Quand écrire « elles m'ont permises » ? On accorde le participe passé permis si la chose qui a été permise est désignée dans la phrase avant le verbe et qu'elle est du genre féminin, permis, dans ce cas, s'accorde en genre et en nombre. Exemples : Les économies qu'elles m'ont permises ont payé mon voyage.
On écrit : ces expériences m'ont permis, même quand une femme s'exprime. En effet, le verbe occasionnellement pronominal « se permettre » est employé avec le verbe avoir, qui n'appelle pas l'accord.
Ça arrive quand le mot qui désigne ce qui a été permis est situé avant le verbe, et qu'il est féminin. Exemple : la chose qu'elle m'a permise . Mais dans la majorité des phrases, on a la construction permettre de faire quelque chose , avec un verbe à l'infinitif derrière permettre .
[...] qui m'a permis d'avancer. On ne fait pas d'accord avec le sujet (occasion) avec l'auxiliaire avoir. Pour qu'il y ait accord, il faudrait que le complément d'objet direct soit placé avant l'auxiliaire avoir, par exemple : Je l'ai remercié pour la visite qu'il m'a permise.
On écrit « je me suis permise » lorsque le complément d'objet direct est placé devant le verbe. Dans ce cas, le participe passé s'accorde en genre et en nombre et s'écrit avec un -e si le COD est au féminin singulier. Exemple : La pause que je me suis permise était indispensable, je n'arrivais plus à me concentrer.
On dit et on écrit toujours « je me suis permis », et ce que l'on soit un homme ou une femme. Le verbe « permettre » signifie « donner liberté, pouvoir de faire ou de dire » ou alors « ne pas interdire ».
Locution conjonctive
Dans l'éventualité où ; à supposer que.
« Qui plus est » signifie « de plus », « en outre », « plus encore ». Elle sert à renchérir sur une première affirmation, quitte à exagérer un peu. Autres synonymes : « de surcroît », « de même », « par-dessus le marché » … Comment utiliser « qui plus est » ?
Dans quels cas accorde-t-on appris ? Effectivement, le participe passé appris peut se mettre au féminin et au pluriel : apprise , apprises .
Cette randonnée nous a conduits à un magnifique lac !
On pose la question : « Cette randonnée a conduit qui ? », « nous », pronom masculin pluriel, d'où « conduits ». Si « nous » ne représentait que des femmes, alors on écrirait « nous a conduites » et l'on ferait entendre la terminaison !
Ce : pronom démonstratif
Lorsque ce est pronom démonstratif, il s'emploie à la place d'un nom commun ou d'un groupe nominal, et occupe une fonction nominale dans la phrase. Il précède généralement un pronom relatif. Exemple : “Ce dont nous parlons est important.” ; “Je ne comprends pas ce que tu me dis.”
Il est vrai que le mot permis peut prendre la forme permise au féminin, par exemple quand on dit aucune modification n'est permise .
Il m'a demandé de la farine ; elle m'a demandé de la farine ; ils m'ont demandé de la farine ; elles m'ont demandé de la farine. Dans les quatre exemples, le COD "de la farine" est après le verbe avoir, pas d'accord.
Quand utiliser le cas échéant ? Le cas échéant s'utilise quand il est possible de remplacer cette locution par les expressions suivantes si le cas se présente, si cela arrive, si cela est nécessaire. L'employer comme synonyme de dans le cas contraire est une erreur, car elles n'ont pas le même sens.
Synonyme : concourir à, contribuer à, donner lieu à, donner l'occasion de, donner matière à, favoriser, laisser place à. Contraire : condamner, empêcher, entraver.
Difficultés. L'adverbe et pronom relatif où s'écrit avec un u accent grave, ce qui le distingue de la conjonction ou. Où peut marquer le lieu aussi bien que le temps : c'est le café où nous avions rendez-vous ; par où êtes-vous entré ? ; le jour où nous l'avons rencontré ; c'est l'année où j'étais aux États-Unis.
« a » s'écrit sans accent car il s'agit du verbe « avoir ». Il peut toujours être remplacé par le même verbe au passé (« avait », « avais ») pour vérifier qu'il s'agit bien du verbe et pas de la préposition. « à » s'écrit avec un accent quand il est une préposition.
Écrit-on « je me permets » ou « je me permet » ? Permettre est un verbe du troisième groupe. Il se conjugue sur le modèle de mettre. Ainsi, tout comme on écrit « je mets », « tu mets »…, on écrit « je permets », « tu permets », avec un « s » qui suit le « t ».
Le verbe “permettre” faisant partie du 3ᵉ groupe (terminaison en -re), il se conjugue alors de la même façon que le verbe “mettre”. Lorsque vous conjuguez le verbe “se permettre” à la première personne du singulier, il faudra alors écrire “je me permets” avec un “s”.
L'imparfait décrit une action qui dure dans le temps. C'est le temps idéal pour planter un décor, décrire une situation passée, ou une action à durée indéterminée. Le passé simple est le temps du récit. Il décrit une action passée, qui a un début et une fin clairement identifiable.