Quels sont les moyens d'action des contre-pouvoirs ? Les parties prenantes exercent une influence plus ou moins forte sur le processus décisionnel grâce aux moyens d'action qu'ils détiennent. Les salariés utilisent comme moyens d'action la grève totale ou partielle, l'information vers la presse, l'attaque en justice …
Ce peut être une force politique, économique ou sociale et son rôle a pour effet de restreindre l'exercice du pouvoir en place et de proposer une alternative aux décisions d'une autorité. Par exemple : les citoyens, les élus d'un parti d'opposition, des associations et notamment des syndicats, les médias, des cultes.
Les actionnaires attendent de l'entreprise qu'elle leur verse des dividendes à la hauteur de leurs attentes ; – les salariés : par leur travail, leurs compétences et leur implication, ils contribuent à l'activité et au bon fonctionnement de l'entreprise.
La gouvernance actionnariale vise en priorité à assurer l'efficience de la gestion de la propriété de l'entreprise par des actionnaires répartis (ou par des actionnaires familiaux), malgré les divergences d'intérêts et les différences de risques encourus par les actionnaires et les managers (tableau 2).
« Une gouvernance insuffisamment éclaircie peut conduire à une situation de relative insécurité ou d'instabilité ». Ces principes, bien que fondamentaux et communs aux différents secteurs, peuvent être adaptés en fonction de la taille, de la nature, de l'objet de l'organisation.
Nous pouvons distinguer deux types de mécanismes de contrôle, le contrôle interne et le contrôle externe. des dirigeants. Ce qui leur permet théoriquement de mieux contrôler les dirigeants. Ils s'appuient sur trois éléments principaux : le système de rémunération des dirigeants et le rôle du conseil d'administration.
La gouvernance participative, qui représente l'ensemble des acteurs travaillant ensemble pour la réalisation d'un projet, quelle que soit sa situation - bénéficiaire, salarié, bénévole, actionnaire - peut sembler de prime abord abstraite et secondaire.
Puisqu'il y a trois sources de pouvoir internes à l'entreprise, on distingue trois modèles purs de gouvernement d'entreprise (managérial, actionnarial et salarial) ; trois modèles mixtes ; et un modèle pluraliste (la codétermination).
Les actionnaires exercent leur contrôle à travers le droit à l'information et leur droit de vote. Le droit à l'information leur permet : d'obtenir des informations occasionnellement avant toute assemblée.
A l'égard des tiers, le dirigeant d'entreprise est le représentant légal de l'entreprise. Il est donc investi des pouvoirs les plus étendus pour agir en toute circonstance au nom de la société.
Les régimes démocratiques sont organisés selon le principe de la séparation des pouvoirs législatif, exécutif et judiciaire afin d'éviter leur concentration entre les mains d'une seule personne.
Le terme cinquième pouvoir peut être utilisé pour désigner Internet, l'opinion publique, le système économique ou simplement la monnaie.
Appliquée au monde de l'entreprise, la notion de gouvernance regroupe les modalités de décision, planification, gestion et contrôle.
Une bonne communication interne entre les membres du conseil est très bénéfique à la gouvernance d'entreprise. Elle doit être améliorée et surtout sécurisée afin que les administrateurs puissent échanger avec facilité. Des connections efficaces et rapides entre les membres sont vecteurs d'une collaboration renforcée.
Cinq guides d'application des pratiques de bonne gouvernance (renforcer la responsabilité, engager les parties prenantes, établir une orientation stratégique commune, gérer les ressources et enfin, évaluer et améliorer continuellement la gouvernance) qui contribuent à la bonne gouvernance, au renforcement des services ...
La démarche participative relève d'un état d'esprit et de modes d'organisation et de management appropriés. Elle génère une approche dynamique, respectueuse des personnes, basée sur le sens du travail et des prises en charge et permettant à chacun de (re)trouver sa place, favorisant ainsi la prévention du burn out.
La mobilisation : c'est le principe de base du management participatif. Tout le personnel de l'entreprise doit être mobilisé, à la fois pour valoriser les collaborateurs, y compris ceux qui n'occupent pas des postes d'encadrement ou de direction, et pour tirer parti au mieux des ressources et des compétences de chacun.
Les mécanismes du contrôle peuvent être envisagés à la fois comme le contrôle par l'expert, en considérant que le superviseur est celui qui possède la connaissance de ce que doit être réalisé, et routinier, puisque les tâches ont été parcellisées et elles sont répétitives.
Il existe trois types d'organisations. Les organisations à but lucratif : les entreprises. Les organisations à but non lucratif : les organisations publiques. Les organisations à but non lucratif ou qui appartiennent à l'économie sociale et solidaire (ESS) : les associations.
On peut distinguer cinq grands types d'organisations différentes : l'organisation personnalisée, l'organisation bureaucratique, l'organisation pyramidale, l'organisation duale et l'organisation cellulaire.