L'Eglise catholique distingue en plus trois vertus théologales, ayant Dieu pour objet : la Foi, l'Espérance et la Charité.
La Prudence, la Justice, la Tempérance et le Courage (ou Force d'âme). La Foi, l'Espérance et la Charité. Elles sont censées guider les hommes dans leur rapport au monde et à Dieu. La foi, l'espérance, la charité, la justice, la prudence, la force et la tempérance.
Ce proverbe signifie que la vertu est toujours utile.
Cinq vertus principales sont mises en avant : le courage (andrea), la modération ou tempérance (sophrosynè) ; la justice (dikaiosynè), la sagesse (sophia) — plus ou moins identique à la sagacité (phronêsis) — et enfin la piété (hosiotès). L'excellence d'un homme se mesure à ses vertus.
Ces sept vertus qui nous rendent meilleurs. Elles s'appellent la patience, la discrétion, l'affabilité, la bonhomie, la placidité, le silence...
Capacité à faire le bien, prédisposition pour de bonnes actions. Exemple : La politesse est sa principale vertu. Étymologie : du latin virtus (vertu, valeur). Effet positif, bénéfice.
Les vertus catholiques sont au nombre de sept, codifiées dans la théologie scolastique chrétienne depuis le Moyen Âge. Elles comprennent trois vertus théologales (la foi, l'espérance et la charité) et quatre vertus cardinales (la justice, la prudence, la force et la tempérance).
Une vertu théologale est, selon la théologie chrétienne, une vertu qui doit guider les hommes et les femmes, formant humanité, dans leur rapport au monde et à Dieu. Elles sont au nombre de trois : la foi, l'espérance et la charité.
capacité, effet, efficacité, faculté, pouvoir, propriété, qualité.
Les mots immoralité , amoralité , perversité , dépravation sont d'autres termes qui s'opposent à vertu de manière générale.
Qui manifeste de la vertu, des qualités morales : Conduite vertueuse. 2. Chaste, pudique ou fidèle (en particulier pour une femme).
La vertu naturelle est une disposition (hexis) excellente de l'âme. Les animaux et les enfants, qui sont des êtres irrationnels et donc non moraux, ont, eux, plutôt des dispositions naturelles (phusikai hexeis). En effet, si Aristote parle de vertus naturelles chez les animaux, il le fait par similitude3.
A la fois source de bonheur et de justice, la vertu est ce juste milieu qui permet à chacun de vivre avec bonheur tout en tenant compte des autres. [4][4]Ethique à Nicomaque, 1108a5 Les vertus en sont les modalités. Ce sont des dispositions à agir d'une façon plutôt que d'une autre, comme le vice d'ailleurs.
1. Disposition spirituelle à agir avec persévérance en accord avec la loi divine. 2. Disposition particulière pour tel devoir, telle bonne action : La vertu de modestie.
Les sept donsdu Saint-Esprit sont la sagesse, l'intelligence, le conseil, la force, la science, la piété et la crainte de Dieu. Ils appartiennent en leur plénitude au Christ, Fils de David (cf Is 11). Ils complètent et mènent à leur perfection les vertus de ceux qui les reçoivent.
La personne vertueuse ne suit donc pas simplement une règle du type «je ne dois pas mentir», car elle a conscience de devoir choisir entre l'honnêteté et la bienveillance et qu'elle a la possibilité, en agissant véritablement en faveur de son interlocuteur, de composer une action à travers laquelle ses propres qualités ...
La charité est la plus grande de toutes les vertus
Le Sauveur nous a donné sa vie comme exemple à suivre. Il était le Fils de Dieu. Il avait un amour parfait et nous a montré comment aimer. Par son exemple, il nous a montré que les besoins spirituels et physiques de nos semblables sont aussi importants que les nôtres.
Du lat. virtutem, acc. de virtus « qualité distincte de l'homme, mérite, valeur », « qualités morales », « vigueur morale, énergie », « bravoure, courage, vaillance ».
Il distingua notamment trois formes de grâce intervenant dans le processus de salut : la grâce prévenante (préparatrice), la grâce justifiante (régénératrice et résistible), et la grâce sanctifiante (accompagnante jusqu'au salut final).
L'humilité est une condition essentielle pour obtenir l'aide divine. Faire tout ce qui est en son pouvoir est le quatrième principe. Paul a enseigné en vérité: «C'est par la grâce en effet que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c'est le don de Dieu.
La patience est la plus belle des vertus.
Les vertus sociales : justice, solidarité, compassion, hospitalité, espérance : une éthique théologique.
C'est dans le courant du xvii e siècle que le mot vertu acquiert sa connotation morale, mais on parlait à cette époque de femme de moyenne vertu pour désigner les femmes dont les comportements sexuels contrevenaient à la morale de l'époque.