La pollution, y compris l'utilisation de produits chimiques, de combustibles fossiles et de plastiques, perturbe les écosystèmes de la Terre et, ce faisant, nuit aux espèces et les force à modifier leurs habitudes.
Par exemple, l'émission de CO2 contribue à la fois au réchauffement planétaire et à la dégradation des océans du fait de l'acidification de l'eau océanique. Les gaz qui contribuent au réchauffement climatique sont souvent les mêmes qui participent à la disparition de l'ozone stratosphérique.
La dégradation des sols dans le monde est principalement due aux activités humaines : agriculture intensive, irrigation, déforestation, surpâturage, pollutions industrielles.
La déforestation à grande échelle, notamment dans les forêts primaires en Indonésie et en Malaisie. La destruction de l'habitat naturel de plusieurs espèces menacées. L'érosion et l'appauvrissement des sols. La pollution des sols, de l'eau et de l'air.
Actuellement, l'homme a un effet plutôt destructeur sur la nature : il rase des forêts, construit des routes, utilise des produits chimiques qui tuent massivement certains insectes, pêche plus que nos océans ne le permettent… La biodiversité souffre de ces activités et décline fortement.
Les sources humaines sont principalement liées aux activités métallurgiques (extraction minière, aciérie, transformation manufacturière…), de combustion (production énergétique ou incinération de déchets) et aux transports, en particulier routier.
Les activités humaines, telles que les changements d'utilisation des terres, la pollution et le changement climatique en sont la principale cause.
Par ses choix de politiques industrielles et commerciales, l'homme influe directement sur le peuplement des milieux. Par exemple lorsque l'homme pratique la déforestation pour l'agriculture, il modifie l'environnement et supprime ainsi des milieux de vie de nombreux animaux.
L'Homme a un impact sur l'environnement, qui peut être positif comme négatif. En effet, il aménage l'espace (construction de routes, de villes, etc.) et il en exploite les ressources naturelles essentielles à son alimentation et à son activité.
"Les cinq principaux facteurs de la perte de biodiversité sont les changements d'utilisation des terre (dont l'agriculture), la surexploitation (chasse pour la nourriture), les espèces invasives, la pollution et le changement climatique.
La pollution chimique
Elle concerne les nitrates et les phosphates contenus dans les pesticides, les médicaments humains et vétérinaires, les produits ménagers, la peinture, les métaux lourds (mercure, cadmium, plomb, arsenic…), les acides, ainsi que les hydrocarbures utilisés dans l'industrie.
Selon l'Organisation mondiale de la santé, « la pollution atmosphérique représente désormais le plus grand risque sanitaire environnemental au monde. » En effet, elle est responsable d'environ 3,7 millions de morts chaque année (selon une étude de 2012).
L'agriculture peut aussi agresser le sol en provoquant son tassement par le passage d'engins de plus en plus lourds. Le sol compacté ne laisse passer ni l'eau, ni l'air et la faune des recycleurs du sol (par exemple, les vers de terre) diminue.
Bien que les activités humaines pèsent très fortement sur le sol et ses fonctions écologiques, elles n'ont pas toujours un impact négatif. Les agriculteurs savent par exemple améliorer la qualité de certains sols par le biais d'une agriculture raisonnée en faveur de la biodiversité.
L'effet de serrre
Ce phénomène, appelé « effet de serre », est naturel. Or, depuis 1850, les scientifiques ont observé qu'il était en forte augmentation et ça n'est pas naturel. L'activité humaine produit des gaz à effet de serre, qui s'accumulent dans l'atmosphère et amplifient le phénomène.
Le CO est aussi un gaz précurseur de l'ozone et du dioxyde de carbone (CO2), gaz à effet de serre. Les principales sources d'émissions sont le secteur industriel (métallurgie des métaux ferreux pour 38 % des émissions totales en 2011), et le chauffage résidentiel (34% des émissions en 2011).
Les transports, première source de gaz à effet de serre
Selon cet inventaire, les transports sont la première source de gaz à effet de serre en France métropolitaine (29,7 % des émissions en équivalent CO2 en 2017), devant l'industrie et le secteur tertiaire (25,8 %) ou l'agriculture (18,9 %).
Les sacs à usage unique, les bouteilles, les contenants et les emballages alimentaires sont les quatre articles les plus répandus qui polluent les mers. En tout, 10 objets représentent les 3/4 des déchets plastiques retrouvés et sont – sans surprise – des objets de notre consommation quotidienne.
5 tonnes de CO2 émis en moyenne par habitant
Voici les 5 pays qui polluent le plus aujourd'hui selon les émissions annuelles de gaz à effet de serre en 2019. La Chine occupe la première place (24%), suivie par les États-Unis (12%), l'Inde (7%), l'UE (6%) et l'Indonésie (4%).
Réchauffement climatique, épuisement des ressources naturelles, destruction de l'environnement, pollution de l'air, du sol et de l'eau provoquée par les industries civiles et militaires, disparité des richesses, raréfaction de l'eau, guerres de religions, malnutrition des hommes, extinction des espèces vivantes, etc.
le chauffage (au bois, au fioul, etc.) responsable de plus de 90 % des émissions de particules fines du secteur résidentiel ; le brulage des déchets verts.