i)Egalité des droits : garantir à tous un même ensemble de droits et de devoirs, ii) égalité des chances : garantir à tous les mêmes chances d'accès aux positions sociales, iii) égalité des situations : garantir l'accès effectif de tous aux biens et aux positions sociales (égalité dans les faits, égalité réelle).
Définir la notion de justice sociale en la reliant aux trois dimensions de l'égalité (égalité des droits / des chances / des situations). 2. Poser les principes de la notion d'équité sans pour autant l'opposer à la notion d'égalité.
Dans son ouvrage majeur Théorie de la justice de 1971, le libéral John Rawls écrit qu'une société est juste si elle respecte trois principes, dans l'ordre : garantie des libertés de base égales pour tous ; égalité des chances ; maintien des seules inégalités qui profitent aux plus défavorisés.
a. Principe de différence : elles doivent être au plus grand bénéfice des membres les moins avantagés de la société. b. Principe d'égalité équitable des chances : elles doivent être attachées à des fonctions et positions auxquelles tous ont le même accès, à talents donnés.
L'égalité entre les êtres humains est un concept complexe qui a connu des significations multiples dans l'histoire : égalité politique (voir démocratisation), égalité civique ou juridique, égalité des chances, ou encore égalité sociale.
L'égalité devant la loi ou égalité en droit est le principe selon lequel tout être humain doit être traité de la même façon par la loi (principe d'isonomie). Aucun individu ou groupe d'individus ne doit donc avoir de privilèges garantis par la loi.
L'égalitarisme strict vise à l'égalité dans l'absolu. Il préfère donc une organisation qui assurerait l'égalité de tous les membres (dans le domaine de l'éducation, par exemple, on se situera au niveau des résultats), même si cela conduit à ce que le niveau moyen soit moins élevé que dans un autre type d'organisation.
L'égalité des situations permet en effet d'améliorer la cohésion sociale et la solidarité. Elle permet également de renforcer l'égalité des chances, en resserrant la hiérarchie des positions sociales (document 9).
Par « genre » on entend la construction socioculturelle des rôles masculins et féminins et des rapports entre les hommes et les femmes. Alors que « sexe » fait référence aux caractéristiques biologiques, être né(e) homme ou femme, le genre décrit des fonctions sociales assimilées et inculquées culturellement.
Absence de toute discrimination entre les êtres humains, sur le plan de leurs droits : Égalité politique, civile, sociale. 3. Qualité de ce qui est égal, constant ; uniformité, régularité : L'égalité du pouls. 4.
L'égalité, c'est s'assurer que les garçons et les filles sont traités de la même façon et qu'ils ont les mêmes possibilités dans la vie. Un enfant ne devrait donc pas avoir à agir d'une manière particulière ou se voir imposer des limites simplement parce qu'il est un garçon ou une fille.
Voici un moyen simple de se rappeler la différence entre équité et égalité : "L'égalité, c'est donner à tout le monde la même paire de chaussures. L'équité consiste à donner à chacun une paire de chaussures qui lui convient.
L'égalité est au cœur des droits de l'homme, et au cœur des solutions requises pour nous permettre de traverser la crise mondiale actuelle. Cela ne veut pas dire que nous devons tous avoir la même apparence, penser la même chose ou agir de la même façon.
Définition de Équité L'"équité" est le principe modérateur du droit objectif (lois, règlements administratifs) selon lequel chacun peut prétendre à un traitement juste, égalitaire et raisonnable.
« Les bénéfices d'une égalité accrue se répartissent dans toute la société, et améliorent la santé de tout le monde, pas seulement celle du bas de l'échelle. En d'autres termes, quels que soient les niveaux de revenus, on vit d'autant mieux que le pays est égalitaire.
Elle est essentiellement due au fait que le principe d'égalité occupe une place singulière parmi les droits fondamentaux : l'égalité constitue à la fois un droit fondamental en soi et une condition d'exercice d'autres droits fondamentaux, autrement dit une sorte de « droit-tuteur » nécessaire à la mise en œuvre des ...
Avant tout, la liberté est prioritaire. Elle ne peut pas être restreinte dans le but de réduire les inégalités. Il est essentiel que chacun ait un droit égal aux libertés les plus étendues qui soient conciliables avec la liberté des autres.
i)Egalité des droits : garantir à tous un même ensemble de droits et de devoirs, ii) égalité des chances : garantir à tous les mêmes chances d'accès aux positions sociales, iii) égalité des situations : garantir l'accès effectif de tous aux biens et aux positions sociales (égalité dans les faits, égalité réelle).
Une société égalitaire fait ressortir l'aristocratie naturelle. Les individus, dans les limites définies par un cadre social indépendant de leur volonté, peuvent réaliser ce qu'ils portent en eux.
Définition de Légitimité
La "Légitimité" est la conformité à un principe supérieur qui dans une société et à un moment donné est considéré comme juste. La notion de légitimé ne recouvre pas celle de légalité qui est plus restreinte et qui caractérise ce qui est seulement conforme à la Loi.
La légalité, c'est ce qui provient de la loi, ce qui a force de loi. C'est ce qui s'impose à tout citoyen respectueux des lois de son pays... en principe. En principe également, nous avons l'égalité pour nous puisque nous sommes tous égaux devant la loi !
L'égalité est le caractère d'un rapport : relation d'identité entre deux termes référés à une norme. L'égalité est donc doublement relative : elle suppose, d'une part, la relation entre les termes que l'on compare et, d'autre part, la relation entre ces termes et l'unité de référence.