation) en France et en Allemagne, au troisième et au quatrième trimestre 2023, ce qui marque leur basculement officiel en récession, dénonce Marc Touati, président d'ACDEFI. Et encore, l'économie française a été soutenue par un important soutien budgétaire de l'Etat.
Les entreprises des secteurs de l'énergie et des matériaux affichent historiquement une corrélation positive avec l'inflation, ce qui signifie que la valeur de leurs actifs et les prix de leurs produits ont tendance à augmenter avec la hausse de l'inflation.
Si le mot de l'année 2022 a été inflation, celui de 2023 pourrait bien être récession.
Malgré des conditions macroéconomiques instables, plusieurs secteurs boursiers affichent des perspectives d'évolution intéressantes dans les prochaines années. Les énergies renouvelables, l'industrie, la défense et la technologie représentent, selon nous, de belles opportunités d'investissement sur le long terme.
L'activité économique du pays s'est contractée de 0,3% en 2023 selon les chiffres de Destatis, publiés ce lundi. Un coup de frein qui s'explique par la crise de l'énergie, le ralentissement de la demande et des difficultés à l'export.
De manière générale, on dit qu'un pays est entré en phase de récession lorsque l'économie recule sur deux trimestres consécutifs, principalement sur la base du produit intérieur brut (PIB). Les récessions sont les périodes durant lesquelles l'économie d'un pays, d'une région ou du monde se rétracte.
Ce phénomène se produit lorsque l'économie commence à évoluer à un rythme qu'elle ne peut pas soutenir. L'offre n'est tout simplement pas suffisante pour répondre à la demande. Ce scénario alimente souvent l'inflation, car la rareté de l'offre peut faire grimper les prix.
En réalité, les mesures prises par l'État dépendent fortement du contexte économique, politique et juridique. Un gouvernement pourrait, théoriquement, décréter le blocage des comptes bancaires dans des situations exceptionnelles, comme une guerre ou une crise économique majeure.
Que ce soit pour HSBC France, Orange Bank, ING ou même Ma French Bank, la raison est la même : elles ne sont pas rentables. Du moins l'activité bancaire auprès des clients particuliers n'est pas rentable, ce qui amène ces groupes à fermer leur enseigne.
En fait un krach boursier a pour effet économique direct de diminuer la richesse des détenteurs des actifs dévalorisés, ce qui entraine une diminution de leur consommation dans la mesure où ils chercheraient à augmenter leur épargne pour reconstituer la valeur de leur patrimoine.
Où placer son argent sans prendre de risque ? Si vous ne voulez pas prendre de risque, il faut placer votre argent sur des livrets en banque, ou sur le fonds euros d'une assurance-vie. Vous pouvez aussi opter pour un placement à risque maîtrisé en investissant dans des ETF, via votre assurance-vie ou votre PEA.
Si 2024 commence comme 2023, il y aura une récession, même si elle sera atypique et légère.»